Lectures 2014

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Une sympathique nouvelle exotique et agréable à lire, découverte de Stefan Zweig et compte bien explorer ses autres ouvrages .

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Assez dur à lire selon moi (au niveau de l'écriture et non du récit) mais court, brutal, viscéral et original, McCarthy nous plonge dans l'enfer de la solitude et la folie qui mène à la barbarie et à la nécrophilie . Un livre unique en son genre et très spécial .
Je reste sceptique vis à vis de l'adaptation cinématographique de James Franco car pour moi ce livre est difficilement adaptable .

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Deux petites nouvelles courtes et efficaces avec dans la première une très bonne intrigue .

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Des critiques, des critiques et encore des critiques, intéressant mais néanmoins assez rébarbatif sur la longue .
Permet de découvrir pas mal de film oubliés de l'époque, et surtout de mieux saisir le point de vue de Truffaut sur certains films même s'il saoule un peu à faire les louange de Renoir !

6,5/10

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Folle dénonciation de la jeunesse dorée perdue dans une spirale d'ennui comblée par le sexe, la drogue et l'alcool .

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Premier livre de Kerouac que je lis, peut être pas le meilleur pour se lancer mais sa courte durée nous évite un trop plein de lourdeur et d'ennui .
Ca ne raconte pas grand chose, l'auteur bois et rencontre des gens tout en allant à droit et à gauche en France recherchant ses origines Française .
Correct mais sans plus .

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Une excellente nouvelle ou Zweig dépeint l'amour d'une femme qui n'ose dévoiler son histoire qu'à travers une lettre .
Un récit bouleversant rempli d'émotion sur une écriture vraiment agréable .

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Une nouvelle courte et efficace ou Zweig place une fois de plus l'homme face aux tourments de l'amour, ici rongé par l'argent .

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Montée en puissance d'un petit malfrat dans le milieu des gangs en Chine, l'auteur y dépeint beaucoup la société et sa vision de la Chine .
On y découvre la misère, la pauvreté et les difficultés de vivre dans cette Chine rongée par la violence .
Un peu trop de superflu au niveau des scènes de sexe et semble avoir un manque d'idée vers la fin, mais le style d'écriture très simple fait que le livre se lit rapidement .

6,5/10

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Découverte de John Fante et compte bien explorer ses autres ouvrages .
Ici ce livre parle de thèmes comme les problèmes familiaux et le manque de travail dans le milieu d'Hollywood .
Couvert de dérision sous des airs autobiographiques John Fante offre un roman rempli de second degrés avec des questions existentiels mais subvient comme un certain vide par moment et une certaine répétition, heureusement le récit et court et l'on ne s'ennuie pas .

6,5/10

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Comme une seconde version de "Amok" mais en moins exotique et ici sur fond de nazisme et de jeu d'échecs .
Zweig libère tout son talent pour une nouvelle torturée de sa propre vie et très inspirée tout en explorant les tréfonds de l'isolement .

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Charles Bukowski offre ici une autobiographie déguisée sous les traits d'Henry Chinaski autour de tout .
Ça parle autant de la jeunesse et de la vieillesse que de la violence de notre monde, du sexe, de la pauvreté et bien évidemment de l'ivresse .
Ivre de vin à en devenir malade et saigner du cul et vomir du sang, ivre au point de tout oublier et d'oublier dans quel monde de fou nous vivons .
Quelques passages sur la mort, sur la perdition total et sur les femmes, puis voilà le style crasseux et viscéral de l'auteur qui s'installe à merveille .

" Financièrement parlant, il valait manifestement mieux avoir une chatte qu'une queue."

"Les chiens ont des puces, les hommes des emmerdes."

Bukowski dégage comme un coup de hachoir sa vision de l'homme et de la société avec ce brin de folie qui le rend unique .
Rempli de citations et de phrases à retenir pour longtemps .

7,5/10

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Dans les années 30 en proie à la grande dépression Arturo Bandini galère de petits boulots en petits boulots avec ses rêves d'écrivain .
Il se croit supérieur en lisant du Schopenhauer et du Nietzsche, il est vulgaire, parfois taré et donne sa vision des choses, sa vision du monde, de la religion et de la société n'hésitant pas à rabaisser les gens et les humilier
.
Provocateur sans retenu on pourra être charmé par sa vulgarité et parfois en rire, ce livre qui est plus une introduction au personnage pour les romans suivant "Bandini, Demande à la poussière, rêve de bunker hill et d'autres encore ..." reste un bon moment qui se lit d'une traite, entre folie littéraire et difficulté de vivre dans le Los Angeles des années 30, loin de l'Américan Dream
.
Une autre chose intéressante est que malgré les plus de 80 ans qui séparent nos deux époques la société des années 30 est encore comparable à la notre .

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Un classique qui m'a finalement plus ennuyé qu'autre chose. Écriture ou traduction foireuse il semblerait que ce soit juste le style du personnage qui en fasse des tonnes et ce personnages antipathique qui critique tout, n'aime rien et juge tout est exaspérant et arrive rapidement à devenir lourd .
Et je comprend pas la mort de John Lennon pour autant .

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Dénonciation du racisme de façon virulente, sec et cru, vengeance sans limite, écriture fluide et récit qui se lit d'une traite .
Boris Vian pointe du doigt et offre un récit coup de poing . Génial !

7,5/10

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Retour à la vie sauvage d'un chien, un récit simple et touchant parfois brutal, violent et froid .
De quoi donner envie de lire les autres romans de Jack London .

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Franz Kafka montre que la métamorphose physique agit aussi sur la famille, abordant plusieurs thèmes comme la solitude, la famille et la maladie Kafka offre un court récit rapide à lire mais néanmoins pas si exceptionnel que cela .

6,5/10

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John Fante parle ici de son père sous les traits de Svevo Bandini, il parle de la pauvreté de cette famille en proie à l'hiver et à une éducation religieuse, du manque de travail, de la mort, de l'infidélité, des relations entre la mère et le père qui se complique et ne se comprenne pas toujours .
On retrouve Arturo Bandini qui a ici 14 ans, l'écriture de Fante frappe vite et fort pour un récit qui se lit d'une traite .
Néanmoins pas aussi fort que "La route de Los Angeles" sur certains aspects mais ce Bandini reste un bon roman à lire si vous aimez l'auteur .

Annotation :

Pas mauvais mais ce livre n'est qu'un recueil de citations, certaines intéressantes, d'autre trop vagues, le tout manque d'explication et de communication avec le lecteur pour lui parler du Bouddhisme donc un livre correct mais peu transcendant .
Donc assez déçu car je m'attendais à tout autre .
Au moins ça a le mérite de se lire très rapidement .

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Un grand livre fort émouvant mettant en avant deux pauvres hommes face à leur solitudes, l'un deux est un peu demeuré et l'autre le dirige pour éviter qu'il fasse des bêtises .
Sur fond de rêve d'un lopin de terre et d'une vie paisible rien ne se passera comme prévu .
L'écriture est fluide et direct, pas de superflu, le tout offre un récit court et lisible très rapidement .

Annotation :

L'idée de base aurait pu donner une bonne intrigue mais le tout est lourd et peu convaincant, il n'y a pas vraiment d'intrigue car on se fiche de la banalité des personnages insipides qui nous saoulent plus qu'autre chose .
L'écriture ne m'a pas vraiment plu, c'est lourd et agaçant .

Annotation :

Moins brut que "La route de Los Angeles" mais on y retrouve bien les mêmes traits de ce livre .
Arturo Bandini face à son rêve d'écrivain dans un hôtel de Bunker Hill, entre ses péripéties, ses problèmes d'argent et d'amour le rêve de se faire éditer n'est pas si facile, mais tout arrive à Los Angeles, même des catastrophes, des rencontres inattendus et des chèques .
Dans une atmosphère moite et poussiéreuse John Fante se dévoile à travers Arturo de façon sincère, une semi autobiographie déguisée .
Un bon livre mais malgré tout j'en ressors un peu déçu car on ne ressent plus la folie de "La route de Los Angeles", le personnage semble assagi .

7,5/10

Annotation :

Un livre lourd et ennuyeux à lire, la narration est sans surprise du début à la fin, rien ne vous fait accrocher et rien n'est drole, mais ABSOLUMENT RIEN !
Les imprononçables nom nordiques sont lourds à lire, les péripéties agaçantes et insipides .
Dommage car l'idée de base aurait pu donner un bon truc .

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Un joyeux bordel sanguinolent, ultra violent, sans moral et barré avec des personnages aussi dingues les uns que les autres dans une ville de fou !
Entre du Pulp Fiction, The Ring et Une Nuit en Enfer on ressent une grande inspiration cinématographique, de plus le tout est très référencé .
Un livre vraiment barré, peu être un peu trop sur la fin qui devient un peu lourde mais l’ensemble reste un grosse folie jubilatoire riche en hémoglobine aux histoires qui emmêlent malgré elles et qui rendent le tout captivant .

7,8/10

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Un livre dépaysant dans un voyage du Mexique à New York, de New York à Tanger, de Tanger à Paris et de Paris à Londres puis de retour aux USA en Floride jusqu'en Californie en repassant par le Mexique .
Parfois brouillon comme si Kerouac était défoncé mais ce récit riche en émotion nous emporte loin et nous fait vivre une aventure unique, une belle aventure aux personnages hauts en couleurs .

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Un beau récit qui se lit très rapidement, poétique et mélancolique qui peut faire penser au "Joueur d'échecs" de Stefan Zweig sur certains points .

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Un court récit d'un homme en proie au rejet de ses écrits face aux éditeurs, de la bière, des soucis du quotidien, une ex-femme qui le hait, une tranche de vie dans le quotidien d'un homme perdue face à l'alcool et ses écrits .
Sympathique et peut faire penser à du Bukowski .

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Rapide à lire et une écriture efficace pour un récit dénonciateur de la déshumanisation de notre société via l'abrutissement de la télévision en recréant un jeu télé identique aux camps de concentrations .