Lectures 2025

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Difficile de rentrer dedans tant l'univers utilise de la novlangue, mais une fois habitué, un périple incroyable se meut à travers les récits des différents personnages. La fin est un peu décevante, l'attente construite au fil du roman étant haute. Mais le livre reste tout de même une très belle entrée en SF.

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La promesse était alléchante durant les 2/3 du livre et puis badaboom. Le fantastique devient la "solution facile" à un problème qu'on souhaitait complexe. Une fin qui entache tout le concept du départ alors que l'histoire était jusqu'à présent bien écrite et les personnages attachants. Dommage !

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Pas de grand "breakthrough" dans ce court essai mais une bonne piqûre de rappel dans un monde où l'extrême droite sait très bien nous faire oublier son passé pour se faire passer pour le mouton blanc parmi d'autres. Ne jamais oublier, ne jamais pardonner, ne jamais laisser passer.

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Un "Stephen King à la française", dont le pari est réussi ! Dans une vibe à la Stranger Things, on retrouve une bande d'adolescents ni naïfs, ni complètement fucked up, dans un coming of age saisissant d'horreur. Qui n'a jamais vu de maison abandonnée aussi effrayante qu'attirante ? Mais avez-vous été assez courageux pour y entrer ?

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Un sujet qui ne m'intéresse pas tant au départ : l'argent. Mais la plongée dans l'Amérique des années 20, la construction originale du livre (qui a failli me faire décrocher au chapitre 2, j'ai bien fait de continuer), les personnages attachants et l'intrigue qui se dévoile peu à peu, en font un livre tout à fait intéressant qui se lit vite.

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Joli récit d'une vie sombre, délicat et sensible. Mais pas vraiment emportée par le style littéraire.

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Depuis longtemps sur ma "to read list", je suis plutôt enchantée par ce premier tome. J'ai lu de nombreuses critiques sur Ophélie, le perso principal, qui est un peu "plan-plan", et je trouve cela au contraire rafraichissant de s'éloigner des héroïnes jolies/vaillantes/courageuses ; on s'identifie à elle et sa maladresse et on souhaite qu'elle devienne la Queen de cet univers si écrasant qu'est la Citacielle. Son désir d'indépendance très marqué change des romantasy mielleuses, et j'aime particulièrement l'univers très riche en couleurs et personnalités des hautes sphères de la société un peu à la manière d'un "Hunger games".

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Toujours emballée par cette suite qui met en place petit à petit l'intrigue principale. J'ai hâte du tome 3 !

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Toujours un régal même si l'intrigue se complexifie un peu trop du côté des antagonistes au vu de la longueur du tome 4... Je sens que les conclusions de la saga vont être bâclées. Ce serait dommage car l'univers mis en place depuis trois tomes est vraiment intéressant à explorer !

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Un peu moins emballée par ce tome qui reste dans la même arène et se complexifie un peu trop. Beaucoup de choses à déminer/traiter pour un seul tome, des protagonistes que j'aime un peu moins (les Généalogistes notamment), je regrette de ne pas avoir davantage vécu auprès de Archibald, Renard, Victoire... qui méritait pourtant une grande place dans la narration après ces trois premiers tomes. Néanmoins, cela n'entâche pas le fait qu'il s'agit d'une chouette saga qui m'a bien emportée !

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Si l'écriture de Fab Caro est toujours aussi séduisante et dynamique, le fait que ce livre soit trop proche de mon quotidien m'a cringe jusqu'au bout, difficile de ne pas refermer péniblement le livre haha.

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J'avais adoré mes premières lectures de Kundera mais j'avoue que, là, j'ai pas tout compris chef. Probablement le type de lectures qui se font au "mauvais moment" pour être réellement appréciées.
Malheureusement il y a trop de livres cool à lire sur cette planète pour que je redonne une chance aux lectures ratées :')

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Repéré dans l'émission Quotidien, je suis tombée par hasard dessus à la librairie du coin. Je l'ai lu en 2 jours à peine. Une plume grinçante et brutale à la Virginie Despentes qui nous entraine dans le vagabondage de trois jeunes femmes téméraires. Très chouette récit féministe, mais très noir. Une bonne entrée pour comprendre la culture chilienne et notamment le traitement des femmes qui reste encore un problème central dans la société actuelle.

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J'avais une légère appréhension sur le sujet (plongée dans le milieu médical lors du confinement Covid19), ce dernier étant, mine de rien, encore assez récent. Mais l'humanité sans fioriture des personnages nous emporte tout de suite au delà de la réalité que nous avons tous connu, car peu de gens finalement ont su ce qu'il se passait derrière les brancards. On regrette un peu de ne pas pousser les relations entre personnages ou les sujets plus loin, mais cela rajoute une certaine pudeur modeste à un évènement qu'on préférerait tous oublier.

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J'étais tombée par hasard sur ce livre au détour d'une gondole et ne connaissant pas ce prix Nobel de littérature, je me suis lancée dedans.
Et quel ennui ! Si le sujet et les thématiques semblaient prometteurs, la prose (peut-être celle de la traduction, qui sait ?) est ennuyeuse, le développement des personnages très lent, on ne s'attache que difficilement à ces derniers, et j'ai totalement décroché à la moitié du livre. Si bien que je suis allée chercher un résumé de la deuxième partie du livre pour savoir ce que je louperai éventuellement et verdict : rien de très intéressant....

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Du Fab Caro comme on l'aime, un personnage torturé psychologiquement et délicieusement drôle sur la base de petites choses de la vie que tout le monde peut vivre au quotidien.

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Quel beau récit que ce premier roman. On s'attache si vite à Hector et Luz, mais aussi à Carlo qui fait un superbe trait d'union entre eux. Les questions soulevées sont sincères, on ne tombe jamais dans le pathos. Et surtout on voit d'un autre oeil le handicap, questionné sous le regard de l'amour, qui pour la société "validiste" sont deux choses antinomiques.

"L'association ne rencontra pas d'autres couples, pour la simple raison qu'elle n'en connaissait pas. Elle était partie de ce constat, qu'il n'y avait pas assez d'handicapés amoureux, et de l'hypothèse que s'il n'y en avait pas assez, c'était parce que le discours ne leur laissait pas de place, qu'ils n'étaient jamais ensemble conjugués au futur, et n'avaient pas de modèle."

"Hector et Luz étaient une curiosité, un objet relationnel non identifié auquel rien ne semblait adapté."

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La trame principale de l'histoire est prometteuse, l'ambiance tantôt dérangeante et sombre, tantôt lumineuse et tendre. Seulement on se perd un peu dans les méandres de l'esprit du personnage principal et on perd en cohérence sur l'imbrication entre lui et la famille du contrôleur aérien, ce qui délite un peu l'angle fort promis. On aurait aimé moins de détours, plus de sentiments forts, plus de détermination. Et un retournement de situation moins "préparé".

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Entre Bukowski et Fante, nous sommes embarqués dans la vie totalement "fucked up" d'un jeune homme dans le East Village des années 80. De quoi en perdre la tête ou, au moins, une voiture pleine de livres rares !

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Belle proposition mais inaboutie à mes yeux. L'ambiance était prometteuse sur la quatrième de couverture, les personnages étaient attachants, mais la forme et le style de la plume nous laisse toujours à distance ; si bien que chaque évènement un peu fort retombe comme un soufflé après cuisson : très vite. On apprécie néanmoins le concept et le cadre, les pieds dans la vase des bayous à chercher amour, pardon et quête de sens.

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Charmante petite lecture lors d'un voyage en train, sans prétention mais qui nous emporte, jusqu'à dévorer le livre rapidement. Bien qu'on aimerait approfondir certains sujets et relations (notamment celle entre Antoine et Camille, qui est amenée un peu rapidement au vu de l'importance qu'elle a sur le quotidien d'Antoine - et donc l'élément déclencheur), on se sent très proche de ces personnages et de leurs questionnements. Comment faire face au pire, comment se nourrir du beau, comment, finalement, exister pleinement et rebondir après la perte ?

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Joli petit livre qui se lit très vite sur une histoire vraie assez méconnue finalement. Après tout, un vol à plusieurs dizaines de millions d'euros dans les musées par un homme ordinaire, c'est assez peu commun ! L'écriture de Michael Finkel nous emmène avec intelligence aux côtés de Stéphane, on est immergés dans sa "cleptomanie intellectuelle" insatiable mais on ne dépasse malheureusement jamais le cadre un peu formel de l'histoire qui reste un peu plate par moment.

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Premier essai de "romantasy". J'étais curieuse et dubitative car je ne suis pas fan de toute cette vague new et dark romance pour ado. En dépit d'une écriture très moyenne (peut-être d'ailleurs dû à une piètre qualité de traduction parfois), et les passages un peu trop forcés des moments "interdits aux moins de 18 ans" qui entachent un peu le reste de l'histoire, on est complètement emportés dans cet univers de dragonniers.

Il y a une ambivalence que je ne m'explique pas, peut-être à cause du rythme ou de la description de l'intrigue et des lieux, mais même les choses sans surprises nous donnent envie de connaître la suite. Bref j'entâme le tome 2 avec envie !

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Depuis longtemps je voulais lire ce classique de la littérature dont j'ai appris bien trop tard que Frankenstein n'était pas le nom de la créature mais du créateur, et surtout (surtout !), que ce livre était écrit par une femme. On est finalement bien loin des représentations halloweenesques déformées au fil des années. C'est finalement un récit presque philosophique qui nous est proposé face à l'obstination du scientifique dont le mélodrame rend un peu zinzin, tant on a envie qu'il arrête de pleurer sur son sort et tue enfin ses propres démons. Mais ce ne serait pas un roman gothique si c'était aussi simple !

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Assez déçue de ce livre porté aux nues par les commentaires Senscritique. Un sentiment de déjà vu, une histoire qu'on anticipe, beaucoup de pathos même à mon sens. On apprécie l'humour du jeune héros mais on oublie bien vite les soi-disante "leçons morales" du monstre.