Les 25 meilleurs films Québécois

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Hautement intense, l'histoire enfin vue du côté des perdants et les Anglais mis à leur place dans leurs véritables costumes de colonisateurs dégueulasses. Cet assassinat en règle des Patriotes , non enseigné dans nos livres et à l'école méritait une place et un film à la hauteur du massacre. Quand on pense que Téléfilm Canada refusa de financer le film, que le projet s'étira sur de nombreuses années et que le financement provint des organismes indépendantistes , on comprend jusqu'à quel point ce film dérangeait l'establishment Anglophone de Toronto. Oui presque 200 ans plus tard les “ God Damned” ont vu en plein écran l'horrible massacre et la vérité sortir enfin ! Vive le Québec Libre !
Le film le plus important de l'histoire du Québec par son propos et son intensité. Une vraie tragédie Grecque !

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Au-delà...de Arcand ...il y a Jésus de Montréal et le génial Lothaire Bluteau qui trouve ici un rôle à sa mesure !
Inoubliable ! adulé dans certains pays, détesté dans d'autres... comme Jésus !

Arcand signe un de ses chefs-d'œuvre, peut-être son plus grand par la qualité de sa mise en abyme, par le jeu incroyable de Lothaire, par l'universalité du propos et son modernisme inégalé.

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Une petite fille qui ne parle pas...comme un peuple qui n'existe pas....Je Me Souviens est un des très grands films de Forcier... en noir et blanc, comme le sujet, comme l'hiver, comme cette devise du Québec...dont personne ne se souvient de ce qu'elle veut dire...de ce peuple qui se souvient pas qu'il est un peuple , de cette boutade si amnésique...castration de la mémoire et d'une culture dans le confort et l'indifférence

On est dans la crème de la crème! en noire et blanche

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Il faut le voir pour le croire.... des inventions folles, des personnages à tuer ou à embrasser, on n'est loin de tout ce qui se fait à cette époque...
Un film qui donne de l'espoir dans le cinéma Québécois voire mondial! Romain Gary le cita d'ailleurs dans un roman...comme espoir et y retrouva la fois en cet art

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Arcand donne dans le viol, l'hétérosexuel primitif barbare et les ski-doo. Une montée dramatique excellente soutenue par une Cèline Lomez intriguante de beauté et une Frédérique Collin magnifique !

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Arcand enfin nous sort un grand film !

Boudé, pas apprécié, il jette un regard vitriolique sur le travail, le patronat, les jobs de merde et les petites filles qui font des pipes dans leur sous-sol ! Le désespoir d'un petit fonctionnaire (Marc Labrèche) et l'hystérie de sa femme (Sylvie Léonard), une vendeuse de maisons est impayable !

L'imagination en prime , il y a dans ce film toutes les audaces....pour finir avec un regard sur la vie qui est essentiel ...si vous n'avez jamais fait de confitures , vous ne pouvez pas comprendre...

Ce film n'est pas pour les Français...

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Un party, une prison, Falardeau, Richard Desjardins...un scénario sorti direct d'un prisonnier....Tout pour que l'écran lève! Vous n'aurez jamais vu un film de prison comme celui-là ! Un petit chef d'œuvre

Français amenez vos ostis de dictionnaires Québécois ! Viarge ! On vous aime avec des dictionnaires !
Pour comprendre l'univers carcéral Québécois et par ricochet le Québec !

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Très difficile à trouver et à prix d'or...Forcier le considère comme son favori !

Éclaté, poétique, magistral ! Du très grand Forcier !

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Petit chef d'œuvre, Arcand sait manier la violence sourde comme un expert... D'ailleurs à son deuxième film , malgré les apparences de jeune écolier, il a en lui l'étoffe d'un maître.

À voir...pour aussi comprendre le Québec de cette époque là...qui bientôt va se tailler bientôt un stade Olympique dans le pays le plus corrompu au monde selon les Mémoires de Taillibert (pire que l'Afrique).

Ce film en témoigne avant l'heure

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Le temps d'une chasse est le premier chef d'œuvre de Francis...il y en aura d'autres...Le film reste impossible à trouver ou presque

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Super, tout pour plaire au public. D'ailleurs Forcier visait ce but une fois dans sa vie!
Cible atteinte intelligemment

Du bonbon magique et acidulé à la Forcier quand.... il fait du sucre à la crème !

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Il est difficile de réinventer une histoire, un mythe....Comme si les mythes étaient fidèles à l'histoire ou à l'Histoire (avec un grand H) alors qu'elles ne sont que fabulations sécuritaires et points de repères. François a osé en se foutant de tout ! Ça prenait un sapré culot. Que les faits historiques soient bousculés, que la lecture de l'histoire se fasse du point de vue Amérindien et que les traits soient parfois inexacts tant mieux ! Cela fait 100 ans qu'on endure des films qui sont faux historiquement et du point de vu égocentrique de l'homme blanc et de SA SI GRANDE CULTURE. Oui Jacques Cartier devait puer en sale !

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Le meilleur film de Philippe Falardeau. À part la finale qui aurait dû s'arrêter au lancer de la boule de quilles, et la voix (quelle voix?) insupportable et mièvre de Patrick Watson, tout ce film est réussi. Il a un côté rarement vu dans le cinéma Québécois joué par des enfants , ce cinéma abondant assez bonbon voire racoleur en général est ici évité.
On a affaire à un personnage d'enfant menteur, vandale, suicidaire qui n'est pas sans parenté avec les enfants de “L'eau chaude l'eau frette”de Forcier. Léon (Antoine L'Écuyer)est admirablement bien dirigé et joue ici son premier rôle avec un talent indéniable. (évitez de regarder les bonus du dvd qui lui sont consacrés cela tue la magie).
La situation classique du divorce est ici propulsé dans une autre dimension grâce à ce personnage souffrant qui n,est pas sans rappeler aussi Harold dans ”Harold et Maude“.
Entre l'amour naissant pour Léa (Catherine faucher) et ses suicides avortés, il se dégage de ce film une souffrance palpable montrée avec pudeur , humour et précision. Pas facile de jouer avec tout cela sans mentir. Pari réussi.
La vérité perce l'écran grâce à ses admirables mensonges.

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Un des meilleurs Forcier. Si vous ne connaissez pas ce réalisateur Québécois , vous devriez !

Le plus soul, le plus enfant terrible, le plus éclaté. Le réalisme magique à son meilleur. Il a tout ce que les autres ont pas...un peu comme Fellini, un peu comme Carle, un peu comme Blier, une langue aussi comme Ducharme, enfin tout un peu, beaucoup, passionnément.

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Le seul pseudo-documentaire, de cette liste. Ce film comme un shoot puissant, bouleversant, chef d'œuvre! Un texte qui ouvre les veines, un cri à déchirer le cœur du spectateur. Tout cet amour d'un enfant perdu et d'une mère à jamais orpheline. Inoubliable !