Les films que je conseille sans arrêt à mes potes en disant : Mec ! Faut que tu voies ça !

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Chef d'œuvre technique à tendance freudienne sublimé par une ambiance alternant subtilement entre suspens et enquête. Cerise sur le gâteau, on a également le droit à une psychose quasi constante et omniprésente chez tous les personnages et on se sentirait presque comme envouté par la route et par cette mélodie qui nous traque, telle Marion, durant une grande partie du récit. Bienvenue au Motel de Norma(n) Bates.

Le film qui m'a fait aimer Sir Alfred et le beau cinéma.

Merci. Juste merci.

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L'armée américaine paumée et dérivant sur le Styx. Une traversée physique, tactique et mentale qui nous émerveille et nous terrorise à la fois grâce à ses enjeux poignants, ses personnages tous plus emblématiques et torturés les uns que les autres, sa mise en scène dantesque et son esthétique frôlant la perfection

Un film qui mérite amplement sa place au Panthéon

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Épopée grandiose et interminable alternant de manière magistrale entre des moments suffocants dans le vide aride du désert et des moments d'intérieurs où la mise en scène chirurgicale marquera votre rétine au fer rouge. Une aventure comme on en fait plus dans le 7ème art.

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Récit onirique à l'imagerie sublime, Muholland Drive est une œuvre labyrinthique singulière, qui éveille nos sens, stimule notre esprit et bouleverse notre vision en matière de cinéma. Ajouté à ça la manière sublime dont Lynch représente ses muses, une musique côtoyant les cieux et une réalisation qui fait rêver et vous avez le droit à un objet filmique unique, obsédant et totalement envoûtant par sa réalisation

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Une gestion de la lumière juste somptueuse et une représentation de la couleur rouge comme rarement vue au cinéma

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Quand mère et fille se confrontent à l'écoulement du temps comme celui d'une sonate et des saisons et que les non dits se libèrent de leur tronc, planent, s'entrechoquent et fanent... comme des feuilles mortes au vent.

Un des jeux d'acteur les plus juste et cathartique que j'ai pu voir dans mon parcours cinématographique

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Les déboires de la société américaine, sa passivité et son indifférence quant au traitement de ses personnes démentes. Une œuvre profondément humaine qui montre extrêmement bien les carences de cette société malade et brise les codes du manichéisme liés à la normalité qui, trop souvent et encore aujourd'hui, restent ancrés et camisolés dans nos mœurs

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Chef d'œuvre anxiogène d'ambiance et de mise en scène, Alien est un film qui nous tient en apnée, nous fait voyager et nous donne même parfois de l'espoir. Rarement des décors ne m'auront paru autant travaillés, immersifs et obscurs à la fois, surtout quand on le compare avec les œuvres du même genre qui tendaient plus à donner (et tendent toujours d'ailleurs) une image lisse et immaculée de l'espace et des vaisseaux de l'époque. C'est pour dire mais c'est un des rares films où on se sent infiniment plus effrayé de l'Alien en son absence ou lorsqu'on sent sa présence que lorsqu'on l'a devant les yeux. Une véritable prouesse dans ces années-là et un film qu'on sent, contrairement à ses successeurs, clairement créé dans une démarche artistique plutôt qu'industrielle. Merci à H.R Giger sans qui ce film n'aurait clairement jamais été ce qu'il est.

Souvent copié, jamais égalé.

PS : Le 8ème passager c'est le chat pas le Xénomorphe ^^

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Une expérience qu'on ne vit qu'une seule fois dans sa vie

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Parachutage kamikaze sur une île sibérienne hostile aux paysages bucoliques, La lettre inachevée est une oeuvre puissante, belle et complétement ennivrante par sa réalisation. Un récit qui nous montre que le paradis et l'enfer ne sont finalement pas si éloignés et que le talent caméra aux poings de Kalatozov est juste indéniable. Un film immersif à souhait dôtée d'une ambivalence d'atmosphères magnifiquement bien rythmée et d'une fluidité de de récit du même acabit.

Un véritable plaisir pour la rétine qui brille grâce à ses plans séquences totalement fous et son casting plus que convaincant

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Le cinéma brut. Le travail brut. L'amour brut. Une œuvre discrète, personnelle et intense, qui brille notamment de par son approche sublime de la famille, son côté paternaliste et sa réalisation intimiste au possible. Un véritable retour au source accompagné de cette famille si belle et si soudé et un voyage inoubliable que l'on prend plaisir à savourer en compagnie de cette musique

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La création du monde, le commencement, l'arrivée des hommes, la construction, l'industrialisation, la guerre, le semblant de paix, la standardisation, la surexploitation (des terres ou de l'homme), le retour aux sources, la reprise de ses droits par la nature, la destruction, la fin.

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Quand la frivolité et la fougue de la jeunesse ne font qu'un, les sentiments se déclarent, nous frappent et s'en vont..comme une brise d'été

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Une animation et une BO magistrale !!

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Oprhée sur les méandres du Styx

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Si il fallait personnifier un oxymore, ça serait sans doute avec ce film. Une mise en scène et des décors si beaux et à la fois si laids, si sombres et à la fois si éclairés, si religieux et à la fois/foi si hérétiques. Tant de choses et leurs contraires allant de la sagesse à l'idiotisme, la foi à l'hérésie, l'amour et le désir..