Les films qui sont bien, mais en fait à la fin non (et ça gâche tout)

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2h30 de film pour en arriver à une scène cucul-niaiso-violonesque aussi navrante que ridicule où Jodie Foster retrouve son papounet d'amoooooour qu'elle avait perdu enfant. C'est beau.

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Pleins de bonnes idées (20 000 lieux sous les mers), une certaine tension, un film qui se passe sous l'eau (c'est rare), un panel d'acteur, une réalisation soignée... Et une fin d'une facilité déconcertante ("poufpouf on se donne la main et on oublie tous, ouais"), qui frole le ridicule et surtout si peu crédible...

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Qui n'a pas été déçu par cette fin ? Bien entendu, ce n'était pas ce qui interessait Spielberg. Lui, ce qui l'interessait c'était la fuite, le monde en berne, la tension palpable à tous les instants, la relation père-enfant. Et ça, ça fonctionne plutôt bien. Mais bon, merde, quoi, une fin expédiée comme celle là, ça frôle le foutage de gueule !

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Fin mieux ammenée que dans le film de Spielberg. Mais bon, le coup du virus est tellement facile, innatendu et débile (les aliens débarquent sans avoir analysé le potentiel néfaste des maladies terriennes ? gnié ?)... Notez que le film à salement vieillit, et ne vaut aujourd'hui que pour son aspect nanardesque (l'explosion nucléaire observée sans protection, sauf -tatan- des lunettes de soleil !!!).

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Une belle atmosphère, un synopsis cousu de fil blanc mais qui amène un traitement un peu différent de la plupart des films de "créature". Une tension qui est distillée efficacement au fil des minutes. Mais vers les 3/4 du film ça dérape, à partir d'une scène totalement inadaptée et peu crédible (dans la grange avec la créature et son "père"). Le film vire au film de monstre ultra classique, avec sang, tuerie et compagnie. Une banalité qui fait tomber les rares bonnes idées aux oubliettes.

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Joli visuellement, belle ambiance comtemplative, belle réalisation. Première partie qui, malgré un concept douteux (aller "rallumer" le soleil !!! O__o) Danny Boyle parvient a rendre crédible les enjeux et les personnages. On a envie d'y croire, les galères rencontré par l'équipage sont certes classique, mais efficace, on parvient à angoisser pour ces pauvres humains perdus dans l'espace, jusqu'a... jusqu'à ce qu'un zombi créé par le soleil lui-même débarque et fasse la fête à tout l'équipage au bout d'une heure et quart de film... Parviendront-ils à rallumer le soleil ? tadan !

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Première partie sympa, qui m'a un peu rappelé l'Âge de cristal, mais la seconde moitié, résolument creuse et sans intérêt, n'approfondit que trop peu les thèmes et enjeux déployés en début de film... A la place on a du pan pan boum boum. Du Mickael Bay, quoi.

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"Caméra caché ! c'était une blague, brother !" Deux claques dans ta gueule, oui.

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Superbe réalisation. Un Christian Bale terrifiant de maigreur. Scénario intrigant. Belle ambiance. Un coté "indé" que j'aime bien dans les scènes de couple. Mais un twist final déjà vu 100 000 fois, sans surprise (mais amené comme la révélation du siècle). Dommage, ce film arrive bien trop tard.

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Un peu pareil que pour the Machinist, c'est très bien fait, joli travail sur la musique et sur la mise en scène de la divergeance mentale (par moment des acteurs boivent... sans verre ! ou prennent une cigarette dans aucun paquet ! c'est subtil, faut bien faire attention pour le remarquer). Au final le coup du "c'est le héros qui est fou" déjà vu trop de fois, on s'y attend depuis la moitié du film au moins.

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Un côté jusqu'auboutiste dans la cruauté, ce qui modernise bien le genre horrifique-sérial killer, sans être non plus super original. Le film commence fort, et n'évolue pas très bien à mon sens, sans véritablement sombrer. Sauf la fin. Certes surprenante, mais ces films qui montrent les sérials killers trop fort qui ont la classe me dégoutent. C'est idéologiquement répugnant, soit-disant pour faire moderne-cool. Mais au final c'est juste poseur et arriviste. La fin aurait moins joué sur "l'effet" et sur le style "léché-crade", et sur la coolitude de la perversité qu'il aurait gagné en force dans le temps. Là il est juste dans l'air du temps et destiné à devenir ringard dans quelques années.

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Bon film, attachant, punchy. Avec une scène terrible sur un ring. On s'y attend mais la voir reste un choc. Le film aurait dut s'arrêter là. Après il sombre dans le mélo le plus banal et plus larmoyant, qui en rajoute a fond dans le pathos et le pathétique. Ca m'a gâché tout le potentiel émotionnel du film, je me suis sentit forcé de ressentir un truc que j'avais pourtant envie de ressentir pour les 2 protagonistes. C'est très désagréable.

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J'ai beaucoup aimé la première partie, bien que la réalisation soit trop dans une mouvance esthétique qui me saoule. Mais je trouvais original de faire un film qui se passe dans l'angoisse des profondeurs terrestres. Je ne sais pas si ça avait été fait avant, en tout cas c'est tellement évident que c'est parfait pour mettre la pression, et mettre en place une athmosphère ettouffante. Donc, cette première partie fonctionne bien, on y est, on devient claustro. Mais après, pouf pouf, voilà-t-y pas que des êtres sous-terrestres, genre entre des gobelins et des zombies aveugles -forcément carnivores (on se demande quand même comment ils ont survécus si lontemps sous terre avec si peu de viande à manger)- décident de s'attaquer a nos pauvres survivants. Pourquoi, puréé, mais pourquoi ?

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Jolie athmosphère comme seul Polanski sait en faire. Un léger humour bienvenue. Un travail sur l'idée du mal finalement assez rare. Pour au final, baiser dans les flammes et traverser la porte des enfers... Bon ok, mais pourquoi ? Les enjeux nous échappent, et on en retire rien, ni de se qu'il pourrait se passer une fois la 9eme porte franchie, ni (et c'est pire) de ce qu'il se passe avant. Du vent, du vent, du vent.

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Le concept de base, bien que répétitif, est relativement astucieux et le mélange des genres (slasher-fantastique) fonctionne très bien. La réal est chouette pour un si petit budget, et la colométrie assez originale. Le film s'enlise petit à petit dans ses multiples retours sur lui-même, mais on garde espoir que la fin sera à la hauteur de l'idée fondatrice du récit. Ben non, la limite a été atteinte depuis longtemps.