Les livres sur le Titanic.

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Pour mettre au point un système antimissiles, un groupe de savants américains a besoin d’un métal rare, le byzanium, dont le seul stock existant au monde avait été, semble-t-il, embarqué à bord d’un navire en partance pour New York en avril 1912 : le Titanic. Les caisses de byzanium se trouvent donc à plus de 3 600 mètres de fond dans les eaux glacées de l’Atlantique Nord.

Renflouez le Titanic !… tel est l’ordre donné à Dirk Pitt et à une équipe de techniciens et d’océanographes. Il s’agit de remonter à la surface les 45 000 tonnes d’acier à demi enfoncées dans la vase qui tapisse le lit de l’océan…

3ème Tome de la licence "Dirk Pitt" et qui a eu droit à une adaptation au cinéma, "La Guerre des abîmes" de Jerry Jameson.

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L'insubmersible Titanic aura marqué l'histoire à deux reprises. Une première fois, lorsqu'il sombra au milieu de sa croisière inaugurale, la nuit du 14 avril 1912. Puis, quatre-vingt-cinq ans plus tard, lorsque James Cameron fit de son odyssée le film le plus populaire de tous les temps.

Titanic est le premier film de l'histoire du cinéma à avoir engrangé plus d'un milliard de dollars de recettes à travers le monde. Cette superproduction a été abondamment couverte par les médias. Mais jamais on n'a raconté comme ici sa genèse et son tournage, de A à Z, avec une telle profusion de détails, y compris des extraits du journal du réalisateur ? À la lecture de ce livre, on a l'impression de revivre personnellement une fascinante aventure.

Depuis le jour où Cameron a lancé l'idée sur laquelle repose le film (" Roméo et Juliette sur un navire ") jusqu'à l'avant-première mondiale à Tokyo, Paula Parisi étudie tous les aspects du travail du cinéaste : plongées par 4 000 mètres de fond pour filmer l'épave, choix des comédiens, travail sur la musique, conception des décors, prises de vues, montage, marketing et, bien entendu, production... Car de prodigieuses sommes d'argent sont en jeu. Ce livre n'est pas seulement le récit du tournage d'un film extraordinaire. Il retrace aussi l'histoire de l'obsession, de la passion et de la quête de la perfection d'un visionnaire.

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14 avril 1912, 23 h 40. Sur le plus luxueux paquebot du monde, la soirée s'achève. Les passagers du Titanic regagnent leur cabine. Dans la fastueuse salle à manger des première classe, jamais encore l'atmosphère n'avait été plus gaie, les femmes plus belles, les hommes plus élégants.Peu à peu, les lumières s'éteignent dans le grand salon. Seuls quelques bridgeurs s'attardent au fumoir. Sur la passerelle, le premier officier Murdoch prend son quart. La mer est d'huile, le ciel limpide. Sur le paquebot de la White Star, tout va pour le mieux? Quelques secondes plus tard, le Titanic heurte un iceberg.

Avant l'aube, mille cinq cents personnes auront péri dans les flots glacés de l'Atlantique nord. Pour reconstituer heure par heure, minute par minute, cette nuit d'épouvante, Walter Lord a réussi à retrouver et à interroger les survivants du drame, les parents des victimes, les sauveteurs, les employés des compagnies de navigation, tous ceux qui furent, à titres divers, mêlés au naufrage. Remettant chaque fait, chaque geste, chaque mot à sa place, il est parvenu, au terme d'un véritable travail de détective, à remonter le temps.

Ce livre a eu droit à une adaptation au cinéma, "Atlantique, latitude 41°" de Roy Ward Baker.

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Quatorze ans avant le naufrage du Titanic, un écrivain américain (1861-1915) publiait ce court roman qui décrit de façon troublante le drame d'avril 1912.

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Le temps est au beau fixe, la mer est calme, les machines tournent à la perfection. En ce dimanche après-midi, tout va pour le mieux à bord de ce bateau de rêve, véritable palace flottant au raffinement suprême, fruit de la science nautique la plus accomplie. Orgueil du peuple britannique, il est le plus grand, le plus beau, le plus sûr. Le 15 avril 1912, le Royal Mail Steamer Titanic, fleuron de la White Star Line sombre corps et biens, au large de Terre-Neuve, lors de sa croisière inaugurale. Un fatal concours de circonstances l'a jeté, la veille au soir, sur l'iceberg meurtrier.

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Le colonel GRACIE décède le 4 décembre 1912. Il a été en mauvaise santé tout l'été, mais ne présente aucun problème physique précis. Il se sentait malade et faible et attribuait son état à l'exposition et à la tension qu'il avait endurées lors du désastre du Titanic. Mme GRACIE et sa fille furent avec lui jusqu'à la fin, qu'il savait proche, car la veille de sa mort, il fit amener à son chevet le ministre de l'Église de l'incarnation et la sainte communion fut administrée. Le lendemain, il resta inconscient pendant douze heures ; mais juste avant de mourir, il reprit conscience pendant une dizaine de minutes, reconnaissant tout le monde et leur disant au revoir.

Bien qu'il ait survécu sept mois au naufrage, c'est le Titanic qui a tué le colonel Archibald GRACIE. Ses luttes dans les eaux glacées de l’Atlantique Nord avaient brisé sa constitution, et les choses horribles qu’il avait vues lors de cette nuit fatidique ont fait de lui un homme hanté. Un observateur a déclaré qu'il avait l'apparence de quelqu'un « qui était descendu aussi distinctement aux enfers qu'aucun être humain voudrait le reconnaître, et qui était ressuscité d'entre les morts ». Il essaya néanmoins de donner un sens à ses expériences et ce livre fut publié peu après sa mort. La première moitié est son propre récit du naufrage et montre à quel point il a dû être à la fois chanceux et fort pour passer la nuit. Dans la seconde moitié, il raconte les histoires individuelles de chacun des canots de sauvetage du Titanic, résumant les faits bruts, puis fournissant des récits dramatiques de survivants, à partir d'entretiens personnels et de témoignages donnés dans le cadre des enquêtes britanniques et américaines sur la catastrophe. Dans la recherche désespérée de la vérité de son auteur, ce livre reste l'un des ouvrages les plus puissants sur le naufrage du Tinanic.

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Publié pour la première fois en 1912, deux mois seulement après le naufrage du TITANIC, ce récit d'une immédiateté obsédante s'ouvre sur l'histoire de Lawrence Beesley, arrivant à terre et peu après avoir franchi les portes de MM. Houghton et Mifflin pour raconter son histoire.

LA PERTE DU S.S. TITANIC représente la tentative de Beesley non seulement d'enregistrer les événements du naufrage, mais aussi de remettre les pendules à l'heure.

Ce faisant, il capture à la fois la majesté et la tragédie de ce voyage légendaire – la vue depuis le canot de sauvetage ainsi que celle depuis le pont. Rempli de merveilleux détails nautiques et écrit avec une clarté époustouflante, LA PERTE DU S.S. TITANIC est un récit tout à fait envoûtant de cette nuit fatidique - un récit que vous n'oublierez pas de sitôt.

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Deux jours après Noël 1738, un navire marchand britannique voyageant de Rotterdam à Philadelphie s'échoua dans une tempête de neige à la pointe nord de Block Island, à douze milles au large des côtes du Rhode Island. Le navire transportait des émigrants du Palatinat et de ses territoires voisins, dans ce qui est aujourd'hui le sud-ouest de l'Allemagne. Les 105 passagers et membres d'équipage à bord, malades, gelés et affamés, étaient tout ce qui restait des 340 hommes, femmes et enfants qui avaient quitté leur pays au printemps précédent. Ils se retrouvent désormais naufragés, aux portes de la mort et à la merci d’une communauté d’étrangers dont ils ne parlent pas la langue. Peu de temps après le naufrage, des rumeurs ont commencé à circuler selon lesquelles les passagers auraient été maltraités par l'équipage du navire et par certains insulaires. Les histoires ont persisté, se transformant au fil du temps comme le font les histoires et, en moins de cent ans, deux versions terrifiantes de l’événement étaient apparues.

Dans un récit, l'équipage a assassiné le capitaine, extorqué de l'argent aux passagers en prolongeant le voyage et en retenant de la nourriture, puis a abandonné le navire. Dans l'autre, les insulaires ont attiré le navire à terre avec un faux signal lumineux, puis ont assassiné et volé tout le monde à bord. Certains ont affirmé que le navire avait été incendié pour cacher les preuves de ces crimes, leurs histoires étant alimentées par des informations faisant état d'un navire fantôme enflammé vu pour la première fois à la dérive dans Block Island Sound à l'occasion du premier anniversaire de l'épave. Ces contes sont devenus connus sous le nom de légende du Palatin, nom donné au navire plus tard, lorsque son nom d'origine avait été oublié depuis longtemps. L'apparition enflammée a été surnommée la Lumière Palatine. Ce phénomène étrange a été observé par des centaines de personnes au fil des siècles et de nombreuses théories scientifiques ont été proposées quant à son origine. Ses réapparitions continues, ainsi que l’attention de certains des écrivains américains les plus remarquables du XIXe siècle, parmi lesquels Richard Henry Dana Sr., John Greenleaf Whittier, Edward Everett Hale et Thomas Wentworth Higginson, ont contribué à maintenir la légende vivante.

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Charles Herbert Lightoller, DSC & Bar, RD (1874-1952) était le deuxième officier à bord du RMS Titanic et un officier décoré de la Royal Navy. Il était le membre le plus ancien de l'équipage à avoir survécu au désastre du Titanic. En tant qu'officier chargé de charger les passagers dans les canots de sauvetage, Lightoller a non seulement appliqué avec la plus grande rigueur le protocole " les femmes et les enfants d'abord ".

Conformément à ce principe, Lightoller a abaissé les canots de sauvetage avec des sièges vides s'il n'y avait ni femmes ni enfants attendant de monter à bord.

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Récemment mis à jour à l'occasion du centième anniversaire de la tragédie par l'expert du Titanic Dave Gittins pour refléter les derniers faits et théories sur le naufrage du navire, Titanic : La mort et la vie d'une légende fascinera les experts, les amateurs et les nouveaux arrivants du Titanic.

Dans cette exploration captivante et approfondie du naufrage tragique du Titanic, le journaliste Michael Davie enquête sur les événements, les controverses et les légendes qui ont entouré le désastre. En passant au crible les documents historiques et les récits de survivants, Davie détaille les origines de la White Star Line au XIXe siècle, raconte l'histoire du voyage meurtrier du navire « insubmersible » et décrit la découverte spectaculaire de l'épave du Titanic en 1985. Davie propose des portraits perspicaces. des protagonistes et dramatise les heures confuses et terrifiantes qui se sont écoulées depuis le moment où le navire a heurté l'iceberg jusqu'à ce que ses survivants soient récupérés par l'USS Carpathia un jour plus tard.

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Récit convaincant et de première main, cette enquête décrit la quête de l’explorateur des grands fonds Robert Ballard pour retrouver le Titanic coulé. Des photographies, des peintures et des cartes rares racontent la nuit fatidique du Titanic et dévoilent le drame instant par instant des expéditions qui contribuent à raconter l’histoire du navire.

Abordant également de nombreux mystères qui ont entouré le destin tragique du navire, cette enquête approfondie présente diverses images de l'épave telle qu'elle a été découverte à l'origine, faisant de ce mémoire détaillé de l'expérience de Ballard dans sa recherche et sa découverte de l'épave un document historique émouvant.

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Voici le livre dont je ferai la critique avec tous les éléments du Titanic

Résumé du livre:

"Le Second Naufrage du Titanic" est le fruit d'une enquête élargie sur la construction du mythe du Titanic à travers le temps, entre réappropriations idéologiques, affaires classées top secret et interprétations artistiques.

Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le Titanic sombre en emportant plus de 1 500 personnes. L'ampleur de la catastrophe est telle que tout (et n'importe quoi) est dit au sujet de la tragédie. Des histoires fantasmées, séduisantes, fantastiques, des adaptations cinématographiques plus ou moins fidèles (de la version produite par les Nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale au chef d'œuvre de James Cameron), tandis que parallèlement, une autre histoire, la vraie, s'écrit dans l'ombre.

Et si tout ce que vous pensiez connaître au sujet du Titanic était en réalité complètement faux ? Et si la découverte de l'épave en 1985 reposait sur la dissimulation d'opérations militaires secrètes en pleine Guerre Froide ? Et si la question de la brisure en deux du paquebot, au cours de son naufrage, avait été volontairement mise de côté par les commissions d'enquête dans un contexte d'avant-Première Guerre Mondiale ? Et si le Titanic a volontairement été désigné comme le jouet médiatique ultime pour bercer le public occidental d'une fresque mythologique moderne ?

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Bonus:

Livre qui n'a rien avoir avec le naufrage du Titanic, mais qui a des points communs avec le livre de Matthieu Blomme.

1) Un naufrage.

2) Et une date de sortie.

A voir dans la critique!