Les meilleurs jeux vidéos en coop local

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Ce jeu épique et flamboyant bénéficie d'une direction artistique aux petits oignons. Les graphismes et les animations sont magnifiques, la jouabilité est excellente, les différents univers sont le fruit d'un travail d'imagination étourdissant. L'humour est omniprésent et l'ensemble de l’œuvre est rythmé par les musiques magistrales de Christophe Héral. Il est possible de jouer seul ou à deux, de choisir différents personnages et surtout de rejoindre ou quitter le jeu en cours de partie. Parfait pour jouer à deux. Rires et adrénaline garantis !

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Une durée de vie exceptionnelle pour ce jeu mêlant RPG, FPS, aventure et exploration dans un univers de science fiction décalé et irrévérencieux. On y côtoie des chasseurs de l'arche en quête de fortune, des trafiquants en tous genres, des scientifiques perchés, des mercenaires sans foi ni loi, des soldats à la ramasse, des serveuses de bar aux multiples talents, des robots à toutes les sauces, des mecs paumés, des drogués et des tarés en tous genres. L'arsenal à disposition des joueurs est littéralement infini : le jeu génère aléatoirement des fusils à l'apparence et aux caractéristiques différentes (munitions, temps de recharge, dégâts, précisions, munitions spéciales le cas échéants...). On passe son temps à améliorer ses caractéristiques, à changer d'armes et à dézinguer tout ce qui bouge. Les dialogues sont bien sentis, l'histoire prenante, l'univers loufoque et les différents mondes à explorer gigantesques. On se laisse très vite entraîner dans la dinguerie de Borderlands 2.

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Brillant précurseur de Rayman Legends. Tous les ingrédients sont déjà réunis : des graphismes superbes, une musique inoubliable, une jouabilité impeccable et un univers foisonnant. Le mode coop est particulièrement souple et permet de jouer seul ou à deux sans que cela pose de problème dans la progression de l'aventure.

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Un jeu court, mais remarquable par son originalité et la poésie qu'il dégage. Les joueurs incarnent des petits êtres en pelotes de laine amenés à coopérer pour évoluer à travers les niveaux. Simplement équipés d'un bout de laine qui s'échappe de leur corps, ils devront s'accrocher l'un à l'autre, se décrocher au moment idoine, jongler à travers le décor, l’utiliser pour se mouvoir... La jouabilité est parfaitement pensée et le mot "coopération" prend tout son sens. Par ailleurs, les décors et la musique sont superbes. Évasion et apaisement au programme.

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Superbe réalisation vidéoludique qui brille par son originalité, sa folie et l'imagination débordante dont on du faire preuve les concepteurs en terme de gameplay. A travers de très nombreux niveaux, les joueurs incarnent les deux membres d'un couple sur le point de divorcer dont l'esprit a été transféré dans deux petits jouets fabriqués par leur fille. Guidés par un livre qui parle sous ecstasy (ce qui était probablement le cas de tous les concepteurs de ce jeu), ils vont évoluer à travers leur cabanon de bricolage, leur jardin, la chambre de leur fille, une boîte à musique ou encore une boule à neige, en se frottant à des écureuils belliqueux, des outils vivants, des plantes maléfiques ou encore des jouets animés. Chaque monde étant l'occasion d'explorer une nouvelle technique de jeu en coopération : tout est pensé pour qu'un joueur ne puisse pas avancer sans l'autre ! Il faut reconnaître que les idées sont globalement brillantes. Seul petit bémol : le script un peu lourdaud (les parents qui veulent divorcer et le livre magique qui veut les remettre ensemble) et les dialogues terre-à-terre (la voix de la femme est particulièrement irritante). Un très bon moment d’aventure à deux néanmoins, du fait d'un gameplay exceptionnel et d'un univers extravagant !

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Des graphismes aussi simples que psychédéliques, une musique électro entêtante... Ce jeu possède une identité artistique bien à lui ! Pour le reste, on incarne des petits lapins/chatons/grenouilles/oiseaux super MIGNONS qui pilotent leur vaisseau Boule de gomme et vont défoncer tous les méchants de la galaxie. Pourquoi ? Parce qu'ils sont gentils et que les méchants sont méchants, pardi. Pétris par la puissance de l'amour, nous allons donc répandre l'amour à grand coups de canon laser. La jouabilité est assez minimale, mais nécessite beaucoup de concentration et de coopération, puisqu’il y a huit postes à occuper à bord (quatre canons, une arme spécial, un bouclier, un poste de pilotage et un radar) pour seulement deux (ou trois, ou quatre si vous avez les manettes et les amis nécessaires !) membres d'équipage. Tout cela est aussi ridicule qu'attachant et addictif. Une fois lancé, il est difficile d'abandonner le vaisseau de l'amour !

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Le concept de jeu est aussi élémentaire qu'efficace : des personnages sans jambes -mais aux bras démesurés- doivent traverser la carte en s'accrochant au décor pour aller se nicher dans le nid d'arrivée. Pour y arriver, les joueurs vont devoir coopérer afin de former des chaînes ou s'éjecter sur les différentes parties du décor. Un instant d'inattention et c'est le drame : le personnage tombe dans le vide et réapparaît au point de départ (ou presque). Le tout est agrémenté d'une bande-son qui transforme l'ensemble en une épopée grotesque, ponctuée de cris niaiseux et bruits de trompette mouillée. Fous rires garantis que l'on joue à deux, trois ou quatre !

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Le même univers rock'n'roll et délirant que Borderlands 2. Toujours autant d'armes, de personnages haut en couleur et de cartes immenses à parcourir. L'effet de surprise en moins toutefois... De plus, le jeu propose de nouveaux véhicules un peu pénibles à piloter et deux méchants qui n'ont pas le charisme du Beau Jack ! La plupart des ingrédients d'origine étant toujours réunis, l’expérience de jeu reste évidemment très jouissive et certains personnages proposent des caractéristiques intéressantes (notamment l'ours de fer de Moze).

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Les concepteurs exploitent la recette jusqu'au bout. Comme le troisième opus, cette "pre-sequel" est efficace, mais n'arrive pas à la hauteur en terme de scénario et l'exploration est moins excitante que dans le second et troisième opus. Mais là encore, tout est réuni pour passer de bons moments à tirer sur tout ce qui bouge et looter des items à gogo.

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Certes le jeu n'est pas à la hauteur des précédents opus en termes d'ambiance et d'horreur. On commence à lorgner sérieusement du côté du pur jeu d'action. Toutefois, le cadre africain dépayse et pose une ambiance particulière (sous-exploitée au demeurant). La coop est toutefois efficace, chaque personnage joue un rôle et les capacités limitées de l'inventaire obligent à coopérer pour se partager armes, munitions et plantes vertes/rouges. La tension est toujours présente, les niveaux nombreux et l'histoire tient la route. Que demander de plus qu'une soirée à dézinguer des zombies à deux ? Des bières, peut-être ? ça tombe bien, les deux se coordonnent parfaitement !

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La mythique série des Halo permet une sympathique expérience en coop, même si je ne comprends pas ce qui lui a valu une telle renommée. La possibilité d'accomplir tous les jeux de la série en coop locale est en soi déjà un point que l'ont peut saluer. Toutefois, il s'agit d'une sorte de "coopération en miroir", où le second joueur ne possède pas de personnalité propre et de réplique particulière. Il ne s'avère être qu'un double de Masterchief (qui ne brille pas non plus par son charisme au demeurant) et ne participe pas à l'histoire en tant que tel. Le jeu propose malgré tout un scénario correct (sans être palpitant), des décors sympathiques, un arsenal efficace (identique au premier opus), des musiques new age qui emporte le joueur et la possibilité d'incarner l'Arbiter. Ce second opus est le meilleur de la série à mon sens.

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Mêmes commentaires que Halo 2. Ce premier opus pose les bases de la série, les graphismes ont vieilli (même si une version aux graphismes améliorés existe) et les niveaux dans les bases sont un peu lassant (c'est une faiblesse de toute la série au demeurant). L'expérience reste cependant appréciable.

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Même qualités et reproches que les premiers et seconds opus. Mais si l'on pense trouver un peu d’originalité du fait qu'on n'incarne plus Masterchief, on se trompe : les armes et les mécaniques de jeu sont toujours les mêmes.

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Une magnifique réalisation graphique et musicale. Ce jeu s'inscrit dans une esthétique de dessin-animé des années 30 : un régal pour les yeux et les oreilles. On se laisse vite séduire par ce jeu à la fois mignon et effrayant (certains personnages sont véritablement diaboliques). La coop est ici un véritable atout tant la difficulté est élevée (et n'espérez pas pouvoir la changer) : c'est d'ailleurs la principale faiblesse de ce jeu à mes yeux. Face à l'absurde difficulté de certains niveaux, il est possible de décrocher et de rendre son tablier. Ce qui est extrêmement frustrant au regard des graphismes somptueux et de l'ambiance magique de ce jeu.

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La franchise reprend du poil de la bête dans ce quatrième opus de la série après un Halo 3 mou et moins intéressant. On revient au niveau des premiers opus, sans changement majeur. La franchise Halo est paresseuse.

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Moins bon que les autres épisodes de la série, moins développé en terme de scénario et des décors notamment. Mais bon, le jeu remplit son office et propose toujours une aventure efficace.

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Un univers de science fiction qui fonctionne toujours. Des mécaniques de jeu efficaces. Un arsenal bien garni. Des locustes découpés à la tronçonneuse. Pour le reste, les dialogues sont assez indigents et la durée de vie du jeu reste très courte. ça fait passer le temps en attendant de trouver un jeu un peu plus consistant à se mettre sous la dent.

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La célèbre franchise de jeu de guerre offre avec cet opus la possibilité de jouer en local en multijoueur classique ou au mode zombie. Les mécaniques de jeu sont efficaces, les cartes du multijoueurs sont plutôt variées et il y a suffisamment d'armes et d'équipements pour s'occuper quelques dizaines d'heures. A noter que le mode multijoueur n'est pas un mode coop à proprement parler (même si on peut se mettre dans la même équipe et combattre un bataillon de bots). Le mode zombies nazis -une véritable coop en local- est également bien rôdé. Il faut dire que la saga CoD n'en est pas à son coup d'essai dans le domaine. Bien que ce mode propose toujours un scénario tiré par les cheveux et demande aux joueurs de résoudre des énigmes un peu absconses pour progresser, il est toujours plaisant de dézinguer quelques SS zombifiés à coups de MP40 et . Les cartes sont assez étendues, mais limitées à quatre (dont une qui s'avère n'être qu'une maison barricadée, sans possibilité d'en sortir). Rien de révolutionnaire, mais cela permet de passer quelques soirées sympathiques en attendant de trouver un jeu en coop avec une véritable histoire.

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La série Resident Evil poursuit lentement sa descente aux enfers vidéoludiques avec cet épisode très testostéroné. Exit les zombies qui surgissent au détour d'une porte et vous font sursauter sur votre canapé, exit les abominations purulentes qui vous donnent la nausée, exit aussi le stress de se retrouver à court de munitions. Ici les personnes infectées ressemblent à des centaures-sauterelles, se baladent en troupeaux et peuvent se dézinguer à coups de poings. Pour le reste, Michael Bay semble s'être emparé des manettes de la série : ça explose dans tous les sens, on pilote un avion de chasse... Bref, on joue à un FPS bourrin. ça occupe.

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On saluera l'esthétique soignée de ce jeu en 3D isométrique. Il y a une véritable atmosphère et pendant les premières heures de jeu on est content de pouvoir canarder à tout-va. Toutefois, la jouabilité n'est pas toujours évidente, l'IA des ennemis assez limitée et les mécaniques de jeu finissent par être répétitives. La navigation sur la carte est également laborieuse. Concernant l'histoire, le jeu n'a pas de traduction française, donc il faut s'accrocher pour suivre les dialogues rapides et argotiques. Il s'avère de toute façon, qu'il n'y a rien de transcendant dans ce scénario, aucune cinématique et les dialogues verbeux des persos sont finalement assez creux. Insuffisamment immersif, lassant... Nous n'avons pas achevé l'aventure.

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Les graphismes sont colorés, le concept efficace et le stress au rendez-vous. C'est d'ailleurs bien là le problème. Tout cela est très répétitif, très énervant, très stressant. Après une journée de travail, on cherche un jeu pour s'évader, oublier le boulot, devenir un explorateur spatial, un tueur de zombies, un chasseur de l'arche ou un chevalier jedi... pas un commis de cuisine ! Avec Overcooked 2, on a l'impression de commencer une deuxième journée de boulot. Pas pour nous !

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Avec cet opus, Halo abandonne Masterchief pour s'intéresser à des soldats lambdas sans personnalité. Le jeu n'exploite pas du tout les possibilités offertes par un environnement kenyan, les décors sont ennuyeux et illisible. Par ailleurs, on perd la dimension mystique des précédents opus et on tombe dans le jeu de tir bourrin (sans proposer de nouvelles armes pour autant). Tout semble anecdotique, sans âme et ennuyeux dans cet opus, complètement insignifiant à mes yeux.

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Certes, les graphismes sont élégants, mais pour le reste quelle déception ! Des dialogues niais, des combats au tour par tour, des mécaniques de jeu répétitives, un second personnage qui consiste en une boule lumineuse aux interactions plus que limitées... Je ne sais pas ce que cela donne en solo, mais à deux : quel ennui !

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L'idée semblait amusante sur le papier. Mais une fois le jeu lancé, l'ensemble manque d'âme. Pas de dialogue, des décors rudimentaires, des mécaniques de jeu pas tout à fait rodées... La manette nous en est tombée des mains.