Les moments qui restent [Jeu vidéo] [Spoils]

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Une de mes premières expériences du jeu vidéo si ce n'est la première. Des niveaux recommencés sans arrêt, qu'importe, je m'amusais. (Non défini)

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Ma première expérience sur Game Boy ? Bien possible. Des sonorités qui résonnent encore aujourd'hui. L'envie d'aller le plus loin possible. (Non défini)

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Les cousins qui m’apprennent que la vie c'est aussi se prendre des raclés dans le jeu vidéo. (Non défini)

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Quand on touche pour la première et seule fois à une Gamegear. (Non défini)

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Un moment hors du temps pendant des vacances d'été où je ne peux me rappeler que de mes expériences vidéoludique. Ce Beat Them All en fait partie. (Non défini)

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Le jeu vidéo avec un ami. La définition des après-midi cools. Et pour l'avoir refait des années après, je prends toujours autant de plaisir à me bastonner dans cette ascenseur en balançant les tortues ninja dans le vide. Une pensée pour l'OST marquante. (8 ans)

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Une aventure unique à l'époque. Une OST entêtante. Ce bon vieux Dracofeu avec son attaque Tranche que je trouvais géniale. Ce fut, très certainement, la seule et unique fois que je complétais le Pokédex avec un Mew donné par les amis de l'époque. La joie d'un but atteint en équipe. (9 ans)

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Où j'ai développé mon goût pour le jeu de combat et les OST que j'écoutais en boucle dans le menu BGM et où je m'essayais à l'anglais pour la première fois. En plus d'être un très bon jeu de combat (avec des personnages cachés comme Iori Orochi !), il a marqué ma jeunesse sur console portable. Un pilier du gamer que je suis. (9 ans)

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Une ambiance étrangement vide mais qui ,je suppose, donnait un charme. La première fois que j'expérimentais le plaisir de regarder quelqu'un d'autre jouer à un jeu vidéo. (10 ans)

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Jouer à ce jeu jeune, c'est intégrer une esthétique punk et trash qui vaccine contre tout le reste. Road Rash avait quelque chose de plus que les jeux de courses : il était fun. Je serai curieux de revoir un jeu aussi bizarre. https://www.youtube.com/watch?v=gBdlScU7N6M

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Une passion inébranlable pour ce jeu et l'été qu'il représente. Varié et bien fait, je me souviens encore de ce premier village et de ce vendeur féroce qui ne comptait pas me voir sortir de son magasin sans payer. A refaire un jour. (10 ans)

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Parce que je découvrais la peur dans le jeu vidéo. La peur de sur un Marteleur qui vociférerai le mythique : "Misérable cloporte!" avant de me punir lourdement. La peur aussi de tomber face à un mort vivant sans eau bénite ou de fuir une horde de Burèques cauchemardesques. Ce jeu avait quelque chose d'inquiétant, macabre. J'espère retrouver cette licence pour continuer d'y jouer.(10 ans)

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Le jeu familial avant l'avènement de la Wii. Mes frères, mon père et moi, rigolant devant la débilité du pigeon à tête chercheuse. (11 ans)

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Où j'ai passé mes vacances chez mes grands-parents à gribouiller sur du papier des théories en pensant qu'il y avait un secret derrière le langage Zarbi. Un travail sur l'imagination débordante d'un enfant. (11 ans)

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Il aura fait de mon été de mes 13 ans un moment hors du temps où j'ai passé en continue un temps non mesurable à y jouer. Un vrai coup de coeur à l'époque.

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Ou comment occuper ses vacances chez un copain en torchant un jeu pendant une semaine sans rien faire d'autre du soir au matin (un petit peu de Melee quand même). Et ce, après avoir perdu sa sauvegarde en milieu de parcours. Il aura été le seul CD à subir ça. (13 ans)

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Le jeu multi de mon adolescence. Un nombre incalculable d'heures passées entre amis. Tout était génial : OST, armes et maps. Elvis, si tu m'entends. (14 ans)

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Encore un jeu sur Gameboy qui m'a fait dire que décidément, j'adore les mondes fantastiques et les RPG sur consôle portable. Avec son système de grille et ses évolutions en métier, son OST génial et son ambiance, FFTA a été un grand moment qui j'espère me restera à l'esprit. (14 ans)

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Mon premier jeu en LAN dans les cyber-cafés. Une époque à lui seule. (14 ans)

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Complété deux fois avec la surprise du chapitre draconique au bout. Le jeu PS2 sur lequel j'ai passé le plus de temps. Encore une fois, une OST envoûtante. (15 ans)

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La scène de l'épilogue où, manette en main, il m'a été impossible de résister à l'attraction de cette force venu d'ailleurs. Dans ma tête, quelque chose avait rompu. Devant l'inéluctable, sont tombées mes premières larmes du jeu vidéo. La seule OST que j'écoutais dans mon lecteur mini-disc. (16 ans)

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Un jeu tellement dingue qui me faisait dire qu'on pouvait avoir des idées et un enrobage dégueu. Tellement fun et barré. J'étais conquis au point d'en collectionner les T-shirts dans le jeu et de passer au magasin du jeu pour écouter Genki Rockets. (17 ans)

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Mon premier Visual Novel. Poignant de simplicité. L'histoire d'enfants malades, sur le plaisir de s'évader. Il est gratuit, jetez-vous dessus. (18 ans)

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Un jeu très drôle auquel j'ai joué entre amis. Une fin mémorable.
SPOILER // Après avoir passé son temps à sauver les princesses, découvrir que celle dont on a toujours caché le visage pendant le jeu, soit en fait un clown dans l’absurdité d'une danse avec des pingouins. (19 ans)

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Mon premier jeu vidéo "indépendant". Le dernier niveau du premier monde ? Une horreur de patience et de courage après plus de 40 essais consécutifs. (20 ans)

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J'ai le souvenir que peu de gens avaient aimé ce jeu. Notamment pour son absence de game over qui n'est clairement pas un point négatif pour ce jeu. Personnellement, j'ai adoré, un peu à la manière d'El Shaddai, la chorégraphie somptueuse des combats, la légèreté des déplacements et l'ambiance caractéristiques des contes d'Orient. Même la complicité entre les deux personnages souvent en opposition, étaient bien faites. Il est aussi marquant pour sa fin (hors DLC il me semble) qui donne au héros le rôle si dur à moitié assumer au final, de l'égoïste éperdu préférant sauver sa bien aimé et combattre le Mal à jamais en condamnant le monde. (20 ans)

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Un jeu où j'ai passé, pour le moment, plus de temps à écouter son OST qu'à jouer au jeu en lui même. (21 ans)

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Un jeu où j'ai été en phase avec l'univers. Mon premier et seul Collector acheté à ce jour. J'ai passé un temps fou à cracker les PC du jeu pour lire un article qui me ferait marrer. (21 ans)

Annotation :

J'ai passé tellement de temps dessus. Un truc viscéral entre ce jeu et moi. Une introduction tellement plus réussi que celle d'Oblivion. Il fait aussi le tour de force de me faire découvrir des nouvelles quêtes après plus de 500h dessus. Pourvoir vaincre des dragons à mains nues, ça n'a pas de prix. (22 ans)

Annotation :

Où j'ai pu prouver que ,moi aussi, j'avais du skill sur un jeu. Entre rire et douleur. J'ai bien entendu acheté Rebirth. (21 ans)