Les types qui ont imaginé ça sont de grands sadiques

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Voir tout le folklore du pays des merveilles ce faire proprement massacrer, sans parler des gamins tarés perdus à droite à gauche, du design cauchemardesque et des pnj totalement torturés...aussi glauque que prenant.

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meurtres, famille immolée, viols, animaux à moitié morts exposés en vitrine...charmant.

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Alice semble décidemment inspirer les grands malades de notre temps.
Pour rappel, la premier niveau est habité par le cadavre de notre chère Alice, morte de faim à force de tourner sans trouver la sortie. Le sadisme va jusqu'à exprimer ses tourmants avec des mots sur les murs...

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Déjà, pour imaginer autant de pièges et d'ennemis, il faut être sacrément mauvais envers les joueurs. Si en plus on ajoute à ça le côté glauque du titre...

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Si le jeu commence dans un espace relativement dégagé, presque beau malgré quelqrues zombis par ci par là, on s'enfonce rapidement dans des sous terrains affreux.

Pour moi, le top, ça a été quand j'ai trouvé sur mon chemin un nid de vers à l'intérieur d'un cadavre humain. Juste avant que JE ne devienne leur prochain nid. Bon appétit.

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Quel psychopathe peut faire un personnage principal âgé d'environ 3ans (bah oui, il grandit artificiellement, donc au niveau du cerveau, il a toujours 3ans) cotoyant prostituées, mendiants, alcoolos et malades mentals?
Et qui peut être assez dingue pour baser toute l'intrigue sur un désir de vengeance envers la personne qui a "flingué mon nounours"?
J'adore ce jeu.

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On vous pousse à tromper votre copine avec qui vous allez vous marier, on vous fais pourchasser par cette dernière, par votre futur fils avec une tronçonneuse à la main, et en balance dans le vide des moutons qui sont en fait des humains.
Tranquille.

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Dois-je vous rappeler que le copain de Juliet est privé de son corps? Et que son maître d'arme est un sacré pervers? Et que le jeu nous incite toutes les 10min à bouger la caméra pour mater sous la jupe de Juliet?

Sadiques ET vicieux.

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"Le jeu a donc été interdit à la vente peu après sa sortie, du fait de son contenu... un peu dérangeant.
Puisqu'on y croise entre autre joyeuseté des enfants défigurés, une profanation de cimetière, et des ambiances plutôt bien rendue dans une morgue ou encore un cirque abandonné (avec tout ce que ça sous-entend comme rencontre derrière)."

Merci à Zed Bahr pour cette proposition. Effectivement, là on part dans quelque chose de bien plus trash.

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Zedbahr fait passer les oeuvres précédentes pour de la douce rigolade.
"Ce jeu de combat sulfureux consistait à opposer des psychopathes décédés dans des tournois où ils pouvaient gagner leur résurrection. Les affrontements, qui accueillaient de 2 à 4 joueurs, allaient très loin : démembrements, finishs gore, tenues SM et coups spéciaux sexuellement explicites. C'est en rachetant Virgin Interactive qu'Electronic Arts se retrouva avec ce projet sur les bras. L'éditeur prit peur pour son image et décida d'annuler Thrill Kill à quelques semaines de sa sortie. Ecoeurés, les développeurs ont diffusé le jeu sur Internet, afin que leur travail ne soit pas totalement vain." (source jeuxvideo.com)

Chiller
"Le but consiste à effectuer le plus gros carnage possible dans des environnements particulièrement glauques (une chambre de torture, une morgue...) pour faire grimper sa "jauge de monstruosité" (sic), sachant que parmi les cibles potentielles figurent des êtres humains agonisants dans des instruments de torture. Corps dépecés, écrasés, mutilés : le jeu ne nous épargne aucun détail graphique. Extrêmement dérangeant, il a été refusé par de nombreux gérants de salles d'arcade mais a tout de même bénéficié d'un portage sur NES, à la violence épurée." (source jeuxvideo.com)

Harvester
"Violence outrancière, meurtres en série, suicide, actes sexuels, prostitution, pédophilie, maltraitance d'enfant, cannibalisme, homophobie, racisme..." (source jeuxvideo.com)

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QTE qu'il faut deviner, mot de passe qui te tue, hitbox complètement pété, level-design foireux... Si c'est pas de la torture ça...

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Je me souviens d'un passage dans une bibliothèque. C'était terrible.

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[spoiler]
Il y a une fin en particulier... vous savez, celle où le narrateur vous emmène devant un spectacle beau et reposant. Il s'y sent heureux. Et pour "finir" ce passage, il faut monter tout en haut d'un escalier et sauter. Pour se suicider. Une fois. Mais ça rate. Alors on recommence. Encore une fois. Et encore une fois. Et on s'acharne. Avec ce narrateur qui nous supplie de ne pas mourir. De ne pas relancer le jeu. Et nous, joueurs, fascinés, recommençant encore et encore.

Génialement morbide.

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Je pense que ce monsieur McMillen avait un petit problème relationnel avec sa maman...

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Envoyer à la mort autant de descendants dans un château hanté, c'est mal. J'ai dû massacrer des lignées entières, faisant des milliers d'orphelins... les pauvres...