Livres lus en 2014

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Je commence très bien l'année. Ce livre m'enchante littéralement. Je l'offre à tout le monde autour de moi, à toutes les femmes que j'aime bien.

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Un livre qui porte bien son nom : beaucoup de mots et peu d'idées vraiment fortes dans ce livre. Un peu décevant, mais j'attends toujours trop de ce genre d'ouvrages

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Je l'ai lu quasiment d'une traite, ce qui est devenu rare chez moi. C'est son premier livre, l'auteur est très jeune... Peut-être qu'il deviendra écrivain, on ne peut savoir encore, mais je le lirai s'il en publie un autre.

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Je décide de m'attaquer sérieusement à Doris Lessing, j'en commence plusieurs en même temps : voilà le premier que je finis. La naissance d'un monstre dans une famille bien jolie bien gentille ; un peu fantastique, pas mal du tout.

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C'est son premier roman. L'histoire d'une femme dont le racisme est littéralement viscéral, avec ce que ça draine d'ambivalence et de haine de soi. C'est très bien, vraiment.

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C'est un livre raté, mais alors ce qui s'appelle raté.

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Le dernier volume (je veux dire le plus récent) de la série bardadraque... Un peu minaudier... Mais Genette a toujours tendance à en faire trop (à épuiser ses sujets) et comme on l'aime quand même et peut-être même pour ça...

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Alors ça, c'est vraiment nul, même pour le train. D'ailleurs mon libraire m'avait prévenue ! Et dire que c'est sur la foi d'une critique de sens critique que je l'ai lu...

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Un livre sur la relation entre la littérature, le crime et la loi. Pas beaucoup d'idées neuves, mais des exemples variés et parfois originaux, et puis c'est plaisant à lire, c'est déjà ça.

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je m'y suis vraiment ennuyée... Mais tout le monde dit que le volume suivant est génial. Alors je vais lire le suivant...

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Le volume vaut surtout pour les textes de la fin, "Out" et "Home"... mais le reste est assez convenu. Je me demande si Koltès n'est pas un auteur légèrement surévalué. Il y a quelque chose que je trouve daté dans cette esthétique, très "années 80"... Mais bon, pourquoi pas...

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C'est bien laborieux... On s'y ennuie pas mal.

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Un récit original fondé sur le thème de la nuit de noces, ratée naturellement. Une écriture de l'entertainment très habile.

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Un roman très mièvre, sans grand intérêt. Un portrait de femme assez peu vraisemblable par ceux et celles qui l'ont connue, sur fond de guerre... Bof, sans intérêt vraiment

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Une quête du fils vers le père, sur fond de nature sauvage et enivrante. Mouais... ça va bien parce que c'est court.

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Le regard de Georges Hyvernaud sur l'après-guerre est immensément lucide et amer. On comprend que personne n'ait voulu le lire en son temps...

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Un des livres les plus émouvants que j'aie lus ces dernières années. Chaque nouvelle dresse le portrait d'un homme qui a perdu quelque chose ou quelqu'un, et qui finit par s'accommoder de ce manque. C'est selon l'auteur la manière pour chaque homme d'en devenir un. Magistral.

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C'est juste une énième histoire de l'écriture... Sans intérêt, à part peut-être le chapitre de la fin, mais là encore, c'est déjà dit et redit, déjà lu et relu....

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Recommandé par mon libraire, ce qui ne lui fait pas honneur, malgré tout l'amour que j'ai pour lui. Du romanesque kitch, genre "Tintin au Congo" mais sans les images.

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Le monologue de l'auteur sur l'après 11 septembre est remarquable. La parenté avec Spiegelman est saisissante, mais par parenthèse, une qui est probablement très inspirée par Horovitz, c'est Yasmina Reza.

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Le dépouillement progressif et systématique d'une femme pendant un an. ça se lit sans déplaisir, mais ce n'est pas mon Echenoz préféré. ça me fait penser que je n'ai toujours pas lu "Je m'en vais"

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Dans mon souvenir, c'était plutôt chiant, mais pas du tout. C'est même passionnant de le relire 40 ans après sa parution, avec l'essor du genre de l'autofiction

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un polar acheté pour l'avion... bon, un polar quoi.

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Les romans de Stephen King me font toujours le même effet : les 400 premières pages m'emballent et les 400 dernières m'ennuient tellement que je finis par me foutre complètement de ce qui arrive à l'héroïne. Il faut tout de même reconnaître à cet auteur un certain talent pour la narration subjective.

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Un honnête thriller psychologique, bien mené, pas totalement original mais bon...

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La première moitié se lit avec intérêt mais le retour parmi les siens de la séquestrée est d'un ennui mortel : et c'est quand même toute la deuxième moitié. Il va falloir que je fasse une pause avec les thrillers ; ça commence à me fatiguer (dit-elle en se demandant lequel elle allait bien pouvoir lire ensuite)

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Excellent, cruel à souhait.

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Plutôt une bonne surprise que la relecture de ce récit, dont le surnaturalisme exacerbé, un peu kitch, m'a charmée plutôt qu'exaspérée comme je le redoutais d'abord. Du coup, envie de lire ce qu'en écrit Kristeva.

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Un livre remarquable. La composition extrêmement habile rend hommage au titre, fort beau. La fin traîne un peu en longueur, mais bon, ne chipotons pas (se souvenir de Sœur Rachel, passionnée par les déjections).

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C'est loin d'être le meilleur de la série, mais ça se lit sans déplaisir. Camille Verhoeren, entre résignation et énergie.