Livres lus en 2015

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Cf critique. J'ajouterai que je suis exaspérée que ce livre soit autant cité en interview, alors que non seulement les interviewés ne l'ont pas forcément lu, mais qu'en plus rien que le style est d'une médiocrité sans nom.

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Cf critique

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Cf critique

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Annotation qui vaut pour la trilogie : ça se lit sans trop de difficultés (euphémisme), et la fin est une bonne surprise comparé à l'ensemble de la qualité de la saga, puisque les choix de l'auteure relèvent le niveau. Pour le reste, ça se consomme comme un hamburger au Mac Donald's.

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Cf critique. La modernité de "Le Moine" m'étonne encore, quand j'y repense.

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Cf critique

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Cf critique, avec un long débat à la clé pour les intéressé-es.

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Cf critique

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J'ai prévu une relecture pour 2016, dans le but d'écrire une critique pour ce livre, qui le mériterait amplement. Sa particularité réside dans la description d'un archétype assez peu abordé dans la littérature, et dans lequel peu de personnes pourront se retrouver, mais si elles l'ont sous la main, l'enchantement qui les saisira alors n'en sera que plus grand. Un véritable chef d'oeuvre.

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Une traduction dans une langue superbe, pour cette brève histoire contée à la façon des Milles et une Nuits. Brève, elle fait état pour une des rares fois d'une femme qui grâce, ou à cause (c'est selon) de sa séduction plongea beaucoup d'hommes dans la ruine, et ce jusqu'à sa mort.

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De bonnes idées pour un livre perdu dans pas mal de procédés littéraires qui le rendent extrêmement mauvais, et beaucoup trop long, le tout pouvant être facilement réduit du tiers sans que cela ne nuise à la qualité générale de l'histoire. A noter cependant, le travail fait en amont sur la façon de guérir la peste noire est très bien documenté.

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Cf critique. Au final, même si j'ai aimé la Horde du Contrevent, je lui mettrai plus un 6.5 qu'un 7, pour les lenteurs au démarrage, mais aussi la prévisibilité de la fin.

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Suite de nouvelles, à la fois anecdotiques et savoureuses (je ne connaissais Junichiro Tanizaki qu'à travers son essai, Eloge de l'Ombre si je me rappelle bien). La première est particulièrement drôle, et ça se lit vite. Pour se changer les idées.

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Cf critique. A ajouter, un roman d'aventure plutôt sympathique, qui se lit d'une traite.

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Moins misogyne que Fondation, même si des relents de "la femme à la maison" sont encore présents. J'ai trouvé les nouvelles assez inégales, certaines m'ont laissé indifférentes, d'autres m'ont véritablement enchanté (d'où ma note). Malgré cela, Asimov reste toujours un plaisir à être lu.

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Ce livre a fini par me faire déprécier Simone de Beauvoir, tant son personnage possède un sale caractère. A côté, certains passages m'ont paru d'un ennui profond, et j'ai trouvé que l'ensemble était marqué par une forme d'immaturité, à laquelle je fais un rejet.

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Cf Critique. Un Pavé assez mauvais.

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Cf Critique. A égalité avec Soumission pour l'une de mes pires lectures de l'année 2015. Je l'ai achevé en une soirée, tellement je voulais en finir avec le livre. Je l'ai suicidé, en quelque sorte.

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Cf Critique. Une révélation pour moi, d'une clarté limpide.

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Un page turner. Plutôt agréable, dévoré en quelques jours.

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Il me semble que le style de ce roman de Enard est beaucoup plus accessible que Boussole, son dernier roman primé au Goncourt (que je voudrai lire également). Enard est un auteur plutôt doué pour faire voyager son lecteur, qu'il fait transporter ici à Istanbul.

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Difficile d'ajouter quoi que ce soit de pertinent à Voyage au bout de la nuit, si ce n'est qu'il s'agit effectivement d'un chef d'oeuvre, d'une densité incroyable.

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Cf critique, j'ai été assez déçue par le Tour d'écrou.

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Cf critique. Autre grande déception de cette année, dans la mesure où je voulais lire Kundera depuis maintenant longtemps. Je ne suis pas certaine de réitérer l'expérience.

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Un roman policier à l'envers, où on connaît les coupables, où on se doute qu'ils vont être arrêtés, stoppés dans leur voyage, mais où on ne sait pas quand. La finesse d'analyse psychologique de Truman Capote y est remarquable d'acuité. Il faut dire qu'il a passé plusieurs années à amasser de la documentation pour "De sang-froid", jusqu'à aller sur les lieux du crime, dans la ville, et lier amitié avec un des coupables. Ce roman est en quelque sorte un hybride entre le roman policier classique, et le reportage.

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Pas indispensable, mais plutôt bien fait malgré tout, avec des conseils assez intéressants. Je reproche simplement à Bruno Tessarech une tendance à considérer la littérature française comme supérieure à la littérature américaine. Ce caractère élitiste est à mon sens plutôt néfaste.

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Une autre déception assez grosse, pour un livre soporifique et naïf. J'ai encore du mal à comprendre comment Chambers a pu inspirer bon nombre d'auteurs reconnus comme des références aujourd'hui.
Le Roi en Jaune est un recueil de nouvelles, dont certaines ont un rapport avec un livre soi-disant tellement choquant que quiconque en lit la seconde partie en devient fou. Les autres nouvelles, elles n'ont pas de lien avec le titre du recueil.

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Quand tout est nul, un Jane Austen et c'est reparti. On sait toujours que dans les romans de Austen, tout démarre comme dans une pièce de théâtre, avec une histoire qui se finira bien, mais on arrive quand même à douter, ne serait-ce qu'un peu à un moment ou à un autre du récit.
Dans la façon dont Jane Austen a de décrire ses personnages, on ne peut s'empêcher de penser à des personnes de notre entourage qui y correspondent. Ses romans ont tous quelque chose de la réalité de la vie.