Margaret Sullavan : l'émotion à son paroxysme

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Le chef-d'œuvre de la carrière de Sullavan, et de Lubitsch d'ailleurs, et de Stewart d'ailleurs. Un film tout simplement parfait, de la joie, de la tristesse, on passe par toutes les émotions dans un film parfaitement écrit et joué.

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Un film pas très connu dans la carrière de Sullavan, l'une de ses collaborations avec James Stewart et un drame déchirant de bout en bout, notamment grâce au talent et à l'alchimie du couple.

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Sullavan elle a un truc, elle joue dans des histoires qui se passent en Europe. Déjà en Hongrie dans Rendez-vous, et ce Borzage est l'un de ceux qui se passent en Allemagne. Un beau et violent pamphlet contre le régime nazi alors en pleine guerre en Europe.

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Se passant dans un moment similaire au précédent film, autre Borzage et autre très belle histoire.

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Ce fut une grande surprise de découvrir que Lettre d'une Inconnue de Max Öphuls n'était pas la première adaptation du livre. Une Nuit seulement est bien en-dessous du splendide drame de Öphuls mais reste très bon.

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Le deuxième film de la trilogie Borzage-Sullavan en Allemagne et selon moi le moins réussi. Bien que Sullavan y brille, elle sera même nommée aux Oscars, l'émotion est moins prenante que dans les autres films.

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Dernière collaboration avec Borzage, l'un des seuls où elle n'est pas la protagoniste de l'histoire. Bien que son personnage soit développé, on se focalise plus sur Joan Crawford pour livrer un très beau drame, notamment dans sa dernière partie.

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Décidemment, la filmographie de Sullavan tourne beaucoup autour de la guerre. Ici, un beau film avec James Stewart, pour reformer mon couple mythique à moi, la justesse que ces deux-là ont ensemble est délirante.

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Dans son dernier film, Margaret Sullavan joue une femme malade, toujours dans un brillant équilibre émotionnel pour en faire un film plaisant à suivre.

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Avec Fonda, alors que le couple s'est séparé, mais est toujours en bons termes, les deux nous proposent une amusante histoire.

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Dernier des films se passant durant le régime nazi, celui-là est un peu moins bon que les autres

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Ce Roses de Sang est un peu un proto Autant en Emporte le Vent. Comme dans son grand film de 1939, Vidor met en scène la guerre de Sécession et son impact sur les civils. Alors c'est évidemment moins bien, mais Margaret Sullavan...

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Film assez marrant, sorte de Screwball plutôt plaisant mais pas des plus mémorables.

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Un film assez classique, même s'il reste maîtrisé, ces histoires d'infirmières pas pros qui vont le devenir, on l'a déjà vu en mieux.

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L'un des films avec Margaret Sullavan les moins intéressants, une romance qui ne s'envole jamais et un Charles Boyer assez peu concerné.

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Décidemment les deux collaborations avec Charles Boyer n'ont pas été des réussites puisque celui-ci est je trouve le plus mauvais de sa filmographie. Ennuyeux et où l'on ne s'amuse jamais.