Mes répliques cultes

Annotation :

Je veux que tu restes là-bas, c’est compris. Mais ne me raconte plus que tu es innocent. Parce que c’est une insulte à mon intelligence, et ça me met de mauvaise humeur.

C’est pas personnel Sonny, c’est uniquement les affaires.

-Mon père est exactement comme n’importe quel homme d’affaires. Il est comme tous les gens responsables de vie humaine, comme un sénateur ou un président.
-Est-ce que tu te rends compte à quel point tu es naïf ?
-Pourquoi ?
-Les sénateurs et les présidents ne font tuer personne.
-Oh ! Qui est naïf en ce moment ?

-Mike, pourquoi tu me mets sur la touche ?
-La guerre c’est pas ta spécialité.

J’ai toujours refusé d’être un pantin, de danser sur un fil tendu par de gros bonnets […] Je veux que quand ton heure viendra, ce soit toi qui tire les ficelles.

J’ai toujours été trop faible avec mes enfants, je les ai gâtés comme vous voyez. Ils parlent quand il faut écouter.

Un homme qui ne se consacre pas à sa famille ne sera jamais un homme.

J’aime pas la violence Tom. Je suis un homme d’affaires, le sang ça coûte très cher.

Annotation :

Il y a une chose que je tiens de papa, c’est d’essayer de penser comme pensent ceux qui m’entourent. Et en partant de là, tout est possible.

S’il y a quelque chose de sûr, si l’histoire nous a apprise quelque chose, c’est que l’on peut tuer n’importe qui.

Je ne tiens pas à avoir la peau de tout le monde. Seulement celle de mes ennemis.

Ici, il m’a dit : « Garde tes amis près de toi et tes ennemis encore plus près ».

Tu es mon frère Freddo, tu n’as pas besoin de t’excuser.

C’est des pauvres mecs parce qu’ils risquent leur vie pour des étrangers.

Annotation :

La seule richesse en ce monde ce sont les enfants. Plus que tout l’argent et tout le pouvoir sur Terre, vous êtes mon trésor.

Comme nous n’avons ni conflit, ni dette, j’accepte ton hommage.

Il ne faut jamais haïr ses ennemis, cela perturbe le jugement.

Il ne faut pas surestimer le pouvoir de pardonner.

A quoi bon me confesser si j’ignore le repentir.

C’est dangereux d’être un homme honnête.

Ne dis jamais aux autres ce que tu penses.

L’amitié et l’argent, c’est l’huile et l’eau.

Politique et crime sont la même chose.

La finance est une arme. La politique c’est de savoir quand appuyer sur la détente.

Celui qui bâtit sur le peuple, bâtit sur de la boue.

L’homme le plus riche est celui qui a les ennemis les plus puissants.

Ce qu’on abandonne fortifie nos ennemis.

Le pouvoir use ceux qui ne l’ont pas.

Annotation :

Je suis parti de rien, ça je le sais. Je n’ai aucune instruction. Mais c’est rien ça. J’ai tété la rue. Et je me fais plein de bonnes relations. Si j’ai la femme qu’il faut, rien ne peut m’abattre. J’irai tout droit jusqu’en haut.

Dans ce pays, il faut d’abord faire le fric. Et quand tu as le pognon, tu as le pouvoir. Et quand tu as le pouvoir, tu as toutes les bonnes femmes.

D’abord tu aimes beaucoup plus les femmes que le fric, c’est le problème chez toi.

Charité bien ordonnée commence par soi-même.

-La nana qui est avec lui …
-Ouais ?
-Je lui plais.
-Eh, eh, eh, tu lui plais ? A quoi tu vois ?
-J’y vois … C’est aux yeux chico, il ne ment jamais l’œil.
-Non mais t’es sérieux ?
-Sérieux ? Je te pose la question.
-Merde c’est le boss qui se la fait attention.
-J’l’emmerde ton boss ! Je lui baise sa chérie. Ce gars c’est un cave, regarde sa figure. La bouteille et la ganja ça domine tout chez lui …
-Ne fous pas la merde avec tes dinderies, et n’oublie pas que l’an dernier à cette époque on se faisait chier en cage où tu sais ok ?
-Toi tu oublies pas ! Moi j’ai oublié déjà.
-Je dis apprends à faire avec ce que tu as.
-Toi tu peux apprendre ! Moi je veux posséder ce qui me revient.
-Ah ! Et qu’est-ce qui te reviens à toi Tony ?
-Le monde chico … Et tout ce qu’il y a dedans.

Les gars qui durent dans ce métier ce sont les gars qui volent droit, pas de vague, tranquilles. Et ceux qui veulent le grand chelem : les chica, champagne et frime … Eux, ils dégagent !

A la base de tout, une seule chose petit ; et ça il ne faut pas l’oublier. Leçon numéro un : ne sous-estime jamais la rapacité de l’adversaire.

Annotation :

Dès que tu viens au monde, tu te prends une claque. En rentrant dans le monde, tu te prends d’autres claques. Tu gravis quelques échelons et tu en prends moins. Un jour tu te retrouves dans l’air raréfié des sommets, et tu n’as plus la moindre idée de ce qu’est une claque. Bienvenue dans le système petit !

N’oublie jamais qu’être un bon homme d’affaires, c’est être un bon intermédiaire.

Il est essentiel d’opérer selon un certain nombre de règles fondamentales. Toujours bosser en effectif réduit. Garder « profil-bas ». Ne traiter qu’avec des gens qui vous ont été recommandés.

Comme je l’ai toujours dit, il faut avoir un plan et s’y tenir, et se retirer quand tout va bien.

Annotation :

En affaire, le plus important c’est l’honnêteté, l’intégrité, la famille, ne jamais oublier d’où l’on vient.

Il m’a appris à prendre mon temps. Il m’a appris à faire les choses avec application, amour.

Celui qu’on entend le plus dans une pièce, c’est toujours le plus faible.

Un leader, c’est comme un berger. Il envoie ses moutons les plus agiles à l’avant. Les autres suivent. Le berger, lui, marche tranquillement derrière. Il a son bâton et sa canne, et est prêt à les utiliser ! S’il est obligé. La plupart du temps ce n’est pas la peine … Il déplace le troupeau sans problème.

La réussite ça génère des inimitiés. Ça crée des ennemis.

Battre en retraite alors qu’on gagne, ce n’est pas une défaite.

Annotation :

Deux petites souris tombent dans un sot de crème. La première souris renonce très vite et se noie. La seconde souris ne renonce pas. Elle se débat tant et tant qu’elle transforme la crème en beurre et sort du seau.

-Mon fils, sais-tu pourquoi les Yankees gagnent toujours ?
-Parce qu’ils ont Mickey Mantle ?
-Non, parce que leurs adversaires sont fascinés par les rayures de leur maillot !

Annotation :

Ce n’est pas la violence qui distingue un homme d’un autre. C’est jusqu’où il est capable d’aller qui compte.

Annotation :

Certains entendent les voix qui sont en eux avec une grande clarté. Et ils obéissent à ce qu’ils entendent. Ceux-là deviennent fous ou deviennent légendes.

Annotation :

Tu as appris deux choses essentielles dans la vie : ne jamais balancer les copains, et toujours la mettre en veilleuse.

Annotation :

Le problème ce n’est pas de tricher, tout le monde triche dans la vie. Ce qui compte c’est de le faire pour la bonne cause.

Annotation :

Les rêves ne se réalisent pas en restant sans rien faire, il faut leur courir après.

Annotation :

Si vous avez peur de tomber sur une pomme pourrie, ne la prenez pas dans le panier. Cueillez-la directement sur l’arbre.

Annotation :

-C’est quoi ça ?
-Un trône, ça appartenait à un pape. Je l’ai payé 800 billets.
-C’est un objet du XVIIème siècle !
-Tu fais quoi avec ça ?
-Je m’assois dessus.

-Qu’est-ce que tu as fait toutes ces années ?
-Je me suis couché de bonne heure.

Annotation :

L'argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n'avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n'était jamais assez...

Annotation :

"Un petit baiser, chérie ? Et je te ferais voir ma grosse gondole ! Et ma belle tour de Pise ! Et je planterais ma grosse fourchette dans ton ravioli !".

Annotation :

"Je fais une fête chez moi ce soir. Ca te dirais de... de pas venir ?".

Annotation :

"Toi et moi on peut pas tout miser sur notre physique. Surtout toi.".

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"Pour nous, en août, le slip c'est futile.".

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"Si tu veux parler de la fois où j'ai vomie partout en me masturbant avec un crucifix, c'était ma première surprise-party !".

Annotation :

A Vegas, au milieu des machines à sous tout le monde doit surveiller tout le monde. Comme les joueurs cherchent à battre le casino les croupiers surveillent les joueurs. Les chefs de table surveillent les croupiers. Les chefs de partie surveillent les chefs de table. Les directeurs de salle surveillent les chefs de partie. Les commissaires de jeu surveillent les directeurs de salle. Le gérant du casino surveille les commissaires de jeu. Je surveille le gérant du casino. Et l'oeil dans le ciel nous surveille tous.

Annotation :

- 128 000 dollars
- Non de Dieu je bande rien qu'à les regarder
- T'as vu sa Georges ?
- Qu'est ce que t'as Georges, ça va pas ?
- ... la gueule, la moitié de tout sa est à nous, on est devenu riche !
- Sa suffit pas...
- Quoi, qu'est ce que tu racontes ?
- C'est pas normal, on fait tout le travail et au final on récupère des miettes ridicules.. parce qu'on est intermédiaires..
- Alors ?
- Alors, faut qu'on aille à la source..