(Re)vu en 2025

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Je n'avais jamais vu Beetlejuice !!! Alors forcément les effets spéciaux sont un peu dépassés, mais j'ai passé un bon moment. Je pense en revanche que je l'ai vu bien trop tard pour que ce film soit culte pour moi comme pour beaucoup.

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Un bon moment, avec des chansons plus sympas que les Disney classiques (enfin, pour moi)

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Je n'ai pas vraiment accroché, un peu trop surjoué et larmoyant à mon goût. mais 5/10 quand même car le film a d'indéniables qualités

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L'idée d'avoir une princesse qui fait autre chose qu'attendre son prince charmant est séduisante. Malheureusement Merida est souvent très agaçante, et l'histoire un peu tirée par les cheveux. Mais j'ai quand même passé un bon moment et aimé l'évolution de Merida.

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Alors évidemment ce film est un cliché ambulant sur Paris et la France et l'idée d'un rat en cuisine n'est pas très ragoutant, pourtant ça marche. La représentation de Paris est superbe, les personnages attachants, l'amour de la cuisine trsnpire dans toutes les scènes, un excellent moment

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J'ai trouvé l'histoire très belle, l'utilisation du noir et blanc puis de la couleur très "maligne". Je n'ai pas mis plus car j'ai trouvé certaines tirades alambiquées et peu réalistes. Il y avait suffisamment de poésie dans ce film pour ne pas en rajouter dans les dialogues.

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On en prend plein les yeux pendant 2h20. Ce film est surprenant, drôle, mené tambour battant.
Complètement déjanté, pas sûre d'avoir tout capté, mais j'ai aimé chaque seconde, que ce soit au niveau de la mise en scène, de l'image, du jeu d'acteurs ou de l'histoire.

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Le titre en anglais (The worst person in the world) est peut-être plus juste.
Julie se cherche, et son insatisfaction permanente la transforme parfois en une personne égoïste et détestable. Mais on peut tous se reconnaitre dans ses incertitudes, c'est un peu le mal de la génération. En tous cas des acteurs lumineux (celle qui incarne Julie bien sûr, mais également Aksel qui est tellement touchant), un enchainement de situations de vie cohérentes, j'ai beaucoup aimé (et aussi beaucoup pleuré)

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5% de la population mondiale, 25% de la population carcérale. 1 Noir sur 3 aux US passera par la case prison. Hallucinant. Un documentaire fort sur une injustice flagrante.

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Culte

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20 ans que je n'avais pas revu ce film. Et il m'a touchée comme la 1ère fois. Kate Winslet est d'une beauté époustouflante malgré des couleurs de cheveux plus expérimentales les unes que les autres. Jim Carrey est également très bon dans ce rôle hyper dramatique. Bref, j'espère que je n'attendrai pas 20 ans pour le revoir

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Quand le générique de fin arrive, totalement silencieux, c'est la culpabilité qui nous tombe dessus. On se sent coupables d'être nés du bon côté de la barrière, sans rien avoir fait pour ça.
Et on se doute que de l'autre côté c'est pas fun tous les jours, mais on ne s'attarde pas là-dessus. L'histoire de Souleymane nous fait voir la réalité en face et nous embarque dans cette lutte du quotidien des sans-papiers : tout est compliqué, la solitude est totale, le danger est partout, la survie s'arrache à chaque minute.
Ce qui rend ce film aussi fort c'est son côté non manichéen et sans cliché. On pourrait craindre un film larmoyant où les sans-papiers sont tous gentils et les blancs tous des bourgeois sans coeur, mais c'est infiniment plus nuancé.
Et évidemment, la tension de la scène de fin est insoutenable.
Bref, un film poignant porté par une mise en scène très brute et réaliste (beaucoup de plans serrés en immersion avec Souleymane, pas de musique pour laisser la place aux bruits de Paris) et par une interprétation très forte d'Abou Sangaré.

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Le chef d'oeuvre ultime. And that my friend, is how you tell a story.

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Les inégalités sociales symbolisées par le lieu de vie, de l'entresol au loft luxueux ouvert sur le jardin.
Très belle réalisation, des scènes et une photographie sublime, un scenario haletant...

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Dommage de faire un documentaire aussi mauvais sur un sujet aussi passionnant. C'est surtout la forme qui pose problème, l'IA qui donne ses règles pour faire un max de pognon sans s'inquiéter de la morale, au secours, c'est pour le moins... ironique.

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Le film s'ouvre sur du Radiohead, quel meilleur présage pour la suite ?
Un film (et un destin) poignant, tout en sobriété, sans pathos. La force des événements suffit à nous bouleverser.

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Je revois ce film pour la 1ère fois en 25 ans, j’en gardais un souvenir assez vivace, proportionnel au choc qu’il avait provoqué chez moi. 25 ans plus tard, c’est toujours un des films les plus angoissants que j’ai vu de ma vie. Une angoisse amplifiée par la réalisation complètement survoltée et esthétique et la musique sublime mais oppressante.

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Pour régler ses daddy issues, Trump démarre une bromance avec Roy Cohn. Trump en a retiré sa vision toute relative de la vérité, ses méthodes de voyou (résumées par les 3 fameuses règles) et son recours excessif aux UV.
Mais évidemment l'élève finit par dépasser le maitre et devient la figure cruelle, immorale et sans limite qu'on connait aujourd'hui. Et le film montre bien comment il a réécrit sa propre histoire.
Pour la forme, le travail de l'image et la bande son nous renvoient directement dans les années 70 et 80. Sebastian Stan est méconnaissable et Jeremy Strong est impeccable en avocat sans foi ni loi.

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Lost in Translation a été ma 1ère rencontre avec Tokyo, j’y suis retournée 4 fois depuis et ce revisionnage m’a donnée envie d’y retourner une 5e fois.

Tokyo est un personnage à part entière de ce film, Sophia Coppola s’attache à en faire ressentir la beauté, le côté survolté avec ses lumières, le bruit des pachinko, le karaoke… Mais Tokyo permet surtout de symboliser la perte de repère des 2 personnages principaux, leur isolement alors même qu’ils sont dans une des métropoles les plus peuplées du monde. C’est parce qu’ils ont besoin d’appartenir à autre chose qu’à eux-mêmes qu’ils se rapprochent. Chacun rassure l’autre en le ramenant en terrain connu. Et c’est parce qu’ils sont tous les 2 paumés (et un peu déprimés) qu’ils s’accrochent l’un à l’autre, tout en étant conscients qu’ils sont dans une bulle suspendue, qui ne durera pas.

Le film est peu bavard voire contemplatif par moment., c’est dans les non-dit que passent les émotions. Il s’appuie d’ailleurs plus sur une OST dingue et des plans devenus mythiques. Toute cette mise en scène donne une ambiance très délicate et presque éthérée.

Le seul truc, quand on le regarde en 2025, c’est quand même une petite gêne à voir cette Scarlett Johansson si jeune (avec cette esthétique de “nymphette” que Sofia Coppola avait déjà expérimentée dans Virgin Suicides) avec un Bill Murray beaucoup plus âgé. Les 2 portent magnifiquement leurs personnages.

Bref un film très poétique et esthétique, où l’atmosphère tient plus aux silences, à la photographie, à la musique, au jeu tout en retenue des acteurs qu’à la force du scenario.

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Un documentaire plutôt bien fait et complet sur la face sombre des réseaux sociaux et de la manière dont ils remodèlent le monde pour le pire. Quand on s’intéresse un peu au sujet on n’apprend pas grand chose, mais le documentaire est une bonne synthèse.

L’intétêt du documentaire réside dans l’alternance d’intervention de “repentis” de la Silicon Valley et de mise en scène de l’utilisation des réseaux sociaux par une famille classique et des risques qui peuvent en découler. L’explication des algorithmes est également plutôt maligne.

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La détresse de ces enfants quand leur père leur annonce le décès me hantera longtemps. Il y a un côté franchement voyeuriste de diffuser des moments aussi intimes et désespérés.
Le parti-pris de n'avoir aucun commentaire et uniquement des images policières fait l'originalité mais aussi la faiblesse du documentaire.

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Je reconnais l'énorme boulot fait par James Cameron, et évidemment Leo nardo di Caprio et Kate Winslet sont époustouflants.
Mais je trouve quand même que le film a quelques longueurs qui m'empêchent de l'adorer.

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Ris et tout le monde rira avec toi, pleure et tu seras le seul à pleurer.
Immense mise en scène, chaque plan est travaillé avec un souci du détail millimétré. Dans sa forme ce film est superbe : la photographie, la musique sont impeccablement utilisés.
Alors forcément, c’est extrêmement violent et je n’ai pas pu regarder certaines scènes. Et même quand l’image n’est pas violente, les thématiques du films, empruntées aux plus grandes tragédies grecques, c’est une violence psychologique qui prend le relais. Enorme claque.

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Belle mise en scène, noire, violente et en même temps parfaitement burlesque (le personnage de Tilda Swilton, la salle de classe…). Chris Evans est étonnamment crédible. La fin diffère des films hollywoodiens classiques : ça finit mal, tout le monde meurt, et le personnage de Chris Evans comprend que tout ce qu’il a cru jusque là n’était qu’un mensonge.

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Un film très touchant sur la solitude, le désir et l'amour dans une ambiance pastel et lumineuse. Servi par un Joachim Phoenix tout en retenue et une Scarlett Johansson dont la voix cassée donne beaucoup de profondeur au rôle.Décidément j'apprécie tout ce que touche Spike Jonze.

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Un film d'ambiance à la photographie superbe. Une ode à la culture noire, notamment musicale, avec pour apogée un génialissime plan séquence très sensuel, qui mixe la musique du passé, du présent et celle du futur. Et la BO est extraordinaire.
Il y a quand même quelques défauts de mise en scène, de scenario mais ça fait plaisir de voir un film techniquement ambitieux, esthétique et avec un vrai propos politique sans être pompeux.

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Comme quoi le cinéma va bien au-delà des effets spéciaux, de la qualité d’image ou de la photographie. Un huis-clos avec 12 hommes qui discutent. Sur le papier c’est ennuyeux, dans la réalité, cela donne un film riche sur le courage, la justice, les biais moraux qui dictent nos jugements.

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Toujours compliqué de faire un film sur des événements aussi récents. Le côté positif c'est que le film ne montre pas les attentats eux-mêmes et évite tout sensationnalisme pour ce concentrer sur les effectifs de la brigade antiterroriste et leur boulot dans les 5j qui ont suivi le 13 novembre. Mais le film est assez froid, presque documentaire et n'apporte pas grand chose. Le casting est bon sur le papier, mais j'ai pourtant trouvé le film globalement mal joué.