Rome, baroque

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1888.
En s'appuyant essentiellement sur l'architecture romaine du XVIe siècle, Wölfflin caractérise le baroque en tant que style. Surtout, il en fait un paradigme esthétique autonome.

Bonne édition chez Parenthèses, richement illustrée. Mais il est nécessaire de faire soi-même les renvois du texte vers les illustrations semées d'un bout à l'autre du livre.

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La stylisation de la pesanteur (éprouvée d'abord par le sculpteur au contact du marbre) trouve dans l'architecture son expression monumentale. Dans son sillage, la Rome baroque se démarque de son modèle antique.

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Synthèse sur l'histoire de la notion de Baroque, de Burkhardt à Deleuze, en passant par Riegl, Wölfflin, Tapié... Précis, tout à fait satisfaisant.

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Sur la peinture italienne du XVIe siècle.

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Un ensemble d'enquêtes approfondies sur les modes de pensée des érudits maniéristes. Un siècle exotique.

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Rome, Ier siècle.
Une fresque aussi incontournable qu'inépuisable pour les artistes baroques, aux côtés des récits bibliques.

Très bonne traduction de Joseph Chamonard chez GF.

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Le dernier artiste-démiurge au service du Vatican, le baroque romain à son apogée. Ce livre permet de connaître le sculpteur pour comprendre l'architecte, c'est une introduction idéale.

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De 1748 à sa mort, Piranèse se consacre à la Rome baroque et à ses ruines antiques. Un relevé titanesque.

Une version incomplète et moyennement maniable est consultable ici :
https://it.wikisource.org/wiki/Vedute_di_Roma_(Piranesi)

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Le Cicerone du XXe siècle : localiser les classiques et les situer dans le temps.