Sade : Attaquer le soleil

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Dans ce film fantastique, Sade devient une figure maléfique dont la puissance continue à sévir par delà la mort.

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Adaptation de al célèbre pièce de Peter Weiss, étourdissante réflexion sur le théâtre, sur la folie, sur la liberté.

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Ce film mêle habilement des nouvelles d'Edgar Poe avec des scènes et des dialogues d'inspiration sadienne.

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Ce chef d'oeuvre du cinéa surréaliste, censuré pendant plus de cinquante ans, se termine par une transposition des CEnt-vingt journées de Sodome qui fit scandale.

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Jess Franco est le cinéaste qui a le plus adapté Sade. Malgré quelques libertés, il s'agit là de son adaptation la plus fidèle.

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Aucun film n'a montré aussi crûment la violence sadienne. Le pouvoir absolu recherché par les personnages de Sade est ici clairement assimilé au fascisme.

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Aucun film n'a poussé aussi loin l'idée que filmer l'autre ou être spectateur de cinéma pouvait relever du sadisme.

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L'hommage à Sade énoncé dans le titre réside dans la radicalité du dispositif et le refus de oute représentation au profit du texte seul.

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Chez Erich Von Stroheim comme chez Sade, la vertu est source de malheur dans un monde dominé par les pulsions et la volonté de pouvoir.

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Le comte Zaroff est l'une des grandes figures sadiennes u cinéma, ne vivant que pour le plaisir de soumettre les autres à des jeux dont il a lui-même élaboré les règles.

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Pour Bunuel, Archibald de la Cruz est sadien parce qu'il imagine ses crimes plutôt que de les réaliser.

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Mario Bava ne se contente pas de créer un parfait personnage sadique, il montre aussi le pouvoir érotique qu'il peut exercer sur ses victimes.

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Le premier film non pornograophique à montrer des scènes de sexe non simulées. "C'est la première fois que quelque chose s'inscrit au cinéma qui puisse se comparer à l'écriture de Sade" (Pascal Bnitzer)