Sélection Films pour la semaine contre les violences faites aux femmes

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En 2009, 140 femmes sont mortes des coups portés par leurs compagnons. La lutte contre la violence conjugale a été déclarée grande cause nationale en 2010. Grâce à l'association SOS femmes de Marseille, la réalisatrice a rencontré cinq femmes, toutes victimes de violence conjugale. Elisabeth, Sarah, Christine, Sandrine et madame B racontent ce qui les a poussées à partir. Elles décrivent les violences subies, parfois pendant des années, la honte éprouvée. Elles expriment aussi les problèmes qu'elles doivent affronter lorsqu'elles décident de fuir, notamment concernant l'hébergement.

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DOMESTIC VIOLENCE suit les interventions de la police de Tampa, en Floride, lorsqu’elle répond aux appels de victimes de violence domestique. Puis Frederick Wiseman pose sa caméra au Spring, principal refuge de la ville pour les femmes et les enfants.On suit alors les entretiens d’admission, les sessions de conseil individuel, les thérapies de groupe, les réunions d’équipe les activités scolaires et le soutien apporté aux enfants

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La vita possibile est un film sur l'espoir, sur la force des femmes, sur la capacité de naître et de renaître à nouveau. Anna et son fils Valerio fuient un homme qui a détruit leur amour de ses propres mains ; se rebeller est nécessaire, et parfois même, un devoir. Le film raconte qu'une « vie possible », un nouveau chemin existe

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Le couple Besson divorce. Pour protéger son fils d’un père qu’elle accuse de violences, Miriam en demande la garde exclusive. La juge en charge du dossier accorde une garde partagée au père qu’elle considère bafoué. Pris en otage entre ses parents, Julien va tout faire pour empêcher que le pire n’arrive.

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Les créateurs de "The invisible war" s'interrogent sur l'importance des crimes sexuels sur les campus universitaires américains, leur dissimulation par les institutions et les ravages qu'ils créent chez les étudiants et leurs familles. Le film suit plusieurs victimes d'agression qui tentent de poursuivre leur lutte pour la reconnaissance et la justice tout en continuant leur cursus, malgré une incroyable pression de l'institution, le harcèlement et les conséquences traumatiques.

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Aux Etats-Unis, une femme sur cinq subira une agression sexuelle au cours de ses études universitaires.
Seules 5% de ces agressions seront reconnues comme telles et feront l’objet d’une plainte. La violence sexuelle est aujourd’hui le crime qui connaît la plus forte progression aux Etats-Unis, en faisant une victime toutes les 45 minutes. Pourtant, dans bien des cas, l’omerta est encore de règle.

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Des femmes dénoncent le viol qu’elles ont subi.

En France, 75 000 femmes sont violées chaque année.
En moyenne, une toutes les huit minutes. Un chiffre exorbitant, pourtant loin de refléter la réalité, car il ne comptabilise ni les mineures, ni celles, majeures, qui n’ont jamais déclaré le viol qu’elles ont subi. On estime en effet que seulement 10 % des victimes portent plainte. Le viol n’est pas un fait divers, c’est un crime effroyablement banal et massif. Un véritable fléau de société.

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« Ouvrir la voix » est un documentaire sur les femmes noires issues de l’histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Le film est centré sur l’expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de notre identité « femme » et « noire ». Il y est notamment question des intersections de discriminations, d’art, de la pluralité de nos parcours de vies et de la nécessité de se réapproprier la narration.