Sélection zik 2019

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Une bande originale de jeu vidéo qui va droit au coeur, entre minimalisme, transe, éléctronique, piano et ambiant. Petit bijou.
Indispensable ?

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Délicieuse pop fraîche dont l'unique défaut serait que j'ai déjà entendu ça maintes et maintes fois. Bref, pour l'originalité, on repassera.

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Folk céleste, magique, en suspension.
A réécouter mais on tient probablement là un chef d'oeuvre, ou un très grand disque, au choix. Peut-être l'un des meilleurs de l'année. Mais la jeune Bedouine arrive avec un nouvel album donc je ne me prononcerais pas à ce stade...

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Groove, r'n'b, hip-hop & soul teintée d'influences jazz qui deviennent de plus en plus présentes à mesure qu'on se rapproche de la fin du disque. Pas dégueu au fond.

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Un peu moins impressionnant que les morceaux de base qui ici, au piano ressemblent le plus souvent à des copies, moins intenses. La qualité reste là heureusement et l'ensemble est à la hauteur.

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Vangelis n'a plus rien à prouver aux autres ni même envers lui-même. Arrive donc Nocturne, un énième album inespéré et à peine plus "inspiré" que Rosetta (2016). Un album entièrement au piano pourquoi pas ? Mais dans ce flot de thèmes repris dans sa grande carrière ainsi que quelques nouvelles compositions, on aurait aimé plus de pêche, plus de magie, plus d'intérêt que des thèmes jamais finalement réinventés et réinvestis.

On aurait demandé de l'âme quoi, tout bonnement, car reprendre Vangelis au piano tout simplement comme ça, tout le monde sachant jouer au piano peut le faire (en reprenant presque notes par notes). Certes Vangelis n'est pas un Keith Jarrett par exemple, mais même en injectant un peu d'intimisme comme dans une de ses dernières vraies compositions récentes en date dans ce domaine (piano), pour le Blade Runner Trilogy (2007), "Piano In An Empty Room", il réussissait à mettre un peu de magie et nous charmer à nouveau. C'est moyennement le cas ici hélas.

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Hard-bop contemporain de qualité qui flirte avec le jazz-fusion par petites touches ici ou là via un petit synthé au son chaud voire quelques touches électroniques discrètes (la courte ouverture des 9mn de "Circuits"). L'urgence est délicieusement présente dans la majeure partie du disque ("exclamation"), le rendant assez addictif.

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Du hard-bop moderne avec vibraphone chez blue note.
Classique et moderne à la fois. Joli, sympa, pas forcément transcendant.

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Chouette, un nouvel album de Bedouine ! Pour ce second opus, elle élargit sa folk en y apportant un peu d'électricité et même un orchestre symphonique. Et même si la surprise et l'épure magnifique de son prédécesseur manquent un peu on ne pourra nier que l'on à nouveau là un beau voyage.

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Bon je vais pas vraiment pouvoir continuer à défendre les Lips s'ils continuent de se reposer sur leurs lauriers... J'avais bien aimé le précédent pour son côté "pop synthétique". C'est toujours le cas ici mais l'on peine à première vue à dégager une ou plusieurs chansons du lot directement. C'est dommage car il y a du bon (pistes 6 à 9) mais le format parfois trop court n'aide vraiment pas.

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En incluant pas mal de percussions africaines à sa musique, Santana lui redonne un coup de fouet, on se croirait presque revenu dans les 70's au temps de la grande époque avec un petit côté world music. Pas désagréable, une sympathique surprise au final qui montre que le vieux maître a encore des choses à dire au fond.

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Magma entônne son chant noir, dédié tout entier au néant. Une composition lyrique et portée par un orchestre symphonique, toujours tellurique et où, surprise, le français intervient aux côtés du Kobayen chanté de base. Une course entre désespérance et joie, une certaine idée du romantisme noir qui te fout sacrément la patate.

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Le groupe d'Andy Bell et Mark Gardener définitivement réactivé par un sympathique Weather Diaries en 2017 revient dans leur mouvance actuelle electro-rock policé. Il est loin le beau temps du shoegaze où ils étaient considéré comme un peu les messies et l'espoir de sauver le rock britannique (avant la déferlante Oasis). Pour autant, ça s'écoute. Mais pas sûr qu'il sera forcément conservé dans le top final de fin d'année lui.

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Natasha Khan sort son album de synthwave-pop hyper riche et généreux comme à son habitude. Surtout le disque se révèle bien plus chaleureux et habité d'une étincelle d'humanité que n'avait pas "the bride" en 2016...

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Du bon Russian Circles metal instrumental comme on l'aime avec ses progressions, ses passages surprises, ses rythmes échevelés... J'avais moyennement aimé "Guidance" l'album précédent mais là on retrouve le niveau. Top !

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Mélodies au top, paroles dans la dentelle, du grand Art.
Jeanne Cherhal ne révolutionnera pas la musique française ni même ce qu'elle fait mais ça fait quand même plaisir.

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Une petite merveille de r'n'b qui conjugue modernité avec l'élégance évidente de la Soul de ces dernières décennies dans un bel écrin doré.

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Des balades intimistes et sensibles portées par une guitare, un piano et puis c'est tout ou presque. Fragile au possible et à chérir contre soi dans toute la mélancolie que ça exige.

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Du songwritting entre blues-pop-rock-soul de qualité. Beau et bon disque "populaire" ce qui ici n'est pas péjoratif du tout.

Annotation :

Du jazz-rock de qualitay. :3

Annotation :

Du piano. Avec maestria, force, puissance et poésie. Formidable.