Sorties ciné 2024

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La gênance perdure, voire prend de l'ampleur dans ce 2e opus soit disant consacré à Milady. Une vision d'homme, un film d'homme, sentant la naphtaline malgré tout le rythme.

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agréable film du dimanche consacré à la fabrication d'un film. Il ne sera certes pas inoubliable mais les acteurs sont justes.

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Rafraichissant, dynamique, un Godzilla définitivement différent des franchises américaines. L'acteur principal n'est probablement pas le meilleur qui soit, mais au moins ce Godzilla bénéficie d'un scénario, d'un propos, et bien sûr, de scènes d'action.

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Je suis restée étanche à cette idée de ne pas rentrer dans les émotions du personnage principal. Priscilla évolue dans un monde, comme aseptisé, comme dans un rêve auquel elle assisterai. Son émancipation finale de cette période de sa vie, parait du coup bien fade, et on se demande bien quel pouvait alors être le propos.

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Si l'on met de côté la fin "à l'américaine" typique des biopics, il reste un film brutal sur un père narcissique et manipulateur qui broie impitoyablement sa famille. On n'est pas toujours sûr que ce soit le sujet de film, grand public oblige, mais il reste pittoresque de voir Zac Efron affublé d'une coupe au bol déployer de vains efforts pour être à la hauteur.

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Une agréable douceur se dégage de ce film, et plus particulièrement de son acteur principal. Comme un conte au fond, le héros traverses ses épreuves et continuera sa quête éternelle. En attendant il aura côtoyé un bout de France, dans laquelle racisme, antisémitisme et xénophobie ne sont pas des notions politiques mais des ressentis. Fort.

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On pense à La Cité Perdue, avec Sandra Bullock, mais en moins bien joué, en plus confus scénaristiquement malgré de forts belles chorégraphies de combat. Un bon gros ventre mou qui fait décrocher.

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J'ai beaucoup aimé la réalisation, se focalisant sur des micro événements pour montrer toute la banale monstruosité des personnages. Des enfants qu'il faut récurer car ils se sont baigné dans une eau polluée par les cendres humaines ou une discussion autour du thé sur des vêtements luxueux à récupérer. Puissant et sobre.

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Comme un air de Kaurismaki avec la légèreté de Tati. Une simplicité de scénario, une chorégraphie poétique.

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Je n'ai eu qu'une seule image de poésie : les encarts présentant les différents chapitres. Pour le reste, il s'agit d'un film montrant le processus d'arrivée à l'âge adulte d'une femme au travers de ses besoins sexuels puissants. Intéressant ? Non. La réalisation sauve t'elle les murs ? Non, avec une débauche de moyens, de trucs destinés à créer un univers à mi chemin entre Burton et Playmobil. Berk ;) Les intentions de réalisation sont confuses, et au fond on se demande bien ce qu'a voulu dire l'auteur.

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Un biopic comme on en voudrait bien plus, une plongée dans un univers surréaliste. Mention spéciale pour Edouard Baer, fabuleux de pompeux en Dali.

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Un petit manque de rythme, et quand même, certains personnages secondaires mal joués. La bande son est oubliable, mais pour le reste, c'est un vrai plaisir de surréalisme.

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Un peu moins contemplatif que le premier opus, cette deuxième partie va également plus vite, raconte beaucoup d'événement et notamment le passage de Paul vers ce rôle de messie dont il ne voulait pas, mais qu'il acceptera. Très beau, très anti héroïque.

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On ne peut nier les qualités de réalisation de la Bête et le jeu des deux acteurs principaux. Mais quel en est le propos ? A varier autant les espace temps, on finit par ne pas accrocher à la relation qui lie les personnages au delà du temps. Curieuse manière d'appréhender un féminicide également.

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Surprisingly ok. Olivia Colman est fabuleuse en femme tourmentée par son envie de plaire et sa vie étranglée chez son père. Tout n'est pas fin, mais enfin, une bonne comédie malgré tout !

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Le sujet aurait pu être traité d'une manière bien plus incisive pour pleinement mériter son humour noir. Il ne reste que quelques fulgurances qui apportent le sourire.

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On ne peut nier les qualités esthétiques de cet animé. Mais tout va trop vite, comme pour empêcher le spectateur de se pencher sur chaque scène. Manque de confiance dans son scénario, poussant à démultiplier l'action ? On pourrait le comprendre, car rien n'est réellement renouvelé dans ce 4e opus.

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Un film tout frais, porté par un très joli casting. L'effet de groupe fonctionne, et on perçoit en sous texte, quelques sujets de fonds : une femme reléguée, des jeunes en construction... C'est finaud.

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Mauvais scénario, mauvaise réal, mauvais acteurs mal dirigés. Seule mon appétence pour les gros monstres maintient mon intérêt, tout relatif, pour cette franchise.

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Cinéma de loosers magnifiques, mais qui aurait laissé la poésie en chemin. Les acteurs sont bons et le scénario se défend, malgré tout, un manque de dynamisme, et finalement, de fonds.

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Une très belle photo et réalisation, qui forment un cadre à mi chemin entre le glauque et les sixties. La jeune vampire traine son spleen et son refus de grandir jusqu'à rencontrer un suicidaire apeuré qui se propose de l'aider. Ils accepteront la vie ensemble. C'est très doux, langoureux.

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Pas emballée par une bande son assez synthétique, malgré tout un film ambigu, qui balance entre des personnages flous. Effectivement, le mal n'existe pas, pas plus que le bien. Comme dit le "héros", tout est dans l'équilibre. La réalisation, sur une photo de moyenne montagne sans grande beauté, est parfaite.

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une décharge de violence, sociale, une histoire de revanche. Dev Patel parcourt le film et l'emmène avec lui, malgré tout, cela manque cruellement de profondeur, et de sortir du rôle de sauveur. Le rythme, la photo et la réalisation sont en revanche au top. Mention à la BO !

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Gênance pour ce film : de bons acteurs maltraités par des dialogues ridicules, un hommage raté au métier de cascadeur : si peu de scènes bien filmées ! Ne parlons pas de la romance, inutile.

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Le principe de la boucle temporelle pour évoquer le surmenage, la hiérarchie et l'exploitation : simple, vu, mais bien traité. C'est enlevé, drôle, et bien sûr, avec une touche de morale à la fin. Film du dimanche !

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Jouissif, beau, presque parfois contemplatif. Un germe d'espoir aussi ? En attendant ça castagne dans les ruines d'un monde forgé dans un capitalisme patriarcal qui portait cette violence.

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Huis clos pesant porté par deux très bon acteurs. Passera, passera pas ? La vie, décortiquée, chaque choix fait, jugé, pesé. Peut on repartir en état d'un interrogatoire comme cela ?

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Film du dimanche dans sa splendeur, petit comique de situation entre acteur copains. Ça ne pisse pas loin, et parfois on sent la vieillesse du scénario. Mais ça se laisse gentiment regarder !

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Bien en dessous du 1e, il est tjs plaisant de retrouver les personnages, mais l'arrivée des nouvelles émotions semble fade, édulcoré. C'est dommage !

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Les deux actrices sont parfaites dans leur rôle, dans cette Amérique glauque et violente. La montée dans la violence est jouissif, autant physique que morale. Le final, un mélange de kitsch et de puissance. Au top !