Top 10 Jeux vidéo selon Naxi

Annotation :

Le genre de jeu qui marque ton enfance. Une mythologie puissante, une atmosphère terrible, un gameplay novateur : tout pour figurer à la première marche du podium.

Annotation :

Bon, ici, on a du très, très lourd. Numéro 2, pour la simple et bonne raison que nous avons là une des plus grandes ambiances du monde vidéoludique. Sa narration ultra-maîtrisée, sa profondeur morale renversante, son scénario archi-chiadé et sa jouabilité originale en ont fait un jeu formidable. Une prouesse.

Annotation :

Loin de moi ce vœux ultime d'avoir un GTA fun et insensé : Grand Theft Auto IV est l'exemple même de ce que doit être un thriller en monde ouvert. L'aspect mature ici apporté et terriblement nouveau pour la série en fait une critique saisissante de la société et du rêve américain. Cette plongée dans le monde du crime organisé d'un homme à mi-chemin entre la rédemption et la vengeance est un conte adulte décriant les bas-fonds de notre monde...

Annotation :

Premier épisode d'une belle série, et le plus charmant de tous à mon humble avis. La nostalgie y est pour beaucoup : mes mains de bambins sur la DualShock 2 et mes yeux émerveillés devant la richesse de chaque nouvelle planète me font dire que Ratchet & Clank est définitivement une petite perle du jeu vidéo.

Annotation :

Ce genre de jeu qui ne paie pas de mine, développé avec les moyens du bord mais qui te fout une tarte comme pas permis. Dans The Darkness, il faut faire abstraction du level-design plutôt foireux (ou trop audacieux ?) et du gameplay franchement pataud pour se concentrer sur l'essentiel : la narration. Exemple même de ce que doit être une ambiance noire, The Darkness a beaucoup misé sur son atmosphère : comment ne pas y adhérer un minimum ?

Annotation :

Ce n'était pas aisé de faire une suite du même acabit que le premier épisode : Irrational Games l'a fait. BioShock Infinite est tout simplement splendide. La ville de Columbia est belle et à la fois dérangeante, l'idéologie qui ronge la cité est profonde et les relations entre les personnages puissantes. Sans parler d'un fin qui t’assoit : on remerciera également les DLC Tombeau Sous-Marin qui ont le mérite de clore la saga d'une bien belle manière. Tout simplement, cette licence dispose le meilleur scénario auquel j'ai pu me frotter... et j'y pense encore aujourd'hui, lors de tous mes choix.

Annotation :

Chef d'oeuvre de gameplay et de difficulté, DMC 3 se voit enrichi par une Special Edition bien sympathique. De base, le titre est franchement génial : Dante est plus que jamais dément, l'histoire est approfondie et l'aventure est puissante et épique. Mais quand on y ajoute le contrôle de Vergil, un nouveau boss et un tas d'ajouts ergonomiques et ludiques, difficile de ne pas faire trembler le fan qui est en moi.

Annotation :

Est-il nécessaire de décrire Ocarina of Time ? Considéré comme l'un des meilleurs jeux vidéo du monde, il a bercé mon enfance et m'a scotché à ma télé cathodique de 30 cm de diagonale pendant des journées. Un chef d'oeuvre architectural qui prouve définitivement que l'on peut créer des univers superbes et légendaires sans une puissance technique monstre.

Annotation :

Mon dieu, Jésus, David, Allah, ou même Chuck Norris, quel jeu, mais quel jeu ! Il s'agit là d'un des open worlds les plus envoûtants dans lesquels j'ai pu me plonger. Des tonnes de choses à faire, à découvrir, à achever. Une seconde vie : j'entend encore la musique du temps de chargement résonner dans mon crâne...

Annotation :

c just un putain de jeu
en + j ai le platine