Top 10 Morceaux selon James-Betaman

Annotation :

L'éternel numéro un.
Comfortably Numb est la raison pour laquelle je me suis mis à la guitare, pourquoi je m'intéresse aux solos. Un morceau tellement à part au sein de son album mais tellement bien intégré. Un morceau tellement puissant en live que chaque performance vaut le coup d’œil.

PS : J'en ai fait une critique
https://www.senscritique.com/morceau/comfortably_numb/critique/109047907

Annotation :

D'un point de vue instrumental, Telegraph Road est tout bonnement mon chouchou. Il y a la guitare de Knopfler qui délivre ici des solos glorieux, mais le piano y tient une place particulière.
Telegraph Road raconte aussi l'histoire d'une ville construite au départ par un homme mais qui sera rejoint par d'autres. La naissance d'une ville, qui s'agrandit tellement qu'elle en perd ses valeurs et ce qui en faisait son charme originel. Un portrait que Knopfler lie avec l'histoire des USA, bref, incroyable.

PS : critique de l'album
https://www.senscritique.com/album/love_over_gold/critique/167835627

Annotation :

Grande épopée épique et bordélique menée par le chant théâtral de Peter Gabriel (qui s'offre le luxe d'apparaître deux fois ici). Ultra complexe au niveau de la composition, un vrai bonheur à décortiquer et un final qui prend aux trips à chaque fois.
Et eu la chance de voir Steve Hackett le jouer en live dans son intégralité à la Seine Musical, une des plus belles épiphanies musicales de ma vie

PS : Encore une critique
https://www.senscritique.com/morceau/suppers_ready/critique/273829202

Annotation :

Obligatoirement en live puisque Gabriel invite bon nombre d'autres chanteurs à venir improviser des lignes mélodiques dans un moment de communion exceptionnel. In Your Eyes, c'est l'aboutissement thématique de Gabriel dans ses questionnements sur la complétude de l'être par l'amour (avec Secret World). Un grand, très grand moment de scène.

Annotation :

L'exemple parfait du morceau crescendo. Un véritable mythe tant l'émotion grimpe encore et encore jusqu'à un final parfait. On définit souvent Led Zeppelin comme étant la complémentarité de chaque membre, chaque membre sait mettre en valeur son instrument tout en laissant de la place aux autres. Plant sait chanter comme un dieu tout en laissant à Page son solo et ses arpèges magnifiques. Les instruments de John laissent place à la batterie folle de Bonham, bref, morceau fou.

Annotation :

Rebelotte
https://www.senscritique.com/morceau/layla/critique/178369774

Annotation :

Si Stairway prend 5min à s'envoler vers les cieux, il faut pas plus d'1min30 à Hansard et Irglova pour atteindre une intensité de dingue, Hansard étant un des chanteurs les plus investis que je connaisse. Le mec se donne tout le temps à fond.

Annotation :

Un des morceaux que j'aime le plus chanter. C'est aussi très fun d'observer les différences entre les concerts, Elton s'amuse à varier quelques lignes mélodiques, c'est riche et puissant. Ma version préférée étant celle en Australie en 1987.

Annotation :

Une des plus belles chansons d'amour, du McCartney sans détour, brut, honnête mais toutefois riche harmoniquement parlant

Annotation :

Seul morceau non-anglosaxon du top 10 (même si produit en Angleterre et solo de guitare joué par un irlandais). Ferrer offre une description simple, épurée des vestiges d'une maison qui a connu le bonheur. Une maison brûlée symboliquement par la séparation, rien n'a bougé, tous les meubles demeurent, mais leur sens lui est parti.
"Rien n'est changé, tout est pareil
Tout est pourtant si différent"
Et puis peut-être le solo de guitare le plus furieux que je connaisse.

Annotation :

Le morceau y tient une place particulière. A mon sens, il s'agit là du meilleur morceau jamais réalisé à ce jour, malgré le fait qu'il soit très peu agréable à l'écoute.