Vu, visionné et commenté, en 2021.

Annotation :

( https://www.theguardian.com/commentisfree/2021/dec/29/climate-scientist-dont-look-up-madness )

Annotation :

Réfléxion méta sur l'univers made in Matrix, et sur l'idée même de la méta, du blockbuster. Beaucoup d'ambition, et d'introspection. Sans doute bienvenue dans ces temps de Spiderman No Way Out, même si on peut trouver le temps long parfois.

Reste, la love story. Moulin Rouge.

Annotation :

Gros bordel sans nom et sans expression artistique sombrant trop souvent dans le pire du réfléxe made in MCU. Un 6, parce que je COEUR le fan service. Je devrais pas. J'aurais du mettre 5.

Annotation :

Avoir deux épisodes de suite de South Park, que ce soit sous ce format ou sous son étendard classique, c'est trop demandé. A la mérite, de boucler la boucle. Kenny was right.

Annotation :

Une sorte de version scénarisée du documentaire Hot Girls Wanted disponible sur netflix, rien n'y est épargné. La violence du monde du travail moderne appliqué à celui de l'industrie du porno, sous les paillettes, le sang et les pleurs coulent.

A gerber.

Annotation :

Solide as a ( the ) Rock.

Annotation :

"Tell them, i'am not at all well".

Annotation :

Le cul entre deux chaises. Entre ambition démesurée en mode Tree of Life et baston bien estampillée Marvel, à trop vouloir cocher toutes les cases, le film n'arrive jamais à toucher le 7ème sens.

N'est pas Pégase qui veut.

Annotation :

Fat comeback des plus tout à fait kids de South Park. La meilleure sortie de Trey Parker et Matt Stone depuis un bon lustre de salon.

Annotation :

( revisionnage )

Annotation :

Mourir peut attendre. La génance par contre, elle est bien là.

Après une première partie classique, limite soutenue ( featuring des étincelles via Ana De Armas ) le film bascule dans la dimension maudite d'X-Or. Les dialogues passent en mode nunuche, les situtations et les persos perdent toute crédibilité, toute constance.

Pis la gamine.

Soit, c'est l'enfant stellaire réincarné. Soit l'écriture de son personnage est un pari perdu. Le monde s'écroule, ça canarde de tout les côtés, il y'a du drama, du risque, du sang mais relax-max. Elle traverse le tout dans une absence d'émotion jamais atteinte dans l'histoire du cinéma d'action.

Annotation :

Marvel mineur. Danny Rand likes this.

Annotation :

Smell like teen spirit. L'éternel spleen de l'adolescent(e) rebel(le) dans sa 343ème incarnation ( très louable, et très jolie ).

Annotation :

Un Teen Wolf à la sauce génération ( 2.0 ) désenchantée/Ptit Quinquin. Bien trop fun pour un film vu un dimanche après-midi de novembre. C'est le vendredi soir, que ça se passe. Le film de minuit par excellence. Les hurlements à la pleine lune. La pizza froide.

Annotation :

"More Than Meets the Eye" - Optimus Prime.

Annotation :

Le coeur ne s'achète pas monsieur ( mais ça reste beau, tres beau, trop beau. Et inventif, et superbement orchestré. Tout le reste aussi ).

Annotation :

Première adapation d'un écrit du génial Fabcaro, premier poing de pégase de décéption dans sa tête. Entre deux ou trois soupirs, on entre apperçoit la grâce du matériel d'origine, enfn de son auteur. Mais zzzzz, et zzzzz, le rythme, la folie n'est pas au rendez-vous dans la cuisine.

Annotation :

L'éternel combat du bien contre le mal, que la légende entretien. L'éternel bonne idée sur le papier, qui se perd dans sa réalisation. +6 pour les passages, faites entrer l'accusé.

Annotation :

Une chanson douce. A s'en faire saigner les tympans.

Annotation :

Plus haut, plus beau, plus fort. Le retour du space-opéra contre-attaque, l'apogée du blockbuster friendly en approche. Quoi après ? Dune part deux assurément ( et sur grand écran ). Pis peut-être l'empathie bonhomme que l'on peut ressentir pour un Luke Skywalker par exemple et qui manque un petit peu à Paul et sa bande.

Annotation :

Le sound of silence -> La meuf du film qui beugle ( et je parle pas du passage black metal ). Reconstruction au pays des sourds pour Riz Ahemd, toujours très bon inside l'écran.

Annotation :

Impossible à noter ou presque. Entre grotesque, soap-opéra italien et visions sublimes. A noter le featuring de Didier Bourdon qui reprend son rôle de Jésus, des années après la fin de la télé des inconnus.

Punk Kitch Love