Vus et revus en 2017

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01/01

Le 6e volet de cette saga, après un 5e interminable, relève un peu le niveau avec la focalisation sur 1 seul personnage et une sorte de "projet final" un peu bancal de Jigsaw. Malgré tous ce que l'on sait de lui, l'assureur attire la sympathie par l'horreur des dilemmes proposés par Jigsaw, toujours plus extremes moralement.

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10/01

Une histoire malheureusement bien trop vraie qui retrace beaucoup l'emotion du personnage principal, notamment grâce aux longs plans fixes sur celui ci, rapproché ou non de la camera (scène du pendu + scène du regard perdu (très longtemps pour un plan) dans le vide. Le film a réussit à m'énever par ses personnages odieux et inhumains, leur comportement parait si extreme et inconcevable qu'il est difficile d'imaginer qu'autant d'Hommes furent un jour si injustes, mais la présence de faits réels et de l'autobiographie 12 YEARS A SLAVE rend le film presque perturbant à regarder tellement certaines scènes très réalistes et crues font souffrir par le mal être du personnage ou par le réalisme des bruitages et du maquillage (coup de fouet)

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17/01

Sans doute l'adaptation d'un classique la plus surprenante et que j'ai le plus aimé. Le style personnel de B.Luhrmann sur le travail visuel ressort parfaitement et en même temps l'univers semble totalement approprié à cette guerre des familles. Chaque plan est une scène à lui même, les couleurs et les lieux sont magnifiques et ne font qu'embellir l'amour un peu artificiel des 2 amants. Le moment où leur amour semble scellé est celui de la piscine, le soir même de leur rencontre. Tout semble innocent et éphémère. Même le texte en vers correspond parfaitement à l'ambiance, les dialogues semblent naturels ! Le film DEVAIT reprendre le texte original pour être poétique. Sinon il aurait été une énième adapation banale d'un classique très repris. Je pense juste que ce film en tant que simple film est vraiment beau. L'adaptation est surement moins réussie et oublie quelques majeures partie de la pièce originale mais certains personnages sont adaptés avec tant de risques (genre Mercutio) qu'il est impossible que l'adaptation soit ratée a cause de leur modifications tant ils sont assumés et emblematiques.

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20/01

Enfin une histoire plutôt familiale (même si ça se veut plus sombre, le livre devait mieux réussir le coup) originale et pas trop prévisible. Le personnage du Comte Olaf par Jim Carrey change completement l'oeuvre qui serait banale sans sa présence. Encore une fois l'acteur prouve ses talents charismatiques. Exubérant, il reste malgré tout crédible et tous ses gestes deviennent nécessaires. Cette histoire des Orphelins de Baudelaire mérite largement sa place au niveau des films classiques d'aventure familliale

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20/01

Pas génial. Puisque de toutes façons, depuis que Hoffman a pris le relais de Jigsaw, l'intrigue n'a plus vraiment d'intérêt et qu'on ne suis encore que pour voir l'inventivité des pièges, qui eux même ne sont plus très originaux, ce film n'est pas vraiment une deception mais reflète plutôt une fatalité, pour une saga qui aurait pu s'achever 2 chapitres plus tôt. Que Hoffman sois la dernière victime de Jigsaw était aussi prévisible, tout comme la mort systématique de chacune des victimes. La réapparition finale de Gordon (que j'ai eu du mal a reconnaitre) aurait pu être vraiment un retournement de situation probable et surprenant si plus de flashbacks prouvaient son implication dans l'oeuvre de Jigsaw plus precisement. Dans les extraits que devoilent ce passage, il effectue des actions sans importances qui auraient pu être réalisées par n'importe qui sans qu'on ait ni le besoin ni l'envie de connaitre l'identité de cette personne. Ce film clôt tout de même une serie d'horreur réflechie et qui marquera surtout le vaste monde des sagas d'horreur.

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21/01

Skier dans la jungle, surfer en moto... Si on accepte au debut que de toutes facon c'est des conneries, c'est "divertissant"... Et encore, Vin Diesel est toujours insupportable.

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25/01

Une animation tout en mouvement, des univers opposés et chacun bien complets, une histoire en miroir qui ne se répète pourtant pas. Les echanges de corps restent visbiles en quelques secondes notamment grace à des habitudes que chacun ont pris chez l'autre. Le twist (qui fait que l'histoire prend un tout autre sens) est très bien amené et au parfait moment, avant même que l'intrigue ne s'essoufle. Cette histoire de confusion du temps renverse le ton du film et les enjeux deviennent bien plus important au fil de l'intrigue. Enfin pour tout dire c'est le premier film (après les 2 Myasaki) animé japonais que je regarde, j'ai aussi regardé 2 série animées et c'est vrai que certains éléments comme le generique ou la première partie plutôt legere rappellent les série animées et cet aspect introduit parfaitement dans l'univers. Ce qui fait que ce film m'a vraiment marqué c'est la tournure qu'il prend soudainement (toute l'histoire a propos des météorites/etoiles filantes). En fait le film arrive a changer de tonalité sans pourtant deriver complétement de son propos initial, et c'est ce qui en fait pour moi un très bon film, que j'aurais même envie de revoir.

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26/01

J'ai pas aimé et en plus on l'a vu dans en cours pour les cours donc je me suis endormie et je trouve pas que ce soit tant un chef d'oeuvre que ça, j'attend de l'étudier pour me faire une idée...

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26/01

Selon moi, la réalisation de La Cité de Dieu correspond parfaitement à son sujet. Par exemple, comment la camera suit les actions presque a l'épaule, de facon très desinvolte lors des scènes de Petit Zé ou quand elle se stabilise plus quand Fusée parle de ses rêves de photographie. Le sujet est lui aussi très interessant et bien approfondi, on s'interesse a chacun des personnage qui representent a eux seuls différents aspects de ce quartier violent >
- Fusée = le desir de partir
- Petit Zé = comment le crime prend le controle total d'un individu
- Béné = l'adaptation au milieu
- Carotte = la drogue comme solution
- Manu le Coq = la corruption de tous
etc... avec tous les personnages.
L'affiche a elle seule, la celebre scène ou Petit Zé tue Marreco résume bien le film, la rage et le desespoir qui font l'essence de La Cité de Dieu.

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27/01

Gros coup de coeur 2017! Un film qui rafraîchit le cinéma par ce genre de la comédie musicale un peu délaissé récemment... La photographie est magnifique (elle a d'ailleurs gagné un Oscar), l’atmosphère visuelle et musicale, les acteurs, les musiques et les chorégraphie, tout est réussi. La première scène chorégraphique en plan séquence est excellente et a nombreuses reprise Damien Chazelle fait le choix de ne pas couper les plans toutes les 2 minutes (cf. scène dans le jazz bar quand Sebastian joue du piano débout et Mia danse) ; une mention spéciale pour le cameraman et son travaille impressionant. La réalisation de La La Land est tout simplement géniale! Malgré un scénario basique, une histoire d'amour classique, l'ensemble du film laisse un sentiment de nouveauté, d'éclat a cinéma. A revoir absolument !

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05/02

Une prouesse technique pour un des premiers films de l'histoire. J'ai toujours trouvé l'univers de Georges Meliès vraiment impressionnant tant il est riche de ses décors et premiers effets spéciaux cinématographiques. Le cinéma, auparavant surnommé "machine à métamorphose" au début de son ère, reste encore mystérieux et mystique pour ses spectateurs du début du siècle, notamment grâce aux premiers réalisateurs qui proposent une toute nouvelle expérience à sensations fortes : G. Meliès, le père des effets spéciaux est un de ces magiciens. Le Voyage dans la Lune est un classique, d'abord par sa technique nouvelle mais forme aussi un des premiers film à message au delà du divertissement : on remarque en effet une critique ouverte de la colonisation ou plus largement de l'humain qui méprise ce qu'il ne connait pas, qui détruit ce qui est différent de lui.

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06/02

Dans le genre feel good movie, qui donne envie de repartir à zéro et d'accomplir tous ses rêves. C'est efficace mais déséquilibré : bien trop de passages rêvés au début puis des voyages sans plus s'arrêter, au final le message est limpide, un peu trop, tout est beau si on sort de chez soi... Par contre, j'ai bien aimé le jeu de piste avec Sean Pean, qui mène tout droit chez lui, c'est un peu ce qui fait du film ce qu'il est et que c'est pas un simple voyage initiatique avec des belles montagnes et le vent dans les cheveux qui te mènent a la liberté mais plutôt l'idée que c'est un jeu de piste, que c'est un déclic qui pousse a la remise en question et à la nouvelle vie... Le film aurait pu se finir avant la happy end et ça aurait pas été plus mal !

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06/02

Une réflexion sur l'enfance en pleine guerre mondiale, une seconde adaptation d'un roman à succès, c'est avec des grandes ambitions qu'Un Sac de Billes sort en salle en ce début d'année. "Film de l'année", je ne pense pas, "Film Français de l'Année" à la rigueur, mais ne m'y connaissant pas trop je ne m'avance pas. A ma grande surprise, les apparitions de Christian Clavier et Kev Adams, qui sont loin d'être des acteurs que je porte dans mon cœur, étaient justes et pertinentes, plus pour l'histoire que pour leur nom sur l'affiche. A un certain moment, on commence a sentir des longueurs, un côté répétitif même, mais en regardant avec du recul, on se rend compte que la répétition des fuites des deux jeunes frères est le symbole de leur situation instable pendant l'occupation Allemande, leur constant état d'appréhension et d'inquiétude d'être découvert. Une espèce de filtre orangé semble pigmenter l'image, comme un rappel constant à leur famille qu'ils ne cessent de quitter et de retrouver... Une réalisation qui ne marque pas spécialement et une histoire suffisamment emouvante pour toucher un peu, pendant une période de l'histoire vue et revue, le film n'est cependant pas barbant contrairement ce a quoi on pourrait s'attendre, après avoir vu des dizaines de films de Seconde Guerre Mondiale.

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23/02

Film muet, Chaplin, les années 20 : j'avais a peu près aucune idée de ce qu’était ce genre de films, et commencer par The Kid etait une très bonne introduction, à la fois du muet noir et blanc mais aussi de Chaplin, dont je n'ai toujours pas vu les classiques. La relation entre les 2 personnages de cette histoire est exprimée sans mots et en est d'autant plus forte car visuelle, le jeu de l'enfant est très bon, on sent que les gags sont réels car le kid s'amuse de ceux ci, on le voit vraiment s'amuser derriere la camera. Le personnage de Chaplin est exactement comme je l'imaginais, inventif et attachant. Les gags fonctionnent et forme une sorte de repertoire burlesque classique. Une belle approche au genre qui m'a donné envie d'en decouvrir plus.

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23/02

Et vasy que ça arrête pas de râler et de créer des embrouilles pour rien, c'est sympa mais un moment c'est lourd, on a pas envie d'entendre ce groupe d'amis se chamailler toutes les 10min pour des problèmes qui ne sont pas, et puis quand c'est pas ça c'est une belle morale de la part de notre ami Jean Louis le grand sage qui nous rappelle à tous que l'amitié c'est beau et que c'est pas bien de se disputer alors qu'on est ami, et que de vouloir aider un ami dans la galère c'est franchement pretentieux... Dans tous les cas c'est lourd et c'est long pour rien parce que, fondamentalement, on se fou un peu de leurs histoire. Mais, par la force des choses, malgré les rires et pleurs forcés, on arrive a pas trop penser a tout ça pendant le film, donc on passe pas un mauvais moment en soit, c'est après qu'on se rend compte que c'était pas mal superficiel.

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24/02

Je m'attendais à mieux. C'est bien cette phrase qui prouve comment le succès d'un film peut lui faire défaut. Pendant des mois on attendait l'enooorme Split, relatant des 23 personnalités d'un individu plus que mystérieux. C'est dommage d'insister sur ce nombre assez incroyable quand on ne decouvre qu'une petite dizaine de ses personnalités. L'histoire aurait pu être plus interessante si seulement l'enlevement des trois filles avait eu une motivation plus captivante. Par contre, et ça on ne lui retirera pas, le jeu de James McAvoy est incroybale, impressionnant. Ses changements brusques de personnalités sont a couper le souffle et on reste vraiment bouche bée tellement le personnage est bien représenté. Dommage que son personnage, pourtant interessant, ne nous est pas plus développé.

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26/02

Les effets spéciaux sont a peu près tout ce qui m'a vraiment captivée dans ce film. Pas fan de super-héros, celui là était sympathique, avec une histoire un peu originale, mais ce sont surtout les effets spéciaux délirants, les effets de distorsions, la téléportation et les portails qui m'ont maintenue intéressée. On n'en sait que trop peu sur les personnages, l'Ancien étant selon moi le plus intéressant, les autres ne sont que visages sans beaucoup de profondeur qui se déplacent dans le film sans grand intérêt.

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28/02

Une histoire touchante et développée etape par etape, en trois chapitre, retranchant trois moments charnière de la vie de Chiron, de manière à bien saisir l'evolution du personnage dans son acceptation de lui même. Les personnages secondaire, Juan, la mère, Teresa prennent la place qu'il leur faut dans l'intrigue et aident, sans trop s'immiscer, l'histoire et le personnage principal à s'épanouir. La photographie est sublime et la réalisation propre, le film apparait comme un flou poétique, refletant les etats d'ame de Chiron, du bleu au violet, de l'enfance à l'âge adulte. Il y a peu de mots prononcé mais les visages et les gestes parlent d'eux même (la scène de la plage ou la derniere scène du film). Ce film est une experience de tous les sens, beau, poétique et puissant.

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28/02

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28/02
L’histoire a beau etre réelle et donc impressionante, le film ne fait pas sentir l’amour de ce couple, les réelles difficultés qu’il a du rencontrer... L’émotion a vraiment eu du mal à passer pour moi et je me suis generalement ennuyée.

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08/03/17

PARFAIT. Je vois pas comment cette histoire aurait pu être racontée autrement, jouée autrement, mise en scène autrement. Même pas besoin de longs dialogues et grands mots pour faire passer toute l'émotion que les acteurs dégagent. Edward Norton est fantastique dans son rôle et propose une rédemption sincère. Malgré qui il a pu être, on veut croire en Derek, en son désir de changer, dans son mépris de l'idéologie qu'il a longtemps adulé. Le retour aux sources de sa haine grâce au devoir de Danny est essentiel et révèle comment un caractère se forme, d'où il peut prendre sa source et comment il peut ainsi persister dans le temps. Vraiment le genre de film auxquels je repense encore des jours après et dont certaines images restent en tête très longtemps. La musique de l'intro est elle aussi superbe.

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20/03

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21/03

J'ai très rarement été autant impressionnée par un scénario, l'intrigue devient vraiment fascinante quand on commence à soupçonner Nick...

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22/03

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25/03

Mais ?! Qu'est ce que je n'ai pas compris dans ce film? Serait-ce sa poésie ? Son positivisme ? Certaines idées sont intéressantes comme celle de la reproduction du bus dans la foret ou la petite fête, qui montrent que les deux naufragés recherchent a ne pas perdre leur humanité. Mais a par ça et quelques dialogues qui font souffler du nez... Je n'ai pas compris la subtilité de cet humour assez... redondant.

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01/04

C'est la 3e fois que je vois ce film et il me fait toujours le même effet à quelques détails près.

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05/04

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06/04

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08/04