C'est un peu le mot d'ordre de ce bouquin - la réincarnation.
Avec un titre pareil, on s'attend presque à une critique de la religion, mais Werber passe au dessus de ça. Il ne cite aucun Dieu et ne prend aucun parti, juste celui de s'amuser un peu autour de la mort d'un pauvre gus, Anatole Pichon qui n'a rien demandé et qui est, on peu le dire, un peu "con".
C'était à l'origine une pièce de théâtre réalisée par l'auteur lui-même, qui a finalement décidé de la publier sur papier.
Noir et satirique comme il faut, c'est un petit régal pour tous ceux qui ont encore un tant soit peu d'humour et qui aiment les lectures rapides.