Critique de Black cocaïne par madametong
Un polar classique qui se passe au Mali avec un détective noir en héros. Un peu caricatural : les femmes succombent, à part ca elle n existent pas, mais on passe un bon moment
Par
le 16 mai 2015
Laurent Guillaume, je l'ai découvert en 2012 avec "Mako". Son expérience d'ancien flic m'avait tout de suite accrochée. Au fait des affaires internes et des petites magouilles, ces connaissances sont un vrai plus dans ses romans. Pour "Black cocaïne", il a été puiser son inspiration dans son expérience passée au Mali où il a été envoyé dans le cadre de la coopération pour les affaires de stupéfiants. Autant dire qu'il sait de quoi il parle !
Son "Black cocaïne" sent la poudre, la corruption et la chaleur africaine. Tout de suite dans l'ambiance, le lecteur se retrouve tout immerger dans la chaleur et la moiteur malienne. Ca transpire, ça brûle, ça colle. On y est.
Avec une histoire somme toute assez classique, l'auteur arrive à nous dépeindre une facette du Mali pas inintéressante. Une touriste française, en besoin d'argent, est épinglée à la frontière avec une valise pleine de cocaïne. Sa soeur arrive alors au Mali et embauche Solo, un privé alcoolique au passé sulfureux.
Lire la suite de la critique sur le blog : http://cafardsathome.canalblog.com/archives/2015/05/14/32053708.html
Créée
le 14 mai 2015
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