Da Vinci Code
5.7
Da Vinci Code

livre de Dan Brown (2003)

Un ramassis d'inepties prenant l'apparence d'un roman documenté, une intrigue qui n'en a que le nom : l'arnaque qui a enrichi un médiocre.
Lisez plutôt les livres d'enquêtes mettant en lumière toutes les données erronées qui truffent ce roman : vous pourrez parler de ce best seller avec intelligence !
Epistula
1
Écrit par

Créée

le 25 août 2014

Critique lue 191 fois

Epistula

Écrit par

Critique lue 191 fois

D'autres avis sur Da Vinci Code

Da Vinci Code
Bestiol
2

Ouiiiiiiii, tout de touuuuuuuuut

...Touuuuuuuuut, oui je regrette tout : j'ai LU ce bouquin. En entier. Mon excuse était que je voulais comprendre comment ça avait pu être un pareil succès. Et, trois ans après, je ne comprends...

le 27 févr. 2011

29 j'aime

21

Da Vinci Code
Yotaku
1

Critique de Da Vinci Code par Yotaku

Nous sommes en présence du papier toilette le plus cher que je connaisse. La seule originalité est qu'il soit présenté non pas sous forme de rouleaux mais bel et bien de livre. Plus sérieusement...

le 15 nov. 2010

26 j'aime

4

Da Vinci Code
Jack_Spade
6

Critique de Da Vinci Code par Jack_Spade

Soyons clairs, en tant qu'écrivain Dan Brown vaut pas grand chose, comme la majorité des écrivains à best-sellers actuels en fait. A croire qu'on sait de moins en moins lire. Le schéma est classique...

le 20 janv. 2011

20 j'aime

3

Du même critique

L'Incompris
Epistula
9

Critique de L'Incompris par Epistula

Je l'ai vu 3 fois en 35 ans, c'est suffisant pour mes glandes lacrymales et le blues aussi lourd que le rocher de Sisyphe qu'il a fallu évacuer ensuite. Même si ce film est daté, tant par sa...

le 27 août 2014

1 j'aime

Saison noire
Epistula
10

Sportifs ou non, ce livre bouleverse tous les lecteurs aimant nuances et sensibilité

Je l'ai fait lire à mon frère, sportif professionnel : il a demandé à lire d'autres œuvres de cet auteur dont je suis quasi inconditionnelle. La touche de balle de Pat Conroy est littéraire, sa...

le 3 janv. 2015

Arsenic et vieilles dentelles
Epistula
10

Loufoque, iconoclaste : fraîcheur intacte !

La notion d'incongru, le décalage des personnages, par rapport aux clichés, n'ont pas pris une ride : pas besoin de couleurs pour ce film en noir et blanc dont la cocasserie vous laisse le cœur...

le 27 août 2014