My favorite book ever...
Je l'ai lu pour la première fois en 1993 en chinant dans la bibliothèque de ma grand-mère... Depuis j'ai dû le relire à peu près... une ou deux fois par an!!! Il s'agit probablement de mon livre...
le 24 janv. 2013
1 j'aime
En vacances chez ma mère, errant devant sa bibliothèque, cette dernière me dit "lit ça, c'est vraiment bien".
Daddy, le nom ne m'inspire pas trop, la couverture non plus.
Mais les premières pages me transportent.
Nous suivons en pleine seconde guerre mondiale, Thomas aux noms de famille multiples et Grégor Laemmle aux nationalités multiples, dans une partie d'échec grandeur nature, du sud de la France jusqu'en Allemagne, en passant par la Corrèze, Grenoble, Lyon, la Suisse.
Ce sont deux personnes très intelligents malgré leur différence d'âge. Thomas n'a que 11 ans et a été formé depuis son plus jeune âge à la dissimulation, à la réflexion, à l'anticipation : c'est un petit génie qui a la capacité de retenir des codes de coordonnées bancaires sur un nombre incalculable de pages. Ce n'est donc pas réellement un jeune garçon que l'on découvre mais une redoutable personne d'un point de vue stratégique même si souvent, sa jeunesse le rend très sensible ce qui m'a très souvent touchée. Laemmle, lui, est missionné pour à attraper Thomas pour lui faire dire ces codes bancaires que réclame Hitler.
Chacun avance ses pions, reines, rois, cavaliers et anticipent la réaction de l'autre pour pouvoir à son tour soit attaquer, soit se retirer.
J'ai trouvé plutôt judicieux ce jeu du chat et de la souris surtout que lorsque j'ai prête à m'ennuyer est rentré dans la partie, Quaterman. Américain, il a été contacté par la mère de Thomas en lui disant qu'il en était le père et que son fils était en danger (écris un peu comme ça, ça tombe comme un cheveux sur la soupe mais ce n'est pas vraiment le cas lorsque l'on lit le livre). Son arrivée permet de relancer le jeu à sa façon : cette personne est moins dans la réflexion mais plus dans l'action. Elles sont souvent très héroïques et cela équilibre le roman.
J'ai trouvé ce livre bien maîtrisé où se succèdent des moments d'actions coupés de moments plus calmes mais nécessaires pour l'élaboration des stratégies.
La guerre qui est le fond, la ligne directrice, n'est en fait pas très présente, ce qui est à mon avis très bien pour cette histoire, car ça ne plombe pas l'atmosphère qui est déjà tendue.
Créée
le 26 nov. 2015
Critique lue 293 fois
2 j'aime
Je l'ai lu pour la première fois en 1993 en chinant dans la bibliothèque de ma grand-mère... Depuis j'ai dû le relire à peu près... une ou deux fois par an!!! Il s'agit probablement de mon livre...
le 24 janv. 2013
1 j'aime
"Louis prend son bus, comme tous les matins Il croisa cette même fille, avec son doux parfum Qu'elle vienne lui parler, il espère tous les jours Ce qu'il ressent au fond d'lui, c'est ce qu'on appelle...
Par
le 16 avr. 2019
6 j'aime
Rose, 14 ans, vendue par un père qui va gouter à la saveur amère des remords, mais il est déjà trop tard. Une enfant qui va devoir grandir beaucoup trop vite, dont la naïveté n'a d'égal que sa...
Par
le 16 avr. 2019
6 j'aime
Je crois qu'il est officiel de dire que je suis une "bloggeuse littéraire victime" !!! Entendez par là, que j'ai de plus en plus de mal à résister à l'achat compulsif d'un livre qui est ovationné sur...
Par
le 14 mars 2016
6 j'aime