A la mort de son père que le narrateur n’a pas connu, (on ne sait pas à qui on a affaire) ce dernier s’envole de l’autre côté de l’Atlantique pour obtenir des réponses.
Le notaire lui a remis une liasse de billets et une carte de visite où est inscrit une adresse et un message laconique : “N’importe quand, n’importe qui, n’importe quoi”.
Commence alors pour notre héro(ïne) une quête sur ce père, mais aussi sur sa propre existence dans une ville inconnue, sans contact, sans vraiment maîtriser la langue ; mais qui l’emmène dans un coin du monde où il/elle porte une grande admiration pour la littérature de ce pays...http://aurayondeslivres.over-blog.com/