Par Raksha
L'écriture légère, fluide et bien maniée d'Yann nous emporte dans l'histoire dès les premiers mots. Une fois plongé dans la lecture, il est quasiment impossible d'en sortir. L'ambiance, l'avancement...
le 5 sept. 2020
1 j'aime
L'écriture fluide d'Andraroc nous mène directement dans le récit et il est difficile d'arrêter en cours de lecture. Les différents personnages et leurs réalismes sont si plaisants qu'on ne veut pas les quitter, même à la fin du tome. Les descriptions des paysages sont saisissantes et celles des lieux de vies sont magnifiquement écrits. On voit de suite la différente entre New-York et Thurso. On peut observer différemment les faux-semblant de cette prison géante qu'est la grande ville.
Le journal que tient Stan est bien écrit et donne le rythme de sa dépression. J'aime particulièrement sa façon de le décrire et en voici un passage que j'ai adoré:
La dépression est l'enfoncement de notre âme dans l'obscurité de nos peurs. Avec cette forme arrondie vers l'intérieur, creuse, concave. Ce vide qui nous perce les entrailles jusqu'à ne laisser qu'une chaire à vif et puis finalement, un cadavre rongé jusqu'à l'os.
Chronique complète ici
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Livre lu par Raksha et livre lu par Raksha en 2021
Créée
le 5 févr. 2021
Critique lue 34 fois
L'écriture légère, fluide et bien maniée d'Yann nous emporte dans l'histoire dès les premiers mots. Une fois plongé dans la lecture, il est quasiment impossible d'en sortir. L'ambiance, l'avancement...
le 5 sept. 2020
1 j'aime
Je trouve la couverture très bien, sombre pour rappeler le côté peu joyeux du livre (meurtre, engrenage....) Quoi de plus naturel que de mettre un violoniste sur cette fourre? (Seul point...
le 19 juin 2020
1 j'aime
Avant de me lancer dans le film, j'ai fait quelques recherches sur Togo. Et lorsque j'ai mis play à la vidéo j'avais peur d'être servi comme avec Antartica 2006 ou Balto (le dessin animé). C'est à...
le 26 févr. 2020
1 j'aime