Exercices de critique

Notations :
1.
Dans une chambre, une heure tardive. Un type dans les quinze ans, pantalon nonchalant avec couture mal placé remplaçant braguette fuyante, jambe difforme comme si on les lui avait malmené. L'écriture débute. Le type en question raisonne sur un livre. Il lui reproche ses facilités chaque fois qu'il use d'un dialecte. Ton bienveillant qui se veut amical. Comme il apprécie cet ouvrage, s'inspirant de celui-ci.
2.
Deux heures plus tard, je le rencontre dans le salon, devant la le poste de télévision. Il est avec un
camarade qui lui dit : « Tu devrais barbouiller une critique supplémentaire pour ce livre. » Le type lui montre où (sur Sens Critique) et comment.

Mathématiques :

Dans la chambre cubique, une heure démesurée. Un type rectiligne dans les quinze ans, pantalon longiligne avec couture mal tracée, jambe sinusoïdale comme si on les lui avait mal réglé. L'équation commence. La variable en question est un X, défini sur le domaine Livre. Ce X ne possède aucune solution.
Un nombre d'heures additionnées ; Un ami lui énonce le problème en lui expliquant qu'il fallait prendre en compte Y.

Enfantin

C'est l'histoire d'une personne qui va écrire une critique sur un site, qui s'appelle Sens Critique. Et puis, je crois qu'il va s'embrouiller, et donc, du coup il va essayer de se démêler les poils du pinceau. Et ensuite, il va repenser au livre, et en plus il essaye de trouver le bien et le mal du livre, enfin par exemple il va aimer que la manière d'aborder les choses soit nouvelles, mais il va pas aimer le fait que l'idée du livre ait déjà été utilisée.
Et là d'un coup, deux heures après, on le revoit avec un ami qui sont en train de parler du livre, et qu'il a peut être oublié des trucs sur le livre dans sa critique.

Théorique

Un individu ( unhomme ?), s'il existe qui possiblement dispose de ces vraisemblablement 15 années, et probablement jeans mal formé. Apparemment, cet individu se trouve pourvu de jambes prétendument anormales. La raison sans doute travaille.
Ce livre peut-être porte à détourner les préjugés élitistes d'un style lyriciste et stylistique (de l'Académie Française ?), ou bien censément d'un délire enjoué et frivole de Raymond Queneau, plausiblement les deux.
Un certain temps plus tard, ou éventuellement maintenant, cet individu hypothétique rencontre théoriquement un autre individu hypothétique. Ils discutent conjecturalement de ce livre (Exercices de style ?), expliquant qu'il soit éventuellement possible qu'il ait oublié des paramètres. (Une relecture s'impose ?)

Unicité
Dans la chambre détenu par un homme âgé de quinze ans, vêtu d'un pantalon atonique recousu sur la braguette, s’alignant maladroitement à ses jambes disproportionnés, il se prépare à griffonner une critique sur un livre de Raymond Queneau : Exercice de style, en outre se triturer les méninges pour démêler de ce qu'émane du fond et de la forme, suivant le fil de la lecture, cet homme se surpasse pour délivrer in extremis son travail, dans cette hâte, un ami de l'homme, quant à lui, remarque qu'il oublie de déblatérer sur l’intérêt de réécrire 99 fois la même histoire inintéressante, ainsi l'homme est suscité à s'améliorer et à se surpasser.

Vaudeville
Dans une chambre, une personne parle
-Personne 1 (P1) : Faut que j'écrive une critique sur ce livre, il m'inspire beaucoup !
-Subconscient de la personne 1 (*renommé S1 par la suite) :Oh mais oui ! Mais Je ne puis imaginé, que ce soit toi, et toi seul, qui fasse fonctionner tes 2 neurones et ton synapse mal raccordé.
-P1 : Rohh ! Mais tu m'emmerdes, petit pédant de cortex cérébral. Qu'est ce que je m'en fous de ta conscience. Tu ne dois faire que ce que je te demande sans te rebeller.
S1 : Tu n'as pas idée de ce que tu me causes.
P1 : Hypocrite !
S1 : Oh !
P1 : Tu n'as jamais démontrer l'envie de progresser ou même de travailler !
S1 : Tu ne me l'a jamais permis.
P1 : Tu insulterais donc ma parole comme si je puis avoir tort ! N'oublie jamais que tu es à peine moi.
S1 : Vous m'offensez !
P1 : Tu n'as donc jamais pris d'initiatives; et tu te permets de blâmer mes directives.
S1 : C'est bien vrai qu'elles ne sont pas ré prouvables...
P1 : Merci bien ! Je te contemple comme si je voyais un déchet dans la poubelle, ni regrettable ni utile.
S1 : Mais de rien, vaurien !
P1 : Quelle est ta volonté de vouloir devenir différent ? Deviens normal ? Range toi dans les cadres.
S1 : Je n'en ferais rien.
P1 : Et je n'en penserais rien non plus !
Deux heures plus tard, dans le salon, la personne rencontre un ami surnommé A1
A1 : Tabernak ! T'as oublié de parler de tout, t'es passé à côté de la plque, toi ! C'est parfait mais comment as-tu oubliéla volonté de Queneau à se dissocier et à ne pas rentrer dans les cordes ?
P1 : Euh...
S1 : Eh !

Bistrot

"-Eh Michel, Devine-quoi ?
-Quoi, Bernard !
-J'ai vu un loubard dans sa chambre.
-Ouais et !
-Attends, il parlait tout seul !
-Il est fou ou quoi ?
-Bah ouais qu'il est fou !
-Mais pourquoi il parlait tout seul !
-Il avait lu un livre, et voulait le critiquer.
-Mais pourquoi il veut en dire du mal !
-J'en sais rien, moi, je trouve que ces jeunes issu de cette jeunesse me glacent la bière !
-Haha très drôle !
-T'imagines il écrit sur nous !
-Hihi, je vais mourir de rigolade arrête."

Blasphématoire
Morbleu ! Nom de Dieu ! Par Satan ! Palsambleu ! J'ai attrapé Satan par la queue ! Scrognegneu ! Brian n'est pas un Dieu ! Par le sang de Dieu ! Damné ! Tabarnak ! Par Juda !

Indifférence
Finalement, le type n'a rien écrit de concluant.