Exorciser le traumatisme de la guerre pars l'écriture

L'auteur, sait à dire, Blaise Cendrars, aussi connue sous le nom de Frédéric-Louis Sauser est né en Suisse le 9 septembre 1887 en suisse, dans la ville la chaux-de-fonds. Il décéda le 21 janvier 1961 à Paris. L’auteur, est un poète et écrivain suisse, qui a suivi des études de médecine et de lettre qui ne termina pas, car en effet celui-ci, interrompit ces études, pour faire un tour du monde. Durant son voyage, où il fit escale en 1911à New York, il écrive un poème intituler « Les pacques à New York ». Puis aux alentours de l’année 1925, écrivit son premier roman qui le fera connaître en tant que romancier mondialement connu avec son roman intituler « L’or » où il parle d’un millionnaire qui aurait perdu tout son argent après avoir découvert de l’or. Suivi de « Moravagine »(1926) … Lorsque la Première Guerre mondiale (1914-1918), éclate, Blaise Cendrars, s’engage comme volontaire étranger (naturaliser Français qu’en1916) dans l’armée française, où fit placer dans la légion étrangère où il exerça la fonction de caporal. Il fut réformé le 28 septembre 1915, après avoir été gravement blesser, et dû être amputé du bras droit. 30 ans après ces événements l’auteur écrivit son expérience personnelle de la guerre, où il « montre » l’absurdité de cette guerre à travers des « métaphore humoristique » mais aussi des traumatismes causer par l’enfer de la guerre des tranchées.

Trame de l'histoire

Au cours de la Première Guerre mondiale, Blaise Cendrars, un soldat étranger, s’engagea dans l'armée française et combattit au sein de la légion étrangère. Tout au long de son « engagement » avant cette blessure qui lui coûta la réformation, il montra non pas une vision héroïque d’avoir participé à la guerre, mais au contraire, une vision absurde et tragique de la vie des soldats lors des combats dans les trancher. IL montre tout au long de son roman une « partie » du quotidien de ces accompagnait de l’escouade qui était sans cesse « renouvelé » dû à des blessures voir à des morts.

Moral de l'histoire

Le roman autobiographique de Blaise Cendrars, nous montre qu'à travers les heures passer dans les tranchées, sous des conditions de vie effroyables, les sentiments d’effroi et l'incertitude de rentrée un jour chez soi. Car en effet, nous pouvons constater que peu importe la nationalité du soldat, ils étaient tous concernés pars cette constante présence de la mort qui « planait » sur eux t'elle une épée de Damoclès. Cette œuvre, nous montre aussi, non pas un aspect héroïque d'avoir participé à la Première Guerre mondiale (1914-1918), mais plutôt un aspect de chaos total, où des hommes sont « obligés » de tuer leurs prochains.