Bèba, Barbara, est à la tête de la verrerie que lui a légué son père face à l'usine à gaz. Mais la situation va mal, le magasin n'a plus beaucoup de clients et croule sous les dettes. Quand elle décide de faire le tour du pays pour réclamer son dû à ses partenaires, son mari fait une dépression et se retrouve hospitalisé. Las de la crise et de l'ambiance morose à Athènes, elle confie son magasin à deux amis pour s'enfuir avec un amant. Mais ces deux derniers se font escroquer et la ruine encore plus...
Le récit est très sombre, déprimant. Il retranscrit sans doute une atmosphère réel qui a touché Athènes, et c'est ce qui fait l'intérêt de l'histoire, mais le roman pâtit horriblement de la traduction - ou de l'écriture de l'auteur. Les phrases sont hachées et répétitives, ce qui ne rend pas la lecture agréable et fluide.