Ame sonnée.
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Je ne suis pas pêcheur, je n'ai donc rien compris à tout ce langage aussi technique que descriptif sur la capture du poisson. Quelques illustrations sinon quelques explications pour un roman d'une centaine de pages portant exclusivement sur la pêche auraient été pertinentes et auraient pu permettre au public étranger de ce domaine de s'en imprégner, sinon de s'enquérir de celui-ci.
Au niveau de la forme, ce roman ne dégage pas d'essence particulière, les phrases sont écrites avec beaucoup de simplicité (du moins dans la traduction).
Il est certain qu'il ne méritait pas les honneurs qu'il a obtenus ; quand j'ai appris qu'il avait reçu le prix Nobel de littérature et le prix Pulitzer, mon indécision sur l'attribution de la note s'est rompue et j'ai pu juger avec une plus grande sévérité cette oeuvre qui semble grandiose.
Au niveau du fond, il n'y a pas grand chose à redire, le récit s'étale correctement et suit un cours logique, il se lit assez rapidement malgré les réticences que peut engendrer le vocabulaire adopté. Il manque simplement à ce roman une âme littéraire.
Créée
le 7 oct. 2020
Critique lue 56 fois
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