Top 5 des raisons de lire Les frères Karamazov à l’ère de Nabilla
Je ne vais pas faire une critique analytique du roman. Un tas de grands esprits s’en sont déjà chargés, avec beaucoup plus de talent et de pertinence que je ne pourrais le faire moi-même. Pour que ma critique fasse sens, j’ai donc choisit un angle ou je suis pertinent, celui de répondre à cette question : «Pourquoi lire Les frères Karamazov à l’époque de Nabilla (quand aucun prof de français dépressif ne nous y oblige) ?».
La question est posée, ma réponse sera typique de l’ère Nabillesque : un top five ! Voici donc le top 5 des raisons de lire Les frères Karamazov à l’ère de Nabilla
….Roulement de tambour….
Numéro 5. « Parce que du coup on rigole encore plus devant la cité de la peur, quand Serge Karamazov nous dit qu’il est fils unique. »
….Roulement de tambour….
Numéro 4. « Parce que ça permet de s’la péter grave sur sens critique en passant pour un érudit auprès des fans de Marc Lévy. »
….Roulement de tambour….
Numéro 3. « Pour avoir l’impression d’être un peu moins con une fois la dernière page tournée. »
….Roulement de tambour….
Numéro 2. « Parce que avec tous les prénoms, 2ème prénom, surnoms, diminutifs, appellation, periphrase (et j’en passe) différents désignant un personnage, on fait chauffer la cervelle en permanence pour savoir qui est qui(ovitch). C’est bon pour la mémoire ! »
Et enfin la raison numéro 1 de lire Les frères Karamazov plutôt que de regarder les anges de la téléréalité est :
... Méga roulement de tambour...
« Nan mais allo, allo quoi ! T’as pas lu Les frères Karamazov ! Nan mais allo quoi ! C’est comme t’es une fille t’as pas de cheveux ! Allo quoi ! »