Rocard, c'est la gauche, la vrais

Énorme surprise que ce, dernier livre sur Rocard.
On est sur un très grand homme qui commence la politique avec le Scoutisme et le finit en s'occupant des pingouins en Antarctique.

On y voit l'histoire d'un militant petit bourgeois traumatisé par la seconde guerre mondial. Il fait de grandes études administratif et commence vraiment la politique lorsqu'il est Algérie et fait un rapport anti-colonialiste qu'il envoi clandestinement à Degaulle.
A ce moment là j'ai re-pensé à tout mes camarades du PS qui se revendiquent de son nom mais qui sont des pures produit de l'appareilles administratif français. Jamais il n'aurait mit leur carrière en dangers pour leur idées.

Autre surprise, Rocard parle de Marx et invite à le lire (p 60/61). il rappel le caractère anti-buraucrtatique de philosophe. Je crois que cela construira sa vision de la "deuxième gauche".

En moins bien
Il demi-mot, qu'on est dans une société de con, que les médias n'informent plus, que la et que la jeunesse ne "garantie pas l'intelligence", que la qualité de la qualité de la langue et de la politesse correspond au degré de civilisation (p. 86) ...
Bref, il y a une part de désespérance qu'on à envie de mettre sur le compte de compte de la vieillesse.

Page 100, vers la fin du livre, Rocard explique que le logiciel du capitalisme s'est effondré et provoque chômage, précarité, craintes et donc disqualification l'autorité politique.

La ligne est clairement plus à gauche que les Valls et l'aile droite du PS. Même Mitterrandien, il faut lire et relire Roccard.