Pour ceux qui suivent un peu mon blog, vous aurez pu vous rendre compte que je suis assez fan, voir même peut être un peu nostalgique des années 80's, décennie de mon enfance.
Alors lorsque Sébastien Carletti m'a contacté, je n'avais qu'une envie découvrir son dernier opus « Nos années Récré A2 ».
Et comment vous dire ? Découvrir ce livre, c'est un peu comme retourner en enfance. Je tournais page après page en me répétant à chaque fois la même chose « Oh punaise ! Non, c'est vrai, Ah oui, je me rappel ! Et celui-là je l'avais oublié.... ». Enfin, je ne vais pas tous vous les faire, mais voilà quelle fut ma réaction.
Par la suite, j'ai fait cette même expérience avec un ami et devinez un peu sa réaction... Non ok, je ne vais pas répéter la même chose... Mais je peux vous dire que sa réaction était assez similaire à la mienne.
Souvent lorsque nous feuilletons ce genre d'ouvrage, le contenu est malheureusement souvent le même, on retrouve les classiques et pas beaucoup plus. Avec « Nos années Récré A2 » je fus agréablement surpris, on retrouve bien entendu les classiques tels que Goldorak, Albator, Cobra, mais aussi certain que vous aurez oublié, mais à la première image, vous finirez par avoir la même réaction que la mienne « Oh punaise, c'est vrai... Je me rappel ! »
De plus d'être riche en contenu, ce livre est très bien structuré, l'on retrouve une chronologie en fonction des années, un code couleur pour les chaînes de télévision. Et le plus vicieux à mes yeux est la section « si vous avez manqué la fin ». Quezaco ? Cette rubrique n'apparait pas sur l'ensemble des séries, mais uniquement sur quelques-unes et vous permet si vous le désirez connaître la fin de votre série préférée. Pour ne pas frustrer les lecteurs qui ne veulent pas la lire, Sébastien Carletti a eu la très bonne idée de l'écrire à l'envers, ce qui oblige les lecteurs à tourner le livre dans l'autre sens s'ils veulent découvrir la fin.
Que vous dire de plus que depuis maintenant quelques semaines, je parcours ce livre comme l'on regarde un dictionnaire, je lis une page au hasard et me délecte avec un petit pincement de nostalgie.
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