O mon Prince charmant, te trouver, te garder

Résumé : Ô MON PRINCE CHARMANTte trouver, te garderPAPAYAPrince Charmant, Prince Charmant Vous y croyez encore ?Certes, on est d'incurables romantiques. Mais au XXIe siècle on n'y croit plus au sens du demi-dieu qui, ayant garé son carrosse un peu plus loin, viendra interrompre notre conversation avec notre serpillière pour nous libérer de notre médiocre condition. Mais on croit encore à notre «moitié», à notre âme soeur, à celui qui nous complète, dont la compagnie nous booste, et qui nous permet de donner le meilleur de nous-mêmes.Avec lucidité et humour, Papaya nous explique comment prendre les hommes par le bon bout, remettant du baume au coeur à celles qui ne croyaient plus en l'amourPapaya, c'est la bonne copine qui a roulé sa bosse, nous écoute et est toujours de bon conseil. Elle vit à Balt avec son Prince à peu près Charmant. Elle materne leurs 6 chats et évite de le materner lui.Extrait du livre :Comment ça, Prince Charmant ?Nous, Les femmes, on est d'incurables romantiquesOK, OK ! On sait que le Prince Charmant existe autant que le père Noël, on nous l'a dit et répété. On nous a même tiré l'oreille dès qu'on avait l'air de se faire des films - car justement il ne fallait pas croire aux films. Et d'ailleurs, on nous a tellement seriné qu'il ne fallait pas être si difficile qu'on a failli plusieurs fois dire "oui" au premier qui avait la sécurité de l'emploi ou l'air incapable de faire du mal à une mouche. Et puis, ça avait l'air de faire tellement plaisir à Fifi de caser son grand frère en solde ! Au moins là, maman serait rassurée et nous lâcherait peut-être avec ses allusions sur les petits-enfants qu'elle rêvait de bercer. Pendant qu'on y est, il faudrait peut-être qu'on arrête d'être exigeante avec le boulot et qu'on accepte cette offre de poste soporifique, mais tellement prestigieux ?On commençait à devenir grise souris jusqu'au jour où notre amie Mumu ou notre cousine Chloé débarquaient au bras de beaux gosses vraiment sympas. Alors là, on se ressaisissait e