Peter De Keyzer était, au moment où il a écrit ce livre, l’économiste en chef chez BNP Paribas. Ce n’est donc pas exactement le profil du Marxiste révolutionnaire ou de l’homme de gauche démocrate. Pourtant j’ai acheté ce livre (en promo) et je l’ai lu, curieux de savoir quels arguments pouvait nous présenté, celui qui me semblait être un néolibéral pur jus. Disons le tout de suite, je n’ai pas été déçu, car cet homme est bien un néolibéral convaincu, mais pas seulement convaincu que le néolibéralisme est une doctrine profitable pour lui et ses proches, mais bien pour l’ensemble de la société. Je vais essayer de structurer ma critique autour des chapitres qu’il présente, même si des allers retours vers d’autres chapitres se feront.


Ce livre se veut résolument optimiste et nous présente d’emblée, de manière certes péremptoire, ce simple fait, les pays les plus libres économiquement sont ceux qui arrivent à croitre le plus, et il le démontre, graphe à l’appui. Le problème des statistiques c’est que si on ne les connait pas bien, si on ne parle pas leur langage, ces dernières peuvent nous raconter une histoire assez différente de la vérité, j’y reviendrai, mais je veux d’abord allez plus loin dans mon raisonnement. Ce premier chapitre essaye donc de nous convaincre que la liberté économique « c’est le bien », sans jamais définir ce dont il parle. C’est quoi la liberté économique ? Honnêtement, je n’en serai jamais sûr, mais je pense qu’il veut parler de l’indice de liberté économique crée par le Wall street journal (un journal d’obédience assez marquée donc). Donc la liberté économique dont il parle, c’est un indice, un simple indice, qui est donc critiquable, applicable dans certains cas et pas d’autres, bref c’est un indice, pas une loi universelle de la nature. Si je me permets de dire ça, c’est parce que l’auteur va confondre en permanence indice et loi naturelle, par exemple, la croissance ne sera pas une seule fois définie comme un indice (notion statistique appliquée de base), mais sera vraiment traité comme un phénomène naturel. Comme si l’économie était devenue, par la force des choses, une science naturelle et plus une science humaine. A de nombreuses reprises De Keyzer va définir l’humain comme voulant absolument la croissance, la croissance étant même inscrit dans ses gènes selon lui. Le problème est que l’humain ne se comporte pas toujours comme ça, et que nombre de ces comportements sont beaucoup plus complexes que ce que voudrait nous faire croire le modèle de l’homo économicus, et surtout, la manières dont un humain perçoit la vie et dont il se comporte varie grandement avec l’éducation qu’il a reçue, les gens qu’il a rencontré,…. A sa décharge le comportement humain n’est pas simple à comprendre. Pourtant, une science qui essaye d’expliquer les comportements humains de manière individuelle, ça existe, ça s’appelle la psychologie. De même une science existe aussi pour expliquer les comportements des groupes humains, cette dernière s’appelle la sociologie. Toute deux sont des sciences humaines et ces derniers échangent entre elle. Les sciences économiques, ont à un moment de leur histoire voulu créer des modèles mathématiques pour prédire le comportement humain, si c’est en soi une bonne idée, cela ne signifie pas pour autant qu’il ait fallu négliger les apports des autres sciences humaines. De plus, avant de faire des maths et de sortir des petits graphes, il faut savoir de quoi on parle. Je retourne donc à mes statistiques (enfin me direz-vous), Il nous introduit donc des graphes nous présentant des quartiles d’une population de pays, l’abscisse (l’axe X) représentant toujours la liberté économique, et l’axe Y, la variable à expliquer (la croissance, le revenu, la répartition de richesses, etc,…). Si on regarde ces graphes sans recul critique, on doit se rendre à l’évidence, son propos est exact. Précisons de suite, des stats j’en ai bouffé une quantité astronomique, et un des concepts et des problèmes centraux de la statistique appliqué est trouver des variables explicatives dont la corrélation est élevé pour une variable à expliquer donné. Bon je vais m’arrêter quelques lignes pour vous expliquer le charabia que je viens de lâcher ci-dessus, parce que c’est, pour moi vraiment important que vous compreniez ce que je veux dire.


Première chose, une variable à expliquer est une variable dont on veut savoir pourquoi elle varie. Prenons un exemple agronomique. On veut savoir qu’est ce qui fait varier la production de blés sur un espace défini (par exemple un hectare), on se demande si c’est la quantité de nitrates, la quantité de phosphate ou la quantité de potassium. La variable à expliquer est donc ici la production de blé sur un hectare, c’est ce qu’on cherche à savoir. Les variables explicatives seront ce qui permettra d’expliquer cette plus ou moins bonne productivité, donc ici, la quantité de nitrates de phosphate et de potassium (il y en a d’autres, mais le but est ici d’expliquer simplement un concept statistique). Ces 3 variables vont expliquer en partie la productivité d’un champ, mais certaines expliqueront mieux la manière dont la productivité varie. Par exemple, le nitrate est une bonne variable explicative, en ne prenant en compte que le seul taux de nitrates on arrive à expliquer pourquoi le champ produit plus ou moins de blé. A contrario le potassium n’est pas vraiment une bonne variable explicative, si on le prend seul il n’explique quasi rien (sauf cas de carence). Il est aussi possible que 2 variables soient liés, par exemple le phosphate est souvent mis dans les engrais avec le nitrate, donc au plus il y a de nitrate dans le champ d’un agriculteur, au plus il y aura de phosphate. Donc analyser le phosphate dans le champ de cet agriculteur, peut induire en erreur. Qu’analyse-t-on ? Le taux de phosphate ou la quantité d’engrais rempli de nitrate que l’agriculteur à épandu sur son champ ?


Pour moi Peter de Keyzer utilise de mauvaise variable explicative qui sont relativement liés à des bonnes variables explicatives (l’indice de liberté économique comprend dans son analyse la stabilité économico politique d’un pays, tout de suite ça aide à avoir de la corrélation), et en utilisant des quartiles, donc au final des mesures statistique peu fine, il arrive à gommer les défauts de son analyse. Par exemple, l’indice de liberté économique est faiblement corrélé au PIB moyen par habitant et n’est en aucun cas significatif, donc en gros ça n’explique rien (source : leftbusinessobserver qui est, pour être transparent avec vous, de gauche). Les deux premiers chapitres sont la base de toute son explication future et ils peuvent déjà être remis en cause par un peu de recherche (genre 10 minutes) et une bonne connaissance de la statistique. Le deuxième chapitre continue sur cette lancée, en disant que le libre marché est un gigantesque sondage d’opinion, et que ce que préfère les gens seront sélectionné, voir encore, qu’il ne faut pas faire preuve de mépris à l’encontre des préférences des gens, si ils préfèrent Hannah Montana à du Mozart car serait nié leur propre liberté (Je résume le chapitre, mais c’est à peu de choses près ce qu’il dit). Il peut le croire, mais ce serait négliger 2 facteurs extrêmement important. La puissance d’un système d’achat dont les techniques de marketing optimise l’envie d’un acheteur, et deuxièmement, les apports de la sociologie. Certaines personnes pauvres n'achètent pas des I-phones car ils le souhaitent vraiment, mais car ces I-phones sont pour eux source de prestige sociales, de satisfaction sociale qu’ils ne peuvent pas autrement obtenir. Cet achat est donc conditionné à celui de ce qu’ils perçoivent comme une élite, qui aura validé socialement ce qu’ils doivent acheter. A partir de ce moment-là, peut-on réellement parler de libres choix ? De libre marché ? Je n’ai cité qu’un exemple que je connais, mais je dois préciser que contrairement aux stats, mes connaissances en sociologies et en psychologie, sont somme toute assez limitées. Je n’ai aucun doute que quelqu’un ayant une réelle connaissance sociologique puisse trouver d’autre biais. Mais je reviens donc au problème que j’avais soulevé quelque lignes plus hauts, les sciences économiques (un partie de ces sciences en tout cas, dont De Keyzer fait à ne pas en douter partie) se sont isolées de toutes les autres sciences sociales, et n’arrivent donc plus à expliquer de manière optimale les comportements humains. Ha aussi un passage, particulièrement répugnant sur le travail des enfants, qui est remplis d’un cynisme tout à fait décontenançant. Au final, la lecture de ces 2 chapitres, ne m’ont pas convaincu de la justesse des idées néolibérales. J’ai au contraire plutôt perçu ça comme un vibrant plaidoyer en faveur de l’instauration de vrai cours de statistiques appliqué et de sociologie (voir de philo) dans le cursus des économistes.


Le troisième chapitre est, à mon sens, un peu plus intéressant il y explique, non sans cynisme, le danger des prix minimaux et je dois bien admettre que son argumentation bien qu’assez froide, est assez percutante. Imposer des prix minimaux peut parfois être dangereux et faire exactement l’inverse de ce qui est recherché. Il tente aussi de nous convaincre de la justice véritable d’un libre marché et je suis dans les faits, assez d’accord. De même que sur le papier, je suis assez d’accord avec l’utopie anarchiste ou l’utopie communiste. Cependant, ce sont des utopies. Le libre marché n’existe pas ! Et pour le moment, ce marché faussé nous coute énormément et crée du malheur. Je rappelle que ce livre s’appelle « parlons croissance, parlons bonheur ». Dans le même ordre d’idée le chapitre 4 nous parle de créer un marché sur les biens communs de manière à ce que les acheteurs puissent individuellement prendre leurs responsabilités, et de déléguer l’organisation de ce marché à l’état. On a vu ce que ça donnait avec les émissions de CO2, l’auteur précisera plus tard que ça à mal été évalué par l’état. Mais on arrive là au cœur de la problématique, comment évaluer les impacts ? Ce qui implique une autre question, comment attribuer une valeur au CO2 ? Cette question est excessivement complexe et est encore débattue par de nombreux scientifique. Notons tout de même que ce n’est pas la seule question environnementale qui est difficile à évaluer. Ça me semble évident, et je pense que si on ne peut clairement pas être expert en tout, porter un minimum d’intérêt à l’une ou l’autre discipline peut aider à avoir un avis plus fin sur sa propre discipline, c’est en somme ce que je disais pour la sociologie. Peter De Keyzer me donne l’impression d’être perdu seul sur sa tour d’Ivoire.


Il y aborde ensuite dans le chapitre 5 pourquoi la croissance est un enjeu primant sur tout le reste, il nous présente aussi une courbe, la courbe de Preston, et cette courbe fut pour moi une véritable révélation sur la manière dont je structurerai ma critique de l’indice croissance (cette courbe est, au passage, juste superbe). Dans ce chapitre, il structure sa réflexion sur cette simple courbe, il l’a structure en 2 questions. Pourquoi les pays pauvres ont besoin de croissance ? Ensuite, pourquoi les pays riches ont besoin de croissance ? La courbe de Preston présente en abscisse le revenu moyen (le PIB par habitant en fait, mais c’est dans ce cas-ci sensiblement la même chose), et en ordonnée l’espérance de vie. Cette courbe est en gros une hyperbole négative (voir une fonction logarithme mais le raisonnement détaillé plus bas reste assez similaire dans les faits) présentant donc 2 asymptotes, une verticale et l’autre horizontale. Pour parler français, l’asymptote verticale signifie qu’au plus la richesse se rapproche de 0, plus l’espérance de vie est faible, mais il suffit d’une faible augmentation du revenu pour que l’impact sur l’espérance de vie soit important, c’est d’ailleurs ce que nous dit Peter de Keyzer, et je suis totalement d’accord avec lui d’ailleurs, c’est une simple analyse fonctionnelle. L’asymptote horizontale signifie elle, en langages mathématique, que bien que l’espérance de vie augmente toujours au plus le revenu est important, elle va tendre vers une valeur fixe, et cette valeur ne sera jamais dépassé quel que soit le revenu moyen. En gros ça veut dire arrête de creuser. Au final, cette courbe peut sembler assez anecdotique, l’espérance de vie est un aspect important, mais ce n’est pas le seul truc qui compte. Pour moi cette courbe signifie que la machine « être humain » à une espérance de vie maximale et qu’elle ne peut pas être optimisée au-delà d’une certaine valeur. Idem pour le pétrole la réaction de combustion du pétrole dégage une certaine énergie, ça c’est à la science pure de le déterminer, elle va nous dire qu’une certaine quantité de pétrole brulé va fournir une quantité X d’énergie. La science appliquée commence au moment où on se pose la question de savoir comment récupérer un maximum de cette énergie X, tout en sachant qu’il ne réussira jamais à dépasser cette valeur ni même à atteindre cette valeur (il y aura toujours une perte quelque part), il pourra tendre vers cette valeur. Mais la science appliquée ne peut jamais violer les lois naturelles définie par les sciences pures. Idem pour la machine « vache » (exemple abordé dans son livre) ou la machine « arbre », et les exemples sont légions. Ou nous trouvons nous sur cette courbe, près de l’asymptote verticale ou horizontale ? Malheureusement, on se trouve bien plus proche de l’asymptote horizontale, nous arrivons donc, selon la courbe qu’il présente lui-même, à la limite d’un système et ça continuera jusqu’à la prochaine révolution scientifique. Dans le chapitre 6 Peter de Keyzer, continue son raisonnement en opposant le choix de la croissance ou de la répartition équitable, en prônant évidemment le choix de la croissance, car permettant selon lui de choisir la politique du ET/ET à la place de la politique du OU/OU. Seulement dans les faits, à l’exception d’un tournant technologique majeur 'comme expliqué plus haut), la croissance ne peut s’accroître qu’en puisant dans les ressources humaines ou matérielles. Or notre planète est en train de crever (Cf GIECS) et de plus en plus de tensions sociales apparaissent. Donc ce qu’il propose n’est pas viable et même si une révolution scientifique se produit (comme il l’espère dans le chapitre7), le temps qu’elle se mette en place, l’environnement aura été détruit. De plus cette solution ne sera-t-elle pas temporaire si nous ne changeons pas de paradigme ? Comment évaluer en prenant en compte toutes les externalités ce qui aura été détruit, la question n’est pas simple et les dégâts causé seront, pour certains irréparables ! Dans ce cas-là, le principe de précaution devrait, à mon avis, prévaloir !


Le chapitre 8 est un de ces chapitres vraiment brillant ou l’auteur me rappelle pourquoi je lui ai aussi mis un coup de cœur. Il y explique que dans certains cas, les pouvoirs publics ont peur d’agir, de licencier, de briser des vies et que cela va à l’encontre du bien commun. Encore une fois ce passage, respire le cynisme, mais n’est néanmoins pas dénué de bon sens. Dans certains cas, des emplois doivent être sacrifié pour le bien être du plus grand nombre. Par exemple: le Forem ne sert à rien, il n'aide pas à trouver le moindre emploi et coute de l'argent à l'état, donc on bac, même si ça cause des pertes d'emplois, idem pour les couillons de la ticket control team de la SNCB (on relocalise dans ce cas). D'autres exemple de cout sociaux douloureux peuvent aussi être amenez en vue de préserver l'environnement. Par exemple, la pêche doit être réduite, et ça causera indubitablement des pertes d’emploi, des dépressions, bref du malheur. Mais c’est le prix à payer pour un environnement naturelle de qualité et un respect de la biodiversité. Donc supprimer des emplois pour le bien communs c'est à dire, soit pour une plus grand productivité, soit pour un environnement sain, me semble être primordial. De plus des alternatives sociales sont toujours possibles, bien évidemment c’est une réflexion personnelle, pour De Keyzer ces familles peuvent mourir sacrifié sur l’autel de la croissance et du libre marché. Cynisme je disais donc.


Dans les deux derniers chapitres De Keyzer liste ce qui peut nuire au libre marché et empêcher que le marché soit réellement libre, sans aucunement intégrer dans sa réflexion le fait que l’hérédité financière soit un problème. Non pour lui, le monde est tel qu’il est, et vouloir le changer serait contre nature (il donnera comme exemple le communisme qu’il confond d’ailleurs avec le socialisme), car l’économie est, je le rappelle une science naturelle et plus une science humaine. Pourquoi vouloir que les pauvres arrivent à s’élever. Le monde est tel qu’il est. La philosophie, la sociologie (et visiblement les maths) ne devrait pas être pris en compte par un économiste sérieux. Sa pensée ne s’embarrasse donc d’aucune morale. Dans ce cas, pourquoi ne pas créer le marché de la prostitution infantile (ou les fillettes consentirait librement à se prostituer, ça va de soi), ou le marché de la vente d’organe. Peut-être les exemples que je donne semble extrêmes, mais n’oublions pas que de Keyzer ne s’oppose nullement, dans l’absolu, au travail des enfants. Si tout est un marché et qu’aucune action sortant du cadre légal n’est immoral, alors peut être aurons-nous plus de croissance (ça reste vraiment hypothétique), mais cela nous rendra-t-il vraiment heureux ? Peter de Keyzer pense, comme Adam Smith (EDIT: après avoir lu la richesse des nations, la pensée de de Kaizer n'est en rien semblable à celle d'Adam Smith), que les gens sont foncièrement égoïstes. Lui qui a écrit un bouquin, pour des raisons qui me semble au final assez altruiste. Je pense qu’il savait que son livre n’allait pas être un bestseller, je pense qu’il a écrit un ouvrage de vulgarisation pour défendre un système dans lequel il croit profondément, mais cette démarche, à elle seule, invalide en grande partie son propos. En fait, notre économiste ne veut pas que les gens soient bienveillant, il ne veut pas que les gens s’entraide au-delà du cadre familiale, il n’a pas envie de savoir que les gens se préoccupent collectivement de l’environnement ou que la compassion est une attitude qui se cultive. Non de son point de vue, les gens cherchent librement leur propre petit intérêt, et si ils choisissent Hannah Montana sur Mozart, c’est leur seul libre arbitre qui les poussent à faire ça. Bref ça ne le dérange nullement que les gens ne se posent pas de questions fondamentales, ou qu’ils achètent ce qu’on leur dit d’acheter, car sa philosophie (terme qu’il réprouverait surement) se base seulement sur le marché et sur une valeur d’appréciation de la masse. Sa philosophie est profondément amoral et s’accommode parfaitement de la médiocrité ambiante, et ne cherche d'ailleurs nullement à changer cet état de fait. Car au final, au royaume des médiocres, les cyniques sont rois!

Nicolas_Otter
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le 28 nov. 2017

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