le 5 juin 2019
La fête de la petite culotte.
Parasite ne mérite certes pas tous les éloges qu'on a pu lui faire : l'accroche du film est confuse et loin d'être évidente, même si on la comprend par la suite, mais elle est mal faite et ne remplit...
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Talleyrand, Dernières nouvelles du Diable est une sorte de court épilogue (moins de 200 pages) en forme d'initiation au volume plus conséquent du même auteur, Le Prince Immobile (plus de 800 pages), que je n'ai pas lu. Une première chose interpelle : le sous-titre. Alors que le sous-titre de sa biographie était plutôt neutre compte tenu de la réputation du personnage, celui-ci rentre dans le tas du racolage alors que dans le texte, il n'en est rien, Waresquiel le défend plutôt, en faisant un maître de la négociation, allant même jusqu'à lui donner une certaine constance dans ses idées en citant certaines répliques ou phrases qu'il auraient prononcées au tout début de sa carrière, et en les mettant en relation avec ce qui semble de l'extérieur un revirement abrupt. En effet, qui aurait pu échapper à l'époque à des titres comme celui de "girouette" en ayant prêté 13 serments et servi 9 régimes différents ? Toujours est-il que c'est ce sous-titre racoleur qui m'a fait acheter le bouquin, m'intéressant tout d'abord plus au Diable qu'à monsieur de Talleyrand.
Un peu déçu donc -forcément-, mais au final j'en ai appris pas mal sur une période de l'Histoire que je ne connaissais pas forcément, et, c'est intéressant, avec moult détails, malgré la relative sécheresse du personnage. (des documents inédits continuent d'être trouvés, d'où cette réédition de 2017 avec deux lettres du prince boiteux en guise de nouvelle conclusion.)
Créée
le 30 juil. 2018
Critique lue 104 fois
le 5 juin 2019
Parasite ne mérite certes pas tous les éloges qu'on a pu lui faire : l'accroche du film est confuse et loin d'être évidente, même si on la comprend par la suite, mais elle est mal faite et ne remplit...
le 8 août 2018
Film complètement foutraque que cet Under the Silver Lake, avec un (anti-)héros antipathique auquel on ne veut pas s'identifier, une quête des plus futiles et qui reflète juste une curiosité morbide...
le 8 août 2017
Oui. Elle l'a fait. Evidemment. Cette question n'a lieu d'être que dans l'esprit d'un naïf qui se laisse facilement subjuguer par une veuve noire de la pire espèce. L'empoisonnement lent mais sûr des...
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