Pour un débutant comme moi dans le monde du vin, on tombe de haut en lisant Vino Business.
Non les vignerons ne sont pas des joyeux toujours prêts à faire l’apéro en ouvrant une de leurs bouteilles.
Non les vignerons ne sont pas des cuisiniers empiriques en quête du meilleur vin avec les moyens du bord.
Non les vignerons ne sont pas tous des vignerons, mais certains aussi des agents immobiliers issus de grande fortune, investissant uniquement par appât du profit.
Alors le livre a quelques années maintenant et on voit bien l’évolution (ou la descente) qu’ont connu les vins de Bordeaux depuis. Le bio, les vins naturels sont de plus en plus demandés dans les commerces spécialisés et ce goût pour le vin « boisé » tant décrié à quasiment disparu.
Mais il en reste ce constat sur la transformation d’un aquarium autonome en océan de requin dès que possibilité de fructifier il y a et ça ce n’est pas prêt de s’arrêter. A quand le prochain Vino Business donc ?