Critique de Après par AMqt
Ce très court roman pétri de sensibilité, qui se lit dans un souffle, peut avoir des vertus apaisantes pour ceux qui ne se remettent pas de la perte d'un être cher. Il offre, en tout cas, une...
Par
le 11 mars 2025
Le hasard faisant parfois bien les choses, la collusion Raphael Melz/Habrien Klent m'était connue. Aussi, après son essentielle "Paresse pour tous", je m'interrogeais sur cet ovni tout fin, que j'ai failli fermer après trois pages d'ouverture désarmantes, pour moi agaçantes, pour garder en tête l'utopie adorée. Je me réjouis trop rarement de prendre des bonnes décisions mais c'en fut une. Cet "Après", après la mort, après la vie, après l'amour, est un oasis d'intelligence sensible qui bouleverse sans pathos, sans effet, nu. Un poème en prose sur finalement ce qui nous tient-les enfants, les petites habitudes, l'universel- et qui disparaîtra aussi certainement qui l'est arrivé. Magistral, pour moi encore.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 10 mars 2025
Critique lue 14 fois
Ce très court roman pétri de sensibilité, qui se lit dans un souffle, peut avoir des vertus apaisantes pour ceux qui ne se remettent pas de la perte d'un être cher. Il offre, en tout cas, une...
Par
le 11 mars 2025
Le hasard faisant parfois bien les choses, la collusion Raphael Melz/Habrien Klent m'était connue. Aussi, après son essentielle "Paresse pour tous", je m'interrogeais sur cet ovni tout fin, que j'ai...
Par
le 10 mars 2025
Peut-être est-ce parce que j’en avais entendu des critiques très élogieuses… J’ai aimé ce texte mais honnêtement, je ne lui ai rien trouvé d’exceptionnel non plus. Un père de famille trouve la mort...
Par
le 2 févr. 2025
1
Comme on dit en Bretagne, ma doué beniguet doujésusQuelle purge. On en reviendrait à ces moments génants de mon époque de vieux en devenir où les cinéastes faisaient du clip une sorte de fantasme...
Par
le 17 avr. 2024
6 j'aime
3
Ami dont la souffrouteuse existence fait comparer la brit'pop' à Pete Doherty, sort de ta niche, lâche ta piquouse, range le poster de Kate Moss. J'ai ici beaucoup mieux pour toi. Ne me remercie pas,...
Par
le 2 nov. 2012
6 j'aime
1
Dix pages et puis s'en va. La gastronomie avait Mac-Do, le cinéma d'immondes faiseurs (ils se reconnaîtront), l'écrit découvre Marc Lévy, chantre du Mal Lire ou comment déforester la forêt...
Par
le 6 janv. 2011
5 j'aime