Il n'est pas facile de faire une chronique quand il n'y a vraiment pas grand chose à dire sur un roman. Mais vous allez me dire pourquoi je continue à lire cette série que je trouve particulièrement lascive ? Parce qu'elle a l'intérêt de faire un break entre deux romans. Elle a l'avantage de faire oublier un pavé, ou une histoire qui vous tient encore après avoir refermé la dernière page. En fait, j'associe les Calendar Girl comme des romans de transition, comme une pause pipi ou une pause café.
Cette série permet tout simplement de mettre en pause une petite heure ou deux, notre cerveau.
Car, il faut bien l'avouer, je suis particulièrement heureuse de ne pas avoir acheté cette série, je me contente donc de les emprunter à ma très chère cousine Cécile qui apprécie bien plus ces romans que moi.
Dans ce tome Mia a du mal a tout géré. Elle n'arrive pas à ne pas penser à Wes (janvier), qui vit sa vie de son côté (pour faire simple, il s'envoie en l'air avec une nouvelle petite amie) et elle développe ce qu'on nomme un sentiment extrêmement inopportun dans le cadre de sa vie professionnelle à savoir la jalousie. Elle passe donc ses nerfs sur Mason Murphy, séduisant joueur de base ball, s'ennuie à mourir et le pousse dans les bras de la "femme parfaite pour lui, son égaux et si elle peut en plus être chaude comme la braise et pas prude pour un sou ça serait encore mieux !!!!". Au final, elle oublie sa petite vie ennuyante dans les bras de son frenchie (février).
Voici donc le résumé parfait pour un total de 156 pages, l'intérêt du premier tome passe avec le temps. A suivre ...