Sergio aquindo, si tu cognes comme kimbo slice !

Je viens tout juste de finir Cendres des hommes et des bulletins.

Un excellent livre. Senges n'y trahit pas son ouverture. Entre vérité et mensonge, où se trouve l'histoire ? Comment raconter la vérité d'un usurpateur ? D'un usurpé ?

C'est le deuxième livre de Senges que je lis. Deux pour me rendre à l'évidence que lire Pierre Senges ce n'est pas seulement s'enrouler dans une histoire qui vous extrait pour le temps de quelques pages de votre quotidien. Lire Senges c'est ouvrir plusieurs livres de front en un tissus de vrais mensonges.

Un cumul colossal d'anecdotes présentées à l'envie, à la manière d'un historiographe, d'un romancier, tantôt d'un critique d'art, même d'un radiologue.


A l'heure où la nomination du pape tient en dernière instance à rigoureuse orthographe d'un prénom sur le papier, que se passe-t-il s'il on y oublie un "e", ou s'il on rajoute un "r" ?


ok aquindo. je ne comprends pas toutes les illustrations.

certaines sont très bonnes.

TOToto1
8
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le 13 avr. 2024

Critique lue 2 fois

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