Bonjour, mais désolé.
Ça se lit tout seul, comme une série télé de la même veine : du sang de navet sur l'écran papier glacé d'un polar collection Arlequin pour bobo fasciné par une Amérique en sucre d'orge comme les aime tant le plus mauvais Hollywood.
Il m'a quand même fallu une centaine de pages pour me demander ce que je fichais là. Et pour, je le confesse, aller jeter un coup d'œil aux commentaires de mes frères d'affliction.
Tout a déjà été dit. Ne soyons pas méchants. Étant donné la date de parution, comme à un ado rêveur très vintage, on accordera l'indulgence du jury. Pour qui en rêve, on laissera scintiller les strass millésimés d'un Sans Francisco d'une époque qu'une simple chanson française a su évoquer en une page et quelques notes de musique pour que ça s'allume tout seul.