Quelle déception. J’ai apprécié les 200 premières pages. Le problème c’est qu’il y en a 850 après…
J’ai acheté ce livre compulsivement début mai car c’est un Stephen King. Sortant de la lecture de « territoires » que j’avais déjà très moyennement apprécié, « conte de fées » y ressemble tellement dès le résumé.
Pourtant, les 200 premières pages étaient aguichantes : on y retrouve les thèmes de prédilection de King, son style sarcastique et un décor particulièrement bien planté.
Mais les 850 dernières pages m’ont été d’un ennui profond, tant elles ressemblaient aux passages de Territoires qui m’avaient déplu, et qu’elles s’inspiraient de Lovecraft, auteur avec lequel je n’ai jamais accroché.
Charlie Reade, un jeune homme à qui la vie semble réussir, a grandi avec un père alcoolique suite à l’accident qui a emporté sa mère. Un après-midi, il vient au secours d’un voisin qui vit reclus, et qui se démarque par son antipathie : Monsieur Bowdich, et sa chienne Radar. De la naît une amitié qui va s’ouvrir sur un autre monde dont la porte est dans un cabanon de jardin…
Ici vous pouvez spoiler !
Après la mort de Monsieur Bowdich, Charlie s’attache à Radar dont la santé décline rapidement. Il comprend que la seule manière de prolonger la vie de sa chienne est de franchir l’autre monde, appelé « Empis ».
Charlie et sa chienne vont alors vivre de nombreuses aventures afin que Radar retrouve sa jeunesse, mais surtout que le Royaume d’Empis soit libéré de « flight Killer » qui a maudit le royaume et rendu ses sujets littéralement gris.