J’ai rencontré Delphine de Vigan, qui a été très aimable une après-midi de Septembre , j’avais écouté une critique très positive de son dernier roman sur sa mère.
A notre 2e rencontre, Mme de Vigan m’a offert ce bouquin et « Rien ne s’oppose à la nuit », j’ai bouclé « d’après une histoire vraie » en quelques heures, comme on vide une bouteille d’eau par grande soif.
Le roman est formidable, L. Revient tout du long, qui est-elle, un double, une autre, l’orthographe, les majuscules, l’enquête se poursuit, nous courrons derrière cette énigme, nous la sentons tout prêt, je l’ai presque, mais la fin est déjà proche,
je suis près des 500 pages, Mme de Vigan nous en mène encore comme dans un rêve où l’on court, haletant, comme dans l’espoir d’un baiser de l’auteur , mais on roule et tombons du lit, la fin est un rebondissement. A lire.