Un bouquin que tu te demandes où qu'y veut en venir, et que quand t'as compris où qu'y veut t'amener, tu regrettes d'y être parvenu...

Pis tu réalises que le gars, il a déjà écrit une histoire du même acabit, toujours en hommage au roman de Matheson ("L'homme qui rétrécit") : on en est donc au second hommage sur le canevas du personnage principal qui perd du poids... du coup à moi, c'est ma patience qui me fait le coup du rétrécissement avec le gars King...


C'est - à mon sens - de la métaphore pataude, de l'allégorie façon grosse Bertha qui surfe sur des sujets de société à la mode.

On mélange dans le même pensum, un héros en surpoids qu'a des voisines LGBT tout ça pour surligner la mesquinerie humaine qui supporte pas la différence : la belle affaire...

On dirait du Capra façon TF1 pour cerveaux disponibles de prime-time !

Heureusement que le bouzin n'est pas trop long.


Note à moi-même : arrêter d'emprunter du S. King à la médiathèque sous prétexte que c'est l'été, qu'on cherche des lectures légères et qu'il est disponible sur le présentoir quand tu passes restituer d'autres documents...

Sycorax
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