le 2 sept. 2020
Un grand roman de pirates
J'ai lu ce roman pour la première fois en 2016, et je l'ai tellement aimé que 4 ans plus tard, je m'y replonge avec délices, et l'impression de retrouver de vieux amis (et quelques ennemis). Je viens...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Lire et apprécier Et que celui qui a soif, vienne c’est ne pas avoir peur des anachronismes, c’est se laisser emporter dans un récit qui, au départ, se veut réaliste. Le lecteur comprend pourtant que les multiples références au présent et à la vie de l’auteur vont créer un texte hybride, où l’auteur fantasme l’univers de la piraterie autant qu’il se l’approprie.
Il ne faut donc pas avoir peur de lire un texte du XXIème siècle, avec nos problématiques contemporaines (racisme hérité des sociétés esclavagistes, homosexualité et transidentité, système politique innovant…). La matière pirate n’est qu’un prétexte, ce qui rend certains passages un peu longs.
Il faut aussi ajouter que la narration est très agréable, le vocabulaire riche et précis, qui témoigne de longues recherches documentaires. Les batailles sont millimétrées, et lorsque l’histoire s’emballe, le lecteur se sent happé et semble vivre avec les personnages.
Créée
le 21 avr. 2021
Critique lue 71 fois
le 2 sept. 2020
J'ai lu ce roman pour la première fois en 2016, et je l'ai tellement aimé que 4 ans plus tard, je m'y replonge avec délices, et l'impression de retrouver de vieux amis (et quelques ennemis). Je viens...
le 18 mai 2018
Ce livre nous conte les aventures de différents personnages qui chacun à leur tour vont se révolter, aller à l'encontre de l'ordre établi pour vivre une vie de pirate. Ce sont moins ici des furieux...
5
le 15 août 2017
S'il commence bien, si sa langue est savoureuse et inventive, le roman est parfois trop dilué et finit par ne pas complètement tenir ses quatre cent pages. Il y aurait certainement quelques coupes à...
le 21 avr. 2021
Gagner la guerre, c’est l’histoire d’un salop comme la littérature a l’habitude d’en produire : Don Benvenuto. Le Bienvenu d’abord pour son patron, Ducatore. Si Benvenuto est dégueulasse dans son...
le 21 avr. 2021
Lire et apprécier Et que celui qui a soif, vienne c’est ne pas avoir peur des anachronismes, c’est se laisser emporter dans un récit qui, au départ, se veut réaliste. Le lecteur comprend pourtant que...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique