le 14 mai 2016
Peindre, peindre, peindre...
En 2010, Marie Darrieussecq reçoit une invitation pour un colloque de psychanalyse sur la maternité. Son regard est immédiatement attiré par la petite reproduction d’un tableau dans un coin : une...
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Très agréable que ce portrait d’artiste soit inscrit dans la normalité : pas de destin zinzin, de traumas sombres, rien d’extraordinaire. C’est léger et dur en même temps. Même sa fin brutale est un peu traitée comme une triste banalité de son époque. Bon ok on n’aura pas tous un poème (presque) dédicacé de Rilke à notre mort.
Aussi, un portrait un peu flower power de l’Allemagne pré 1914. On n’est pas dans le ruban blanc. Mais l’autrice remet en perspective l’infâmie que subira sa mémoire des années après, lorsque tout s’écroule. On ressent un peu la mort de Paula Becker comme l’annonce des tragédies.
On retiendra aussi que les omelettes de la mère Poulard étaient déjà une arnaque à touriste à l’époque.
Créée
le 28 sept. 2024
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