Soit on aime Vialatte, et on appréciera comme un entremets ce récit publié posthume, dans lequel on retrouvera quelques passages des Fruits du Congo et tout l’univers des Enfants frivoles. Soit on ne connaît pas Vialatte, et on goûtera Fred et Bérénice comme un apéritif.
Soit on connaît Vialatte et on ne l’aime pas, mais je ne vois pas comment. C’est parce que je ne suis pas objectif.

Alcofribas
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le 17 avr. 2015

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